mardi 1 novembre 2011

L'annonce par George Papandreou de la tenue d'un référendum en Grece sur le plan de renflouement de l'UE suscite des réactions passionnées.

Le Premier ministre Georges Papandréou en annonçant la tenue d'un référundum à la mi-janvier dans son pays a botté en touche le FESF.
"Si le peuple grec n'en veux pas, il ne sera pas mis en oeuvre".
Les dindons de la farce Grecque.


Vu les coupes salariales et sociales sévères en Grèce depuis 2010, il ne fait guère de doutes que le peuple grec se prononcera massivement contre, les derniers sondages donnent des résultats autour des 15% d'opinions favorables aux accords financiers d'Athènes avec l'U.E.
George Papandreou a même évoqué la possibilité d'une guerre civile dans une allocution dramatique.


En Allemagne, où l'annonce de la tenue d'une consultation populaire en Grèce a supéfait tous les observateurs politiques, on suspecte George papandreou de fuir ses responsablilités face à une population de plus en plus hostile.

la grèce au bord de la guerre civile avec des émeutes tous les jours malgrès les brutalités policières.






Angela Merkel s'est déclarée "irritée" par cette annonce quelques jours après l'obtention dans la difficulté d'un accord avec les créanciers bancaires de la Grèce.


En attendant les marchés anticipent un effondrement financier de la Grèce sur fond d'indicateurs économiques mondiaux qui annoncent tous une recession déja en cours.
Toutes les banques françaises ont perdues au moins 10% dès l'annonce du premier ministre grec.



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