Dominique Strauss-Kahn a déclaré que lorsqu'il a marché nu de la douche vers la servante de l'hôtel SOFITEL, qui plus tard l'a accusé de viol, leurs yeux se sont croisés et il a vu dans son oeil une invitation à « une aventure sexuelle précipitée, mais consensuelle» , affirme une nouvelle biographie de Michel taubmann. Mais il considère toujours la rencontre «stupide» parce que cela a été le début de la fin de ses ambitions politiques. "A cet instant, j'ai déclenché invonlontairement de multiples scandales. J'aurais pu devenir président de la république".
Il admet qu'il a bénéficié d'une "vie sexuelle libre et sans entraves", mais ajoute que c'est courant dans la politique et les affaires, et qu'il n'a rien accompli de contraire à la loi.
le procureur de New York a finalement abandonné toutes les charges contre M. Strauss-Kahn, et certains pensent qu'il a été piégé dans le cadre d'un complot visant à ruiner sa réputation . Dans une autre affaire, la justice française avait décidé qu'il y avait prescription mais que la romancière tristane Banon avait bien été agréssée sexuellement.
Maintenant DSK est apparemment au centre de l'enquête du Carlton de Lille ou il est cité comme client d'un réseau de prostitution. "Dans la presse, ils relient mon nom à la prostitution. C'est insupportable", dit-il dans le livre. «Je n'ai payé pour du sexe, c'est vrai, mais habituellement, ceux qui sont venus à ces soirées ne sont pas des prostituées."
Surement que monsieur david Roquet du groupe Eiffage (licencié depuis) payait les notes d'hotel de sauteries du Carlton par pure amitié et que les jolies demoiselles voulaient seulement s'amuser un peu sans arrière pensé de vénalité.
Que des mauvaises langues qu'on vous dit !
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