samedi 31 octobre 2015

Thomas Fabius Au Casino : Comme Pour Son Immeuble, La Banque Italienne Monte Dei Paschi

 


Fabius, le scandale de trop ?


«Il y a toujours eu chez Thomas Fabius un fort sentiment d’impunité. Pointant du doigt son crâne dégarni et faisant référence aux relations de son père, il avait coutume de dire :

"Sachez qu’en France, personne ne peut toucher à un cheveu des Fabius."»


Comme pour le financement de son appartement, Thomas Fabius a encore fait appel à la banque italienne Monte dei Paschi di Siena (MPS). Il s'agit de la plus vieille banque du monde, fondée à Sienne (Toscane) en 1472.

"Ebranlée par une série de scandales — comptes truqués, gestion « casino » et soupçons de trafic d'influence —, la troisième banque italienne ne doit son salut qu'aux pouvoirs publics. Récemment, l'Etat italien lui a accordé un prêt de 4,1 Mds€. Monte dei Paschi di Siena , longtemps appelée la Banque rouge en raison des liens noués avec le Parti démocrate (centre gauche)!"


Utilisant un chéquier de la MPS il a libellé trois chèques à l’ordre de l’hôtel de luxe-casino The Palazzo: 200.000 dollars; 409.000 dollars et un million de dollars.

Cela va être plus difficile a régler qu'a Monaco ou il a laissé 2 Millions € d'ardoise vraisemblablement réglé par Papa.
Une solution vendre l'appartement de 7.4 millions qu'il a acheté a Paris sans déclarer de revenus ni payer d’impôts.
La justice enquête depuis 2012 mais apparemment très doucement.
Concernant la famille Fabius la commission de transparence n'a pas poussé trop loin l’enquête.



Maroc/Etats-Unis : Thomas Fabius encore dans ses... Affaires étranges - Afrik.com : l'actualité de l'Afrique noire et du Maghreb - Le quotidien panafricain

French minister's son is sitting pretty but who’s paying? | The Sunday Times

Thomas Fabius, de l'abus de confiance au mandat d'arrêt

mercredi 28 octobre 2015

Après La Hongrie, L'Autriche Construit Une Cloture Anti-Migrants !



"obstacle technique"  pas une "clôture" !


Autriche a construit une clôture le long de sa frontière avec la Slovénie, également membre de l'Union européenne, dans le but de contrôler l'afflux d'immigrants, comme l'a annoncé le ministre de l'Intérieur mercredi Johanna Mikl-Leitner. Le ministre a parlé d'un "obstacle technique" et non pas une clôture, de «veiller à une entrée ordonnée et contrôlée dans notre pays, et de ne pas fermer la frontière», at-il expliqué à la télévision "SO1". "Ces dernières semaines, les groupes d'immigrants sont devenus plus impatients, agressive et sensible" et "est prendre toutes les précautions," at-il ajouté. Et de ne pas fermer la frontière

Actuellement, il n'y a pas de détails sur le moment de commencer à construire cette barrière. "Bien sûr, il est aussi sur une clôture," mais pas à "fermer la frontière", mais pour réguler le flux migratoire, il a souligné le chef de l'Intérieur. Mikl-Leitner a déclaré que le pays devrait être préparé en cas aggravation de la crise. Dans la dernière semaine certains groupes de plusieurs milliers de réfugiés ont le cordon de police pour entrer en Autriche à partir de la frontière avec la Slovénie, après des heures d'attente dans les basses températures de l'automne, Efe.


Le mouvement vient après que les autorités régionales bavaroises allemandes accusent l'Autriche de l'envoi de milliers de réfugiés sans avoir enregistré et incontrôlable. Le ministre autrichien a répondu à ces critiques en disant que l'afflux massif des réfugiés en raison de courant à la promesse du gouvernement allemand de ne pas renvoyer les réfugiés syriens au premier pays où ils sont entrés l'Union européenne (UE), tel que requis par les règles communautaires asile. "Les signaux effets produits, et ces effets se sentent" à la vague actuelle de l'immigration, Mikl-Leitner dit.

