samedi 1 décembre 2012

Arcelor Mittal Florange : Les tartuffes sont démasqués

Mittal hurlant !

Les tartuffes sont démasqués. Il ne reste aux salariés de Florange qu'à se demander pourquoi ils ont suivi ces tartarins qui leur promettaient monts et merveilles et qui se sont déculottés au premier froncement de sourcils de Mittal et de Laurence Parisot.



Discours de François Hollande à Florange - 24... par francoishollande

Gouvernement de menteurs et de démagogues

Hollande Ayrault et Montebourg se sont servis des travailleurs pour conquérir le pouvoir, tous les pouvoirs en toute exclusive,  maintenant les promesses sont oubliées pour cause de crise qui n'existait pas il y a 6 mois ! 

Nationalisation pour Montebourg Expropriation pour Ayrault

Promoteur d'une nationalisation qui a rallié de nombreux soutiens sur presque tout l'échiquier politique, le ministre du Redressement productif s'est retrouvé isolé dans le gouvernement. 
"Montebourg voulait vraiment nationaliser. Mais pas les autres", selon une source gouvernementale. Selon une source proche de Matignon, le Premier ministre a critiqué le travail de d'Arnaud Montebourg, disant qu'il n'y avait pas de repreneur "crédible". Ce n'était "pas solide" et "pas bordé", insiste-t-on du côté de Matignon. Montebourg, première victime du compromis entre l'État et Mittal ?


Cette promesse précise...

Le 24 février 2012 en pleine campagne présidentielle, le candidat François Hollande effectuait une visite surprise à Florange et déclarait être "prêt à déposer une proposition de loi"  obligeant à céder des unités de production à des repreneurs.

"Quand une grande firme ne veut plus d'une unité de production et ne veut pas non plus la céder", il faut qu'elle en ait "l’obligation pour que les repreneurs viennent et puissent donner de l'activité supplémentaire".

Aujourd'hui les salariés et leurs familles attendent la nationalisation du site de Florange afin de pouvoir maintenir leurs emplois.
"Je viens devant vous prendre des engagements (...) Je ne veux pas me retrouver dans la situation d'être élu un jour sur une promesse et ensuite de ne pas revenir parce qu'elle n'aurait pas été tenue".
Or, neuf mois plus tard, la promesse n’est pas encore honorée.
De plus,  le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault, alors conseiller spécial de François Hollande, s'est engagé mardi 24 avril 2012 à faire voter par  "la future majorité parlementaire de gauche" une loi obligeant les groupes industriels à céder les usines "rentables" qu'elles voudraient fermer en France sans pour autant accepter de les vendre.
Il y a urgence.
Après 18 mois de lutte nous attendons que Monsieur le Président tienne sa promesse et qu’il nationalise le site afin de permettre à un repreneur d’investir.
Nous appelons tous les citoyens à soutenir notre démarche en signant cette pétition et en la diffusant le plus largement possible.

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