dimanche 10 novembre 2013

Les Autodafé d' SOS Racisme...

Brûler un livre ou menacer de mort celui qui le publie : Quelle différence?


Ces censeurs qui tuent les librairies!


"On va pas censurer hein ! On va pas faire ce que certains régimes fascistes ont fait." 

Ça ne les dérange pas dans leur sommeil ces gens là de faire exactement ce que les fascistes ont fait, et sans l'assumer en plus ?
"Ce sont des jeunes qui sont très vigilants à ce genre de truc. Ils n'ont pas envie de ça. On les calme de temps en temps, on ne les calme pas toujours."

Des menaces quoi, il n'y a plus qu'à dissoudre SOS racisme Grenoble ... Que Fait le (z)Ayrault de l 'executif?

Heureusement que le Net échappe encore à la censure exercée par les nazis rouges qui voudraient faire un autodafé des livres qu'ils jugent contraires à leur idéologie.


Obertone interdit de librairie à Grenoble




Chez SOS Racisme, le montant des subventions ne permet pas d’assurer une tolérance à plein temps. En tant que valeur clignotante, il est recommandé d’avoir l’habileté de choisir le bon moment. Arriver pile quand ça marche. Les responsables ont beau se relayer pour pédaler, l’ampoule ne fonctionne pas toujours.

Et c’est donc en pleine panne que Laurent Obertone comptait venir présenter son dernier livre « Utoya » dans une librairie de Grenoble. Fatale méprise. Quand ça ne marche pas, ça ne marche pas… Et c’est justement ce que Jacques Savine, président de SOS Racisme Isère, s’est évertué à expliquer très gentiment à l’attachée de presse de Ring, la maison d’édition de ce gros naïf d’Obertone. « À Grenoble, on ne veut pas de ça. Ça nous pose un problème », affirme l’antiraciste plongé dans une obscurité passagère mais néanmoins très handicapante. Et on le comprend. Quand le stock de tolérance est épuisé, que voulez-vous faire ? Il ne va pas se mettre à fabriquer de la tolérance en pleine obscurité et à une heure pareille !

Mais l’humaniste à temps partiel comprend le désarroi de l’attachée de presse qui, sans vouloir une illumination de sapin de Noël, espérait tout de même un bref rayon de lumière : « On ne va pas censurer et faire ce que certains régimes fascistes ont fait. » Léger sursaut. En coulisses, on s’active sur un fusible… Hélas, ça replonge : « On vous recommande de retirer cette présentation. Ce n’est pas acceptable sur la ville de Grenoble. » Rien à faire. Les techniciens de SOS Racisme arrivent en bleu de travail, les mains pleines de cambouis, le groupe électrogène est niqué, le tolérançomètre ne remarchera pas avant un ou deux jours… Ah la la… Pour des gens chargés d’assurer la lumière sur l’ensemble de la ville de Grenoble, imaginez la tuile !

« Mais la libraire a reçu des menaces de débordements de perturbateurs ! », insiste l’inconsciente attachée de presse qui ne s’aperçoit pas que l’incident est indépendant de la volonté du personnel. Et l’homme de confirmer : « Ce sont des jeunes qui sont très vigilants [...] On les calme de temps en temps, mais on ne les calme pas toujours. » Avec l’électricité qu’il y a dans l’air et qu’il est chargé d’entretenir, le monsieur ne contrôle plus. Ca peut disjoncter à tout moment et il est plus prudent d’éviter la librairie. Question de vie ou de mort. Conseil d’ami.

« Je ne veux pas perdre de temps avec ce genre de bouquin… pas favorable [...] à faire de la publicité pour un torchon », complète l’humaniste de salle de bains qui avoue plus loin ne jamais avoir lu une seule ligne d’Obertone.

À l’attention des écrivains qui auraient l’intention bizarre de venir présenter leur ouvrage dans une librairie de Grenoble, nous rappelons que les autorisations sont à retirer au bureau de SOS Racisme Isère, deuxième à gauche après la Kommandantur.

Obertone interdit de librairie à Grenoble - Boulevard Voltaire

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