Dominique Strauss Kahn malade d'hyperactivité sexuelle veut entamer une cure. C'est ce qu'il aurait confié à des amis proches sous couvert d'anonymat.

Le couple le plus traqué par les médias serait au bord de la crise de nerf. Mais on assure dans le premier cercle Strauss Kahnien que Anne Sinclair pourrait "quitter un obsédé, mais pas un malade au bord du néant psychologique".


DSK tente bien de sauver un minimum d'apparences. Mais l'homme naguère roi du monde économique est "un homme au bout du rouleau", il aurait admis pour la première fois que des soins adaptés à son "problème" étaient plus que necessaire.


Selon ses plus proches connaissances : "il tourne en rond, est atteint de manies récurrentes, se plonge dans la prostration et ne supporte plus de consulter quelques médias que ce soit".
"Cette semaine il a deux Rendez Vous, un patron d'entreprise publique ainsi qu'une personnalité politique ; avant il n'arrivait pas à caser ceux qui voulaient le voir, désormais c'est le sauve qui peut intégral : il est plus seul que jamais"


Le cas DSK restera en plus d'ètre un fantastique buzz médiatique, un cas d'école en matière de chute sociale.
Alors que la révélation de 2008 concernant une employée du FMI (Piroska Nagy) commençait à s'estomper, il a poursuivi l'assouvissement de ses pulsions sexuelles dans le "réseau lillois".
Il a construit un véritable rempart, un cercle infranchissable entre sa vie professionelle et son paradis de luxure dont seuls quelques relations sures étaient au courant.

Anne Sinclair a connu des moments très difficiles, comme pour DSK, s'informer est vite devenu un supplice.
"elle s'isolait, refusait toutes rencontres avec ses proches, c'est alors qu'elle à commencé à considerer sa situation par le biais de la psychanalise : elle s'est observé elle même pour ne pas flancher".
Elle a décidé, via le Huffington Post de reprendre son métier de journaliste.


l'affaire DSK / lille /carlton énième volet du cas DSK va désormais suivre son cours judiciaire, Dominique Strauss kahn devrait ètre incessament sous peu convoqué par les enquéteurs lillois qui conservent cette affaire, par décision du parquet qui a refusé le dépaysement sur Paris.