Ségolène Royal, 58 ans, était pressentie pour être la nouvelle présidente de l' Assemblée Nationale, si elle avait remporté le siège parlementaire de La Rochelle dimanche.
Le rêve s'est définitivement évanoui en fumée quand le dissident socialiste Olivier Falorni, a remporté 63 pour cent des votants. Après sa défaite, elle a été réconfortée par ses quatre enfants, qui depuis refusent d' adresser la parole à Valérie Trierweiler.
Le Président François Hollande avait publiquement soutenu Ségolène Royal , son ancienne "concubine de 30 ans".
"Les enfants de Ségolène Royal avaient jusque là des relations très cordiales avec Valérie...je dis bien « avaient ».
Depuis mardi dernier (jour du tweet), tout a changé , selon le Journal du Dimanche.
Si aucun d’eux n’a souhaité s’exprimer publiquement sur ce que traverse leur mère, Thomas, l’aîné, a décoché hier une petite flèche, à l’attention de Valérie Trierweiler, qui n’est pas passée inaperçue. Alors que la presse le questionnait à propos de Twitter, Thomas a confié qu’il avait bien un compte, mais qu’il ne « l’utilis(ait) pas », selon le Monde.
La raison ? « François ne me fait pas confiance sur mes tweets », a glissé le jeune homme. Une parodie d’une phrase prononcée en avril par la compagne de François Hollande qui déclarait alors dans Femme Actuelle : « François me fait totalement confiance. Sauf sur mes tweets. »
Dans cette guerre sourde contre Valérie Trierweiler, Ségolène Royal sait qu’elle peut compter sur ses quatre petits, qui se tiennent à ses cotés depuis tant d’années dans un engagement désintéressé…
Les faits...
Il aura suffi d'un tweet pour pourrir le début du quinquennat.
Un soutien ouvertement affiché de la première dame contre Ségolène Royal et voilà le Président normal en pleine tempète "people".
Une crise de couple après le mandat déjà très "bling bling" de Nicolas Sarkozy, François Hollande n'a plus qu' à s'en prendre qu' à lui même.
Il n'a pas tenu sa promesse de ne pas se mêler des affaires des partis politiques en apportant son soutien à Ségolène Royal.
Un geste qui a eu le don de mettre Valérie Trierweiler en rogne.
Se servir du réseau social Twitter était bien joué de la part de Valérie Trierweiler, cela a aussitôt enfiévré le petit monde politique et médiatique français.
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