jeudi 6 septembre 2012
François Hollande et ses deux roses
V: Qu’est-ce que tu crois ? Moi, c’est lui… Lui, c’est moi…Mon tweet c’est lui qui l’a intweeté peut être, parce qu’il est intuitif. Ha ha ha!
S: où que tu ailles, tu retrouveras toujours ma trace… parce qu’il est faible et parce que tu es vide
V: je t’ai effacé de toutes les tablettes… ce n’est pas moi, c’est lui qui veut régler une vieille dette
S: quelle dette ?
V: les années Mitterrand, souviens-toi de ta grosse tête pour les élections de 2007. Toute ta petite fierté va devoir s’agenouiller et prier sa majesté.
S: qu’est-ce que tu racontes ? y a pas plus faible!
V: rectification : y a pas plus fort qu’un faible…parce qu’il en veut à tous ceux qui sont plus forts que lui.
S: tu veux dire qu’il m’en veut ?
V: pas à toi, petite niaise, mais à l’Histoire, au Parti et aux hommes qui t’avaient placé devant lui.
S: je suis une force qui va…
V: alors, un petit conseil, ne reviens pas!
Ne m’en voulez pas, si j’étale les pétales … des deux roses
Rose droite et Rose gauche… les deux malheureuses sont maladroites à souhait.
L’une nase… l’autre niaise… c’est sur elles que la France d’aujourd’hui se repose.
Face à ces deux rivales, nous avons un peu mal pour le mâle… qui croit renvoyer dos à dos les deux folies en se prétendant normal. Ayant un faible pour l’une et étant faible comme l’autre, il ne traversera pas intact cette double imposture sans rien payer en retour!
En attendant, c’est nous qui payons au prix fort son regrettable parcours. Les pots cassés sont entassés dans la cour de ce roi sans royaume et pas un seul courtisan pour balayer.
Pour l’Élysée, tout le monde est atteint et tout le monde se sent visé… la France est nase comme Valérie. La France est niaise comme Ségolène.
Avec un passé révolu et un présent dévolu, le temps n’a jamais été aussi lourd, aussi pesant. La nausée, à la base, comme au sommet de l’État.
Qu’est-ce que c’est que ce pouvoir à l’eau de roses? Où l’on ose afficher les plus ignobles causes ? Le cul de l’une et le cul cul de l’autre… sans l’ombre d’un sentiment… que du ressentiment… où se mêlent envie et ingratitude… un pêle-mêle d’ordures. Passent les serpents, non les morsures. Le plus mordu est celui-là même que nous avons porté aux nues.
Le voilà, le revoilà. Le revoici sur Voici incapable de hausser le ton, de dire à ses petites chéries : ça suffit!
Allons enfants de la Patrie, je ne vous apprendrai rien en vous apprenant qu’on peut avoir le pouvoir et être impuissant. Notre roi est mis à nu avec deux roses à la main, l’une pour pleurer et l’autre pour faire pleurer. Entre les deux ce n’est pas son cœur, mais la France qui balance…
Notre mâle a un mal de chien, même pas méchant, se croyant capable de monter deux histoires en même temps, il ne fait rien… rien d’autre que remonter le cours du temps pour s’apercevoir qu’il n’est pas Mitterrand. Qu’avant de gérer le public, il faut d’abord gérer sa vie privée. Dominer, c’est le verbe approprié.
Parce que les gouvernés ne réclament pas de la volonté de puissance de leur gouvernant… mais de la puissance pure et dure. La force de frappe et non ces velléités qui dérapent et nous font passer à la trappe.
Valérie a gagné, la France a perdu. Son rosier.
http://www.lejournaldepersonne.com/2012/09/les-deux-roses/
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