Les plans pour ces panneaux d'affichage ont été publiés dans divers médias, qui mentionne "une barrière technique à plusieurs kilomètres à la gauche et à droite des points de passage." La semaine dernière, Mikl-Leitner a défendu la nécessité de construire une «forteresse Europe» avant l'afflux massif de réfugiés.

Division dans le gouvernement autrichien


Le gouvernement autrichien, formé par les sociaux-démocrates et les conservateurs, a montré la division dans la lutte contre la crise des réfugiés. Cependant, cette fois les mots de Mikl-Leitner conservatrice approuvées par les membres d'autres sociaux-démocrates, comme le ministre de la défense, Gerald Klug. Le ministre de la Défense a dit qu'il ne pouvait imaginer la construction d'une «barrière physique» le long de la frontière pour améliorer le suivi des réfugiés, à condition qu'il a agi avec «humanité».

Autriche soulever un «obstacle technique" le long de sa frontière avec la Slovénie

vendredi 23 octobre 2015

Artifices Magouillages et Tripatouillages : Les Budgets "à la grecque" Du Quinquennat Hollande !

La Grèce c'est maintenant !



Le pire du pire !


Le Président de la Cour des Comptes, Didier Migaud a été nommé à ce poste par Nicolas Sarkozy (au fait, combien d’opposants Hollande a-t-il nommé à des postes de contrôle?). Il est donc peu suspect de partialité. 

Le constat, s’il n’est pas surprenant (de Michel Sapin on n’attendait pas grand chose), est accablant et très inquiétant. 

En dépit d’un matraquage fiscal sans précédent, des avertissements de toutes les grandes institutions internationales et de la Commission Européenne, la situation réelle de la France continue de se fragiliser. La croissance de la dette semble irrésistible, tous les artifices permettant de présenter une apparence de budget raisonnable sont utilisés. Magouillages et tripatouillages semblent la règle pour ces donneurs de leçon incapables de faire la seule chose qui permettrait vraiment un rétablissement des finances du pays : réduire les fonctionnaires en surnombre, simplifier REELLEMENT le mille-feuilles administratifs français. 

Notre économie est sur le fil du rasoir, elle bénéficie actuellement de conditions exceptionnelles (taux d’intérêts historiquement bas, baisse de l’euro, cours du pétrole très avantageux) dont rien ne garantit la pérennité. 

Michel Sapin et François Hollande serait bien inspirés d’étudier la situation actuelle des Grecs qui, pour s’être endettés au-delà des possibilités du pays sont obligés aujourd’hui de quémander honteusement la charité de leurs partenaires de l’UE et d’envisager la faillite de la Grèce.


Budget : L’Etat enfume, la Cour des comptes épingle | L'Opinion

La Cour des comptes taille en pièces le budget de l'État 


mercredi 21 octobre 2015

Que Se Passe t il en Syrie : Pourquoi La Russie Est Si forte Et Les USA Si Faibles ?


Les Russes semblent réussir là où Obama a échoué, ce qui met le gouvernement des États-Unis dans une position très précaire au Moyen-Orient. Après avoir vu les Russes obtenir un tel succès à l'intérieur de la Syrie, le président de l'Irak envisagerai maintenant de demander aux Russes de mener une campagne similaire à l'intérieur de sa propre nation ...



lire la source via  : Google Traduction

mardi 20 octobre 2015

La France Vit-Elle Une Vague D'attentats Au Couteau Commis Par Des "Déséquilibrés"



Jeudi dernier à Joeuf, un « déséquilibré » jetait au sol un enfant de sept ans et s'acharnait sur lui au couteau de boucher. 

L'enfant est mort ce lundi.

Alors que Daech loue les attentats au couteau, la France connaît une vague de « faits divers » qu'on se gardera bien de lier avec cette nouvelle méthode de terrorisme. L'hypothèse de l'insécurité ordinaire reste privilégiée...

Un Soudanais a récemment été déclaré « irresponsable » de l'égorgement d'une employée d'insertion à Angers. 

Le 10 octobre à Pont-de-l'Arche, un enfant de trois ans a été poignardé devant sa maison « sans raison apparente », par un « individu visiblement déséquilibré ». 

