Le Conseil de sécurité de l'Onu n'avalisera aucune ingérence militaire étrangère dans la crise syrienne, a déclaré jeudi à Pékin le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d'une conférence de presse.
Plusieurs pays entravent le règlement du conflit syrien et tentent de provoquer une intervention militaire, a indiqué le chef de la diplomatie russe.
"Certains de nos partenaires se livrent à des démarches pratiques visant à faire exploser la situation en Syrie au sens propre et au figuré", a souligné le responsable.
Le scénario libyen
Finalement, la communauté internationale surmonte ses divergences et une coalition militaire évince Bachar al-Assad du pouvoir. Cette coalition serait orchestrée par l’Otan, après des attaques répétées de l’armée syrienne contre les rebelles syriens réfugiés en Turquie, celle-ci invoquant l’article 4 de la charte de l’organisation transatlantique pour se défendre. Pour la première fois, Ankara a publiquement évoqué cette hypothèse.
Si l'ONU est capable de garantir que les intérêts supérieurs syriens seront préservés, la solution douce d'une transition politique à toutes les chances de réussir
Si cela n'est pas le cas, il restera effectivement à envisager le chaos, sous la forme d'une confrontation brutale ou d'une guerre de plus basse intensité sur une période plus longue .
En SYRIE et ailleurs, une fois de plus on peut constater que la hierarchie religieuse est cause de troubles.
Se superpose la volonte de certains pays a entretenir le conflit (L'Irak, Arabie Saoudite Quatar).
Pourqui ne pas mettre l' accent médiatique sur les revoltes dans les Emirats au Yemen et à Oman ? Pour l' instant la puissance americaine avec la sixiéme flotte US veille aux grain, donc silence radio !
Nos amis peuvent réprimer sévèrement, ceux que nous avons dans le nez depuis au moins dix ans, eux, n'ont qu'à bien se tenir. Ils se sont désormais tourné vers la Chine et la Russie pour garantir leur indépendance ce qui potentiellement nous fait risquer la troisième guerre mondiale.
Bill m'a humiié : yen a qui vont devoir payer pour ça !
L'or noir (et le gaz, en cours de prospection) sont les butins visés par les différents protagonistes.
Le Moyen Orient est non seulement une zone de production, mais encore de circulation de l'énergie fossile avec pipes-lines installés et projets concurrents, double source de bagarres donc.
On peut y ajouter l' incertitude sur la pérennité du dollar comme moyen unique d'échanges. Si l'on considère aussi son antagonisme historique avec les intérêts occidentaux / américain / israélien, la Syrie a décidément trop de points communs avec la Lybie kadhafiste pour avoir droit à la tranquillité.
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