François Hollande découvre que les roses ont des épines
15OCT
source : L.I.E.S.I.
Lors du fameux débat télévisé entre François Hollande et le candidat Sarkozy dont le parti est largement financé entre autres par Goldman Sachs, l’actuel président nous a assommés à quinze reprises de « Moi président… je… » Et maintenant ?
Hier, François Hollande niait la crise économique du bout des lèvres. Depuis cinq mois, son bilan s’explique (dit son service de communication) du fait des épines laissées par l’équipe précédente.
La gauche et la rose ?
C’était le bon temps. Aujourd’hui, c’est ceinture… S’il n’y a pas la queue devant les banques, les gens n’ont plus confiance et retirent des milliards de certains pays en situation de faiblesse avérée. Les cabinets fiscalistes ont du pain sur la planche. De toutes les façons, les hommes à la rose rouge, eux, ont pris les devants et ont déjà réalisé les montages fiscaux qui s’imposaient pour faire payer la classe moyenne et les plus pauvres.
François Hollande ne pensait pas qu’en martelant, « Moi président… je… » il verrait sa cote de popularité plonger aussi vite que le pouvoir d’achat des Français. Il a aujourd’hui trouvé une parade : son travail et le redressement se feront dans la durée du quinquennat. En tout cas, ses meilleurs amis socialistes pensent déjà à une autre personnalité pour les présidentielles de 2017… Celle que les médias encensent actuellement dans son gouvernement… l’homme de « la sécurité » dans un monde où règne de plus en plus l’insécurité. Il est à l’Intérieur comme Sarkozy l’était… Mais soyons prudents ! Le changement dans la bouche de ces politiciens, c’est à tout moment, selon la direction du vent.
François Hollande se cantonne pour le moment à suivre les pas de N. Sarkozy en devenant le caniche de Washington dans un travail délétère consistant, selon W. Engdahl, à fournir des armes aux terroristes et assassins d’enfants en Syrie : ces soldats de la liberté pour une Syrie libre.
Elle a bon dos « la liberté » dans le jargon des maçons de la nouvelle Babel qui ont le Prince de ce monde pour leader et se fichent royalement du bien commun, de la défense de la veuve et de l’orphelin.
Pendant ce temps là en Allemagne...
« Hau ab » (casse toi) et concert de sifflets. C’est l’accueil qui a été fait à Angela à Stuttgart
MES et pacte fiscal, nein danke!
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