Le 15 octobre, un adolescent est « entre la vie et à la mort » à Créteil, après une « altercation » au couteau. À Falaise, un homme a été gravement blessé d'un coup de couteau dans le dos. À Rennes, un individu a menacé plusieurs passants au couteau, il est ressorti libre du commissariat, comme cet individu menaçant d'un couteau le gérant d'un bureau de tabac, à Metz. Dans une mosquée de Paris, un homme a été blessé au couteau, par un « déséquilibré ». Un lycéen a été grièvement blessé d'un coup de couteau à l'abdomen, en pleine classe, à La Trinité. 

Le 16 octobre, à la sortie du RER à Champs-sur-Marne, une femme a été agressée au couteau. Un homme a été blessé d'un coup de couteau à Grenoble. 

Le 17 octobre, alors qu'avait lieu une marche blanche pour un adolescent de 16 ans tué à l'arme blanche à Pantin, un homme était tué au couteau à Saint-Brieuc. À Meyzieu, un mineur en a poignardé un autre. Pour un « regard », un homme de 20 ans a reçu un coup de couteau en plein centre-ville, à Belfort. Toujours à Belfort, un homme de 26 ans a été agressé au couteau, près d'un foyer d'hébergement de migrants. À Lyon, un homme de 25 ans a été tué à coups de couteau par un individu « connu des services de police ». 

Le 18 octobre, deux individus ont été poignardés à Toulouse. Un dealer a été tué de plusieurs coups de couteau, en pleine rue, à Cachan. Un homme a été poignardé à la sortie d'un festival, à Longchaumois. À Noyal-Châtillon-sur-Seiche, un quadragénaire a été blessé d'un coup de couteau par un homme de 18 ans.

Bref, tout va bien.

La Crise Des Migrants Une Conséquense De La Crise de l'"Euro-Allemand" ?


Certes, il s'agit de la Slovénie et de la Croatie, mais ne nous y trompons pas, la destination finale c'est l' Allemagne !

Angela Merkel paye cash son égoïsme depuis le début de la crise de l' Euro ! En 2010 elle avait dit à Nicolas Sarkozy "chacun sa merde!" aujourd'hui l'ensemble de l' Europe lui répond la même chose (et d'abord la Grèce!)








Avocats Pacifiques Virés Par La Police De Hollande "Fort avec les faibles et faible avec les forts"

Quand les gens du voyage ont bloqué une autoroute, rien n'a été fait pour les faire dégager. Etrange tout de même, plus facile de virer des avocats qui ne se défendent pas .....





▷▷▷ Des avocats en grève évacués sans ménagement par la police à Lille► Ils étaient 200 avocats à bloquer le palais de justice lillois pour protester contre le projet de réforme de l'aide juridictionnelle, qui permet aux plus démunis d'accéder aux services d'un avocat► La police a été chargée de débloquer l'accès au palais de justice par la force, sans ménagement
Posté par iTELE sur mardi 20 octobre 2015

lundi 19 octobre 2015

«Chaos migratoire» : Un Groupe De Hauts Fonctionnaires Dénonce L'irresponsabilité Des Dirigeants

Superbe synthèse de ce que ressentent et veulent 80 % des gens de de droite comme de gauche, pour ne pas dire des français en général. Messieurs les politiciens, vous êtes seuls au monde, aveuglés et prisonniers de vos doctrines illusoires. Si vous voulez assurer votre avenir en politique, mettez en oeuvre la volonté du peuple qui vous a investi d'une mission essentielle : les protéger et appliquer leur volonté.


Le groupe de hauts fonctionnaires Plessis propose des solutions concrètes à la crise des migrants.



