Qui dit roi dit cochon dit courtisane dit "gateries royales" (avenir assurée pour ces demoiselles) |
L'aristocratie ripoublicaine
Désireux d'égalité réelle, le peuple des gueux de France s'est révolté de manière ultra violente en 1789. Il a tranché la tête de Louis XVI, Marie Antoinette et toute la bande des aristocrates et leurs caniches. Lors de la célèbre nuit du 4 aout 1789 Il a aboli les privilèges. Ce n'était pas définitif, seulement un répit en attendant l'aristocratisation des républicains, nouveaux maîtres du Pays.
Ce qui se passe dans la France du XXIème siècle est le constat accablant d'un retour en arrière "anti démocratique" !
Le bouffon de l' Elysée a remplacé le gros cochon de Versailles
Nous avons un bouffon, certes élu mais qui règne en maître absolu. Il a délaissé Versailles pour un autre palais, celui de l'Élysée. Comme nanti on ne peut mieux faire car même si son pouvoir est limité dans le temps (5 à 10 ans) les privilèges n'en sont pas pour autant abolis, loin s'en faut. Mis à part son train de vie, royal pendant son mandat, il se retrouve au bout avec "une misère de retraite" de 5600 € mensuel mais , car il y a un mais, il arrive à des sommes faramineuses avec le cumul des ses anciens mandats (36000 € pour Chirac, 30000 pour Giscard, mensuels bien entendu). Sans compter un véhicule avec chauffeur, un bureau, des gardes du corps, tout cela à vie. Ce bouffon là a remplacé le Roi.
La Jacquerie grand Rendez-Vous de sa majesté depuis 1000 ans! |
Nouvelle aristocratie des "élus"
La France est fragmentée en 22 régions alors que 10 suffiraient à administrer efficacement notre pays. Elles sont tenues d'une main de fer par des proches du pouvoir et ont remplacé les princes d'antan, avec le mêmes privilèges.
Des ministres toujours plus nombreux, (La place est bonne et rémunératrice), des élus à foison constitue un énorme boulet que l'on traîne depuis des décennies, quasiment 1000 parlementaires (Députés et sénateurs) avec leurs "famille" de conseillers, secrétaires et "ayant droit".
Ils nous mangent le bénéfice avant même que celui ci ait été produit par le dur labeur quotidien des "con-tribuables".
C'est la nouvelle aristocratie. Aristocrates qui rèvent de devenir à leur tour prince ou bouffon, cochon à l'engrais des impôts du petit peuple (les autres ayant les moyens de s'y soustraire grâce à des avocats fiscalistes qui exploitent les "manquements" des lois fiscales écrits spécialement pour eux). Le diable est dans les détails...
Des dizaines de milliers d'élus de toutes sortes bouffent au râtelier du tièrs-état moderne pour son plus grand malheur et sa paupérisation inéluctable à terme.
Armée de "clients électoraux" inutiles
Pour servir et faire vivre tout ce beau monde, les administrations, embauchent des armées de personnels à ne même plus en connaître le nombre exact (à 500000 près selon un ancien ministre).
Et ce nombre est en augmentation constante, notamment en ce moment avec les "500000 emplois d'avenir" sans aucun avenir, dans les collectivités territoriales. Ceux-là sont les gens d'armes, les Fermiers des gabelles, les percepteurs et autres inquisiteurs de l'ancien régime, en un mot les fonctionnaires.
Et le bon peuple dans tout ça, eh bien il renâcle, jure, peste mais subit écrasé sous le joug des impôts, pris sur sa sueur, à la seule fin de nourrir les nouveaux aristocrates. Mais jusqu'à quand, voilà la question.
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