lundi 17 décembre 2012

Goldman Sachs d'une bulle l'autre


Goldfinger rachète tout !

1) mettre l’économie réelle en faillite au moyen de l’explosion de la dette privée et publique (incluant les dettes privées nationalisées sur ordre du lobby financier) : entreprises mises à genou par l’effondrement de la demande, états au bord de la faillite incités à pratiquer des politiques d’austérité, immigration libérale

2)  racheter par les faillites voulues un maximum d’actifs réels, avoirs industriels et fonciers, au titre des intérêts d’une dette d’argent virtuel dont le remboursement n’est pas possible. C’est une course contre la montre, car évidemment l’argent fiduciaire virtuel se dévalue. Au final, les actifs réels confisqués en Grèce prendront une importance bien supérieure à leur valeur nominale actuelle. De Gaulle à Debré « les américains nous volent et en plus il faut qu’on les paye pour ça ».

3) Dans l’ère de réindustrialisation qui s’ensuit, les véritables patrons de l’économie, PDG et actionnaires majoritaires des grandes entreprises industrielles et extractives, sont alors pour la plupart issus des strates les moins visibles de la haute finance actuelle, Goldman Sachs maitre du monde nouveau des banlieues et des gangs...

A bas les anti-schisteux !



Dans les rues du nouveau monde, à genoux, face contre le bitume, culottes baissées, des chômeurs priaient Gestell, la déesse de la technique déchaînée, psalmodiant « Donne nous une nouvelle bulle, Grande Déesse ! ». Alors la Déesse fit jaillir des entrailles du schiste des beaux pets de méthane. 

Les pseudo écologistes sont juste des arrivistes, post-libéraux, européistes et internationalistes. 
Ils ne sont rien, que des recyclés du libéralisme, des adeptes de la croissance verte, des bio bobos.


Il n’ y a que 2 camps depuis que les libéraux ont écrasé communisme et fascisme, le post-libéralisme et les nationalistes (localistes, traditionalistes, passéistes, protectionistes, vrais défenseurs de la Nature, malthusiens, décroissants, etc ...)

L’idée de défense de la nature, une grande idée réactionnaire, a été dévoyée dans une soupe inepte de peureux du cancer,  d’ arrivistes, de biobioisme, de sociétalistes (du grand libéralisme), d’ ultra-réglementaristes, sans conviction réelle ni valeur. Un gâchis.

Les pseudos écologistes sont inaudibles. Les libéraux les ont à leurs bottes.



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