La crise migratoire qui se déroule sous nos yeux, pour spectaculaire qu'elle soit, n'est que la manifestation renouvelée de l'incapacité de nos gouvernants à mettre en œuvre et assumer des politiques de maîtrise durable des flux de population qui franchissent nos frontières. Pourtant, il n'y a pas de fatalité en la matière.
Cette impuissance, assortie d'un discours médiatique moralisateur, est en décalage croissant avec les aspirations de la population qui, en butte aux désordres causés par une immigration incontrôlée depuis plusieurs décennies et inquiète des menaces terroristes, recherche protection et sécurité. Il est d'ailleurs frappant de constater que le formidable battage médiatique actuel, qui confine au harcèlement, ne convainc plus guère les Français
L'accueil des migrants: un irresponsable appel d'air
Le phénomène migratoire, qui s'est accéléré avec l'effondrement des Etats libyen et syrien, va encore s'amplifier à la suite du formidable appel d'air que constitue l'accueil, nolens volens, de centaines de milliers de nouveaux migrants en Europe occidentale. Les déclarations du gouvernement, qui évoque l'accueil «provisoire» de seulement 24 000 «réfugiés» alors même qu'aucun contrôle transfrontalier des flux n'est possible et que les retours sont bien improbables, n'ont pour seul mérite que de confirmer l'adage selon lequel, lorsque les événements vous échappent, il faut feindre d'en être l'organisateur. En l'état actuel des choses, il est bien évident que le Gouvernement n'a ni la volonté, ni surtout les moyens, de contrôler efficacement nos 3 000 km de frontières terrestres métropolitaines, sans parler des frontières maritimes.
Une générosité de façade
La générosité affichée par nos dirigeants, et par nombre de dirigeants européens, n'est que le masque de l'impuissance. Derrière cette façade, on enrichit des trafiquants impitoyables (la traite des êtres humains rapporterait désormais plus que le trafic de drogue), on pousse des malheureux à prendre des risques insensés sur des embarcations de fortune ; on valide la stratégie de Daech de purification ethnico-religieuse, sans parler de la déstabilisation sans doute volontaire de l'Occident par l'arrivée en masse de populations de culture musulmane, sans même parler des probabilités d'infiltration d'éléments terroristes. Ajoutons que l'on vide les pays du Sud de leurs éléments les plus qualifiés et les plus dynamiques. Avec bonne conscience, les dirigeants européens se livrent à une véritable spoliation de l'avenir de ces pays, tout en imposant à leurs propres peuples de se perdre dans une bien aventureuse «dilution dans l'universel», pour reprendre l'expression d'Aimé Césaire.
«Rien n'est meurtrier comme la lâcheté ; rien n'est humain comme la fermeté.» écrivait Charles Péguy. Face aux menaces actuelles qui engagent notre responsabilité collective vis-à-vis des générations futures, il est temps d'être humains et fermes.
Une action ferme pour résoudre la crise de l'asile
Résoudre la crise de l'asile, c'est d'abord s'attaquer aux causes et définir une stratégie claire au Proche-Orient, conforme à nos intérêts: un rapprochement avec l'Iran, une concertation avec la Russie, une politique plus pragmatique à l'égard du régime de Damas.
S'agissant de populations déplacées par la guerre, la priorité est d'aider matériellement ces populations au plus près de leur pays d'origine, les pays d'accueil, en particulier le Liban, et les organisations humanitaires. Au moment même où les migrants syriens sont au cœur de l'actualité, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et le Programme alimentaire mondial (PAM) ne disposent pas des moyens nécessaires pour héberger et nourrir les déplacés. Il est aussi inacceptable que des pays proches, qui ne sont pas pour rien dans la guerre civile syrienne, et qui ne manquent pas d'abondantes liquidités, le Qatar ou l'Arabie saoudite, se montrent si peu accueillants. On s'étonnera aussi du rôle joué par la Turquie qui n'aide guère l'Europe .
Lutter contre les réseaux de passeurs et délocaliser la demande d'asile
La deuxième priorité est de s'attaquer à l'économie même des passeurs. A cet égard, l'exemple australien est éloquent: aucune arrivée illégale par bateau n'est tolérée, les bateaux sont raccompagnés soit vers leur lieu de départ, soit vers des centres de rétention extraterritoriaux, mis à disposition par des pays riverains et où les demandes d'asiles sont traitées. Le résultat est sans appel: aucun mort en mer à déplorer depuis 18 mois.
Il est parfaitement envisageable, pour l'Europe ou, à défaut, pour la France seule, de reproduire ce dispositif en concluant des accords (assortis d'une aide financière) avec des pays du Sud de la Méditerranée pour la création de ces centres. L'action de la Marine serait alors réorientée vers le raccompagnement des embarcations et de leurs passagers en direction de ces centres et vers la traque des passeurs qui est désormais un enjeu de sécurité nationale. Un dispositif européen similaire pourrait également être envisagé pour les demandeurs d'asile empruntant la route terrestre des Balkans. Ne seraient alors admises en France que les personnes s'étant effectivement vues octroyer le statut de réfugié au sens de la Convention de Genève ou de la Constitution. Ce système aurait donc le mérite d'éviter d'introduire en France des demandeurs d'asile dont fort peu répondent aux critères (70 % de déboutés malgré une procédure très favorable aux demandeurs) mais qu'il est ensuite extrêmement difficile d'éloigner (moins de 5% des déboutés).
Recentrer l'asile au profit des rares authentiques réfugiés
S'agissant des demandes d'asile déposées en France, le dispositif actuel, largement détourné au profit d'une immigration économique ou sociale et dévoyé par des manœuvres dilatoires et des fraudes de toutes sortes, doit impérativement être revu au profit d'une procédure extrêmement rapide, non créatrice de droit, sous contrôle étroit des autorités et suivie d'une expulsion rapide des déboutés, sans possibilité de solliciter, sinon dans le pays d'origine, un autre titre de séjour.
