A Odessa C'était L'enfer "Tous ceux qui sautaient par les fenêtres ou s’échappaient du feu, on les faisait tomber par terre et on les tuait!"

L’enfer à la Maison des Syndicats à Odessa

(traduit de l'ukrainien)

Tous les vidéos sont ici (la plus part prises par le Secteur Droit) ТА Одесса - YouTube

Au moment de la bagarre à Odessa sur le champ de bataille il y avait moins de 300 personnes du mouvement patriotique "le détachement d’Odessa" et les habitants d’Odessa non indifférents : les femmes âgées, un ancien professeur de l’histoire, quelques vétérans de l’Afghanistan, les filles et les garçons-adolescents. L’arme la plus terrible chez ces séparatistes terribles – c’étaient quelques manches de pioches et des pelles.

Les filles étaient sauvés par ce qu’ils sont partis chercher les médicaments juste avant que sur le champ fasse irruption la foule folle des orques du Secteur Droit. Pendant qu’ils brûlaient des tentes sur le champ et déchiraient en morceaux (au pied de la lettre) les gamins qui tentaient d’appeler à la foule hurlante et cacardant : "Regardez, ici pour l’essentiel se sont des femmes", – une petite partie des tenants du meeting a tenté de se sauver dans le bâtiment de la Maison des Syndicats parce que la foule les piétinait dans l’asphalte, certains hurlaient : "Compte combien on a achevé et prends des photos – c’est sont des sous…".

Aux pompiers au départ on ne les faisait pas passer, on traînait les échafaudages pour jeter le cocktails Molotov dans les fenêtres des deuxièmes et troisièmes étages. On tirait du pistolet sur ceux qui sortaient par les fenêtres avaler de l’air. Deux nationalistes ukrainiens ont jeté une fille de 17 ans du 3-ème étage avec les criaillement et les hurlements : "Attrapes la moskale…" Un homme s’est jeté au secours vers elle, il a dit que qu’il est le médecin… On l’a frappé à tour de bras sur la tête quand il s’est incliné… Et ont achevé la jeune fille avec des bâtons en scandant : "La mort aux moskals!"

Tous ceux qui sautaient par les fenêtres ou s’échappaient du feu, on les faisait tomber par terre et on les tuait.

Avec l’arrivée des pompiers la tactique a échangé. Quand les portes étaient débloqués, les boieviks de Secteur Droit ont fait l’irruption dans le bâtiment et arrosaient avec la benzine et incendiaient tout ceux qui étaient encore vivants et ensuite marchaient pour compter a nouveau les trophées – c’est des sous! il y a des sous! Et tout cela en présence de la police de la ville d’Odessa.

Personne…jamais…ne vous dira pas la vérité…combien des femmes, des filles, des garçons, des hommes âgées ont brûlé vifs et sont déchirés au centre d’Odessa, avec le soutien du gouvernement et sous la surveillance de la police…Comment brûlaient et criaient les flambeaux vivants la-dedans, arrosés par le benzine de Secteur Droit!…C’était l’enfer!

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