"Seuls Charles de Gaulle, en juin 1962, après les accords d'Evian, et Jacques Chirac, en juin 2005, après l'échec du référendum sur le traité constitutionnel européen, ont enregistré une baisse plus importante que François Hollande, avec respectivement -13 points et -12 points".
En chute libre dans notre Baromètre Ifop/JDD, François Hollande paie l’annonce de la hausse des impôts et prend de plein fouet les impatiences de la gauche.
Sondages !
Et oui, être un chef d’État, il faut se bouger et vite... F. Hollande se donne 5 ans mais résultat, il commence par augmenter les impôts, cherche à tout prix à trouver de l'argent tout en se fâchant avec les riches, en voulant taxer les retraités et le peuple qui économise dans le Livret A, en réfléchissant à un bonus-malus pour l'économie d'énergie des particuliers...
Il compte ainsi "épuiser" les Français qui rament déjà pour s'en sortir.
Il n'a pas fini de baisser dans les sondages parce que sa politique ne s'avère pas très claire et si il endette la France comme il l'a fait pour sa région, la Corrèze, c'est nous, les citoyens qui allons nous trouver au pied du mur.
Ainsi le "Moi, je Président" va, enfin, pouvoir ressentir ce que son prédécesseur a enduré (à juste titre) pendant son quinquennat.
L'exécutif doit à tout prix traiter les affaires urgentes
1. Le chômage2. Soutenir les classes moyennes et pas uniquement les classes défavorisées
3. Arrêter les privilèges des politiques tant à droite qu'à gauche
4. Désenliser la justice civile.
Des ministres qui se disputent (Philipeti Cahuzac : financement de la culture ), Vincent Peillon qui veut prendre les commandes à Bercy (ce n'est plus Bercy qui commandera à l'éducation nationale) et pourquoi pas gérer l'économie plutôt que les économies, un premier ministre incapable de tenir en mains son équipe ministérielle ou plutôt sa classe de primaire et un président de Comices agricoles, s'accrochant toujours à ses vieilles lune. Rien d'étonnant !
Nous avons un perdant à la tête de l'Etat : sans véritable pensée équilibrée et construite, sans vision, il trahit son positionnement de campagne en ménageant par nécessité le monde de l'entreprise mais sans parvenir à chasser cette image d'ennemi de l'initiative entrepreneuriale, et en défaisant ce qu'à fait son prédécesseur soit pour le refaire en même - soit pour persister dans des mesures marxo-archaïques. Soit la pire des situations : l'inaction ou bien l'action néfaste.
Quand on voit les couleuvres au menu de l'automne (budget, TVA sociale, traité européen) que la gauche va avaler je ne donne pas cher de sa peau en décembre... Sans parler de l'action de son Ministre de l'Intérieur, digne successeur de la politique sécuritaire de l'UMP... Au secours !
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