Un discours de vérité sur l'immigration
Cette crise d'une ampleur exceptionnelle appelle un retournement de paradigme qui passe par un changement de discours sur l'immigration. Il est temps d'admettre que, contrairement à certaines idées reçues, la France n'a pas besoin d'une immigration supplémentaire. Et si les beaux esprits le contestent, il n'est que de demander son avis au peuple de France par référendum. Notre taux de chômage élevé, l'immense besoin en formation de nos jeunes inactifs peu qualifiés montrent bien que le pays n'a aucunement besoin d'un apport extérieur de main-d'œuvre, à l'exception de quelques travailleurs particulièrement qualifiés.
Certains secteurs d'activité emploient massivement une main-d'œuvre étrangère, souvent illégale (BTP, restauration …). Mais est-ce à la collectivité d'assumer cette charge pour que ces entreprises emploient à moindres frais? L'immigration a d'ailleurs un coût: poids croissant sur le système de santé, sur la protection sociale, sur la politique de logement, sur les établissements scolaires, sans parler des déséquilibres sociaux, ethniques et culturels qu'elle provoque sur de nombreux territoires. Mais le coût principal de cette immigration non choisie est probablement la défiance qu'elle fait naître entre un peuple de France inquiet pour son identité et ses dirigeants qui y semblent indifférents.
La France peut bien sûr accueillir des personnes par souci d'humanité ou parce qu'elles manifestent un attachement sincère à notre pays, mais il s'agit bien là d'une faveur et non d'un droit, d'un choix et non d'une obligation.
Une politique migratoire souveraine
- Pour un contrôle démocratique sur la politique d'immigration: remettre au cœur de nos politiques la souveraineté nationale devrait conduire à fixer un quota annuel, voté par le Parlement, en fonction des besoins et des capacités d'accueil du pays. Le principe d'un tel vote devra être solennellement inscrit dans la Constitution, par voie de référendum. Sa mise en œuvre impliquerait un changement radical dans les pratiques de l'administration qui devrait, sous contrainte, mener une politique active de sélection et de priorisation des candidats.
- Simplifier le droit des étrangers: le code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile devrait être considérablement simplifié (plus de 1 000 pages en édition courante!), les délais et nombre de recours drastiquement réduits.
- Inciter au départ les étrangers inactifs légalement présents dont il faut rappeler qu'ils n'ont pas nécessairement vocation à rester sur notre territoire. Ainsi les allocations auxquelles ils ont droit (chômage notamment) pourraient-elles leur être versées dans leur pays: une chance de réinsertion leur serait ainsi donnée ; le poids sur nos services sociaux en serait allégé et ces fonds contribueraient au développement des pays d'origine.
- Faciliter l'éloignement forcé: en 2014, les vrais éloignements, c'est-à-dire les éloignements forcés hors de l'espace Schengen, n'ont concerné que 6 500 étrangers, chiffre dérisoire au regard des enjeux de l'immigration clandestine. Une simplification drastique des procédures et des recours est nécessaire. De même, tout statut doit être refusé aux étrangers en situation irrégulière. Cela passe par la suppression de l'AME et du droit à une scolarisation en milieu ordinaire: les enfants, qui ont d'ailleurs le plus souvent besoin d'un parcours spécifique, seraient pris en charge dans des structures ad hoc, dans l'attente d'un éloignement. Cela passe aussi par un enregistrement sérieux des entrées et des sorties des étrangers afin de rechercher, pour contrôle et expulsion, ceux restant illégalement sur le territoire.
- Réviser en profondeur l'accord de Schengen afin de permettre un contrôle réel de l'immigration irrégulière aux frontières nationales: le contrôle aux frontières de l'espace Schengen est un leurre. Sans doute faut-il fixer un principe: franchir illégalement les frontières de l'Union ne crée aucun droit. Sans doute aussi faut-il passer à un système à deux niveaux, c'est-à-dire tout à la fois revenir à un contrôle ciblé mais durable des frontières nationales, qui passe par la constitution d'un véritable corps de garde-frontières, et qui permettra également de faire face aux vastes mouvements de populations intra-communautaires en provenance de Roumanie et de Bulgarie, et commencer à construire un véritable dispositif collectif de contrôle des frontières extérieures. Dans cette attente, doivent être envisagées par la France une mise en œuvre des clauses de sauvegarde prévues par la convention, et sans doute une sortie temporaire du système. Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l'expérience hongroise montre que le contrôle des frontières nationales, lorsqu'il est au service d'une politique volontaire, reste un moyen très efficace pour enrayer les flux migratoires clandestins.
- Sortir de l'angélisme dans la coopération avec les pays d'origine: il n'est pas de contrôle efficace de l'immigration à moyen terme sans une coopération bien comprise avec les pays d'origine que l'on doit inciter à s'engager contre les filières de trafic d'êtres humains, engagement auquel devraient être strictement conditionnées les aides bilatérales et européennes. L'immigration est aussi un drame du désespoir et du déracinement. Il est de la responsabilité des nations européennes d'aider aussi ces pays à trouver la voie d'un développement économique et social qui permettent à leurs populations d'envisager un avenir sur place.
-Enfin, briser l'outil d'encouragement aux migrations non maîtrisées que représente l'espoir de régularisation. D'exceptionnelles, les régularisations sont devenues, notamment sous la pression d'associations, une modalité banale d'admission au séjour en France et constituent un puissant incitatif à l'entrée et au séjour irréguliers. Dès lors, pourquoi ne pas inscrire dans la Constitution, via un référendum, que les régularisations d'étrangers en situation irrégulière sont interdites?

