J'aime cette justice à deux vitesses !
"condamné en juin 2011 à 15 000 euros d'amende, dont 10 000 avec sursis, pour abus de confiance par le tribunal correctionnel de Paris", autrement dit, à rien, comme tous les fils ou filles d'anciens ou de très hauts fonctionnaires.Dans ces milieux, tout n'est pas blanc, justice pour tous, c'est un mythe !
Et cela est depuis des lustres !
Les faits reprochés au fils du ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius remonteraient à novembre 2011.
Thomas Fabius, fils du ministre des Affaires étrangères, est visé par une enquête préliminaire pour "tentative d'escroquerie et faux" à la suite d'une plainte, a-t-on appris vendredi 28 septembre de sources judiciaire.
A l'issue d'une enquête préliminaire, le parquet peut décider de classer sans suite la plainte, de désigner un juge d'instruction pour enquêter plus avant ou de citer directement à comparaître devant un tribunal.
Selon la source judiciaire, la justice française a fait en août dernier une demande d'entraide internationale aux autorités du Maroc dans le cadre de cette enquête. La nature précise des faits susceptibles d'être reprochés à Thomas Fabius n'a pas été précisée.
Une autre source proche du dossier en France a pour sa part précisé que les faits reprochés dataient de novembre 2011.
Déjà condamné en 2011 pour abus de confiance
L'enquête, ouverte par le parquet de Paris en mars 2012, a été confiée à l'office central de répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) après le dépôt d'une plainte en décembre 2011, selon la source judiciaire qui n'a pas donné plus de précision.
Interrogé, l'avocat de Thomas Fabius, Cyril Bonan, n'a fait aucun commentaire. Egalement sollicité, l'entourage du ministre n'a pas souhaité "commenter cette affaire à caractère privé". Contacté par l'AFP, un haut responsable du ministère marocain de la justice s'est également refusé à tout commentaire.
Dans un autre dossier, Thomas Fabius avait été condamné en juin 2011 à 15.000 euros d'amende, dont 10.000 avec sursis, pour abus de confiance par le tribunal correctionnel de Paris, dans le cadre d'une procédure de "plaider-coupable", procédure destinée à éviter un procès à condition que l'intéressé reconnaisse sa culpabilité et accepte la peine proposée.
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