La grande désillusion qui vient
Ceux qui ont voté pour François Hollande doivent commencer par regretter leur choix. En effet il ne donne pas trop l'air de se soucier des problèmes des français. Son but était de devenir Président de la République, il a atteint son objectif, le reste semble dérisoire ...
Mauvaise surprise pour la rentrée du Président : les chiffres des sondages sont mauvais, très mauvais même ! La cote de confiance de François Hollande est passée sous la barre des 50%. On ne se privera pas de rappeler que Nicolas Sarkozy n'avait pas connu un tel affront aussi tôt.
Monsieur Normal a manqué quelque chose, c'est certain.
Une com qui a foiré sur toute la ligne
Politiquement, ce que certains appellent "sérénité" et d'autres "mollesse" finit par paraître inquiétant. On se demande si le Président a bien compris l'urgence de la situation. Le scepticisme, voire l'ironie des dirigeants européens ont bien été perçus en France.Personnellement ensuite, en se pavanant sur la Côte d'Azur et en se baignant sous les objectifs des photographes people, François Hollande s'est comporté en nouveau riche. Cette image catastrophique a déplu aux électeurs les plus à gauche qui auraient sûrement apprécié un autre style.
Quant aux autres, la crise que François Hollande semble s'obstiner à nier, les a souvent touchés douloureusement. Nombreux sont ceux qui n'ont pas pu partir en vacances ou ont dû revoir leurs projets à la baisse. Cette image d'aisance et de nonchalance était pour le moins malvenue.
Certains ont également relevé qu'il n'y avait rien de "normal"à prendre quelques semaines de congé si tôt après une entrée en fonctions.
On sait qu'il suffit parfois de bien peu pour regagner des points dans les sondages, une victoire de notre équipe de foot, par exemple. Ce mauvais sondage ne présage en rien de ce que donneront les prochains. Pour autant, il ne doit pas être ignoré par l'équipe présidentielle. Les Français sont inquiets et cela ne les incite pas à l'indulgence.
Une première dame qui prête le flanc aux critiques
Hors norme, impériale, amoureuse, explosive, imprévisible. Et visiblement dangereuse
Valérie Trierweiler inspire une série d'ouvrages qui tentent de décrypter sa personnalité plus que complexe.
Déjà en librairie, "La Favorite" (Fayard)
Le 29 août, paraît aussi "Entre deux feux" (Grasset) de Anna Cabana et Anne Rosencher qui démêlent l'incroyable imbroglio sentimental et politique qui a défrayé la chronique après "Le" tweet. Où la chronologie des 48 heures qui ont précédé le coup de poignard "tweetesque".
Le duel continue même en librairie, Sylvain Courage, rédacteur en chef au Nouvel Observateur, publie le 30 août un portrait de Ségolène Royal, intitulé "L'Ex" (éditions du Moment).
Début octobre, paraîtra "Valérie Trierweiler, le coeur du pouvoir" de Christophe Jakubyszyn, directeur de la rédaction de RMC, et Alix Bouilhaguet, de France 2. Les deux auteurs qui connaissent bien Valérie Trierweiler racontent cette femme-mystère. L'éditeur promet des révélations sur la place qu'elle occupe au côté de François Hollande...
Une rentrée agitée pour la Première dame
L'été raté de François Hollande
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