Les États-Unis Britanniques et Français Sont Devenus Les Alliés Sous-marins Des Islamistes


Mais à quoi jouent les États-Unis ?


Floris de Bonneville

L’attitude de Barack Obama dans le conflit syrien ne peut que poser la question. Une question où l’inquiétude persiste. Quel est son but ? Territorial, économique, religieux, militaire ? Est-il en train de provoquer la Russie pour étudier, sur le terrain, son armement ultra-sophistiqué, et le comparer à celui de ses armées ?

 Il me semblait que jamais Washington n’abandonnerait l’idée de combattre jusqu’à leur extinction les djihadistes de tous bords qui, le 11 septembre 2001, ont défié la puissante Amérique. Eh bien, si l’on en croit ce que l’on voit et ce que l’on entend, il n’en est plus rien.



Les États-Unis et leurs comparses britanniques et, hélas, français sont devenus les alliés sous-marins des islamistes. En les armant. Cela paraît invraisemblable, mais c’est la réalité que nos télévisions ne montrent pas toujours et qu’il faut dénicher sur les réseaux internationaux. Par exemple, ce parachutage de dizaines de tonnes d’armes et de munitions par des hélicoptères américains, dont le résultat est visible sur une vidéo. On y voit des soldats de l’armée régulière en train de récupérer un chargement malencontreusement tombé en zone « Assad ».

On vient d’apprendre que les fameux pick-up japonais équipés de canons et utilisés par l’État islamique comme leur principale force de frappe avaient été achetés par les États-Unis pour être livrés à l’opposition syrienne, laquelle s’est empressée d’en faire bénéficier Daech. Selon les médