Le chômage grec a atteint un record cette année à 22,6 pour cent au premier trimestre, soit le double de la moyenne de l'Eurozone. Chez les 15 à 24 ans, ça monte en flèche à 57,3 pour cent (sic!).
Il n'est donc pas surprenant que les anti-renflouement du parti Syriza ont la plupart de leurs soutiens en provenance du vote des jeunes.
Avec le pays toujours en récession, il n'y a plus aucun moyen de pouvoir rembourser la dettes.
Sans solutions réelles à leurs problèmes, les jeunes savent bien qu'ils ont besoin d'une action politique forte.
Ce dont la Grèce a besoin, c'est de revenir à la drachme, pour retrouver sa compétitivité.
Avec la réintroduction de la drachme, les importations deviennent plus chères et les produits locaux seraient beaucoup plus abordables !
Il y aurait une énorme augmentation de la fréquentation touristique, les nordistes en quête de soleil afflueraient vers les plages grecques, se délectant des bas prix.
Cela permettrait de relancer l'économie: il y aurait des créations massives d'emplois.
Mais sauver la jeunesse ils s'en fichent , tout ce qui compte à leur yeux, c'est de sauver le tas d' Euros qu'ils ont accumulé en ruinant le pays !
