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MILAN - Manifestation des affrontements avec des fourches
nota bene : Le départ de Silvio Berlusconi était réclamé par les marchés financiers, mais aussi par la BCE et son nouveau patron, Mario Draghi, par les chefs d’Etat et de gouvernements qui comptent dans l’Eurozone et par la Commission européenne. Et ils l’ont obtenue.
Malgré ses promesses de réformes structurelles et de politique de rigueur, Berlusconi avait perdu sa crédibilité face aux marchés. Tant la Commission, que la BCE, Merkel que Sarkozy, tous voulaient son départ.
Les marchés ont viré Berlusconi. Est-ce pour autant la fin de la crise ? - Idées - France Culture
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