Il est plus que temps de siffler la fin de partie, il nous faut une autorité désintéressée, car nous avons besoin d'une France "apaisée".
C'est le chaos depuis l'arrivée des socialistes et de leur "comique troupier" numéro 1 au pouvoir : depuis mai 2012 tout est fait pour diviser les Français en permanence : pauvres contre riches, homos contre hétérosexuels, pro-immigration contre anti, femmes contre hommes, enfants contre parents ...
Pas étonnant qu'on n'ait pas eu le temps de penser à des solutions plus créatives que les hausses d'impôt. François Hollande n'est pas capable de faire autre chose que de la politique à la petite semaine (les vieilles soupes dans les vieilles gamelles), et en plus il le fait mal.
Il est nuisible pour la paix sociale et l'économie du pays.
Des "Alliés" Plus dangereux que l' UMP ou le FN
"On va pourrir le gros!" |
«Il faut dissoudre cette majorité putschiste ! » s’exclamait dans les couloirs de l’Élysée un proche conseiller du président Chirac en 1997.
Seize ans et demi plus tard, la situation présente de troublantes ressemblances… À vrai dire, elle est bien pire sur le plan politique. Les railleries des députés RPR ou UDF, la rancœur des balladuriens n’étaient qu’aimables péripéties à côté de la véritable fronde qui, sur chaque sujet ou presque, surgit aujourd’hui des bancs socialistes, écologistes, voire radicaux de gauche.
Il n’en faut pas plus pour que, après la calamiteuse séquence Leonarda, circulent des rumeurs de dissolution.
L’hypothèse commence néanmoins à circuler dans Paris, et plus seulement dans les milieux de droite. C’est que la situation est devenue intenable pour le président et son Premier ministre.
En dépit d’une majorité absolue du PS à l’Assemblée nationale et de la gauche au Sénat, il apparaît un peu plus chaque jour que l’exécutif n’a pas réellement la majorité de sa politique. Ce qui peut expliquer les louvoiements d’un président contraint d’avancer à pas de loup, voire avec des pas de deux ou des pas de côté, vers des objectifs qui n’ont jamais fait rêver personne à gauche.
Un front au sein de la majorité va des écolos à l’aile gauche du PS, tentant de se raccrocher aux fameuses « valeurs », ce qui l’amène à prendre souvent ses distances avec la politique sécuritaire incarnée par Manuel Valls.
La gauche plurielle avait mis quatre ans à se déliter et cela s’était terminé par l’élimination de Lionel Jospin à l’élection présidentielle. Il aura fallu moins d’un an à la majorité hollandaise pour se décomposer.
Claude Bartolone multiplie lui aussi les critiques et se pose en candidat à Matignon et quand Harlem Désir s’exprime, c’est pour « enfoncer » le président, ses jours à la tête du PS sont dailleurs désormais comptés.
Copé premier Ministre, l' idéal Hollandais
Pour être honnête, il faut préciser que cette idée est entretenue depuis longtemps déjà par des personnalités de l’opposition, des centristes surtout. Dès l’été 2012, Jean-Pierre Raffarin comme Jean-Louis Borloo émettaient l’hypothèse que François Hollande serait obligé de dissoudre deux ans avant la fin de son mandat, seule certitude pour lui d’être réélu après une période de cohabitation.
La féroce bataille qui a opposé l’an dernier François Fillon à Jean-François Copé peut aussi s’expliquer par cette perspective : c’est en effet le président de l’UMP qui deviendrait alors Premier ministre. Une belle tète de vainqueur pour prendre les tomates dans la figure à la place du roitelet obèse...
Il s’agirait donc d’une dissolution d’un genre nouveau : une dissolution pour perdre...et gagner en 2017. La Synthèse quoi!
www.sudouest.fr/2013/10/27/hollande-peut-il-dissoudre-1212025-4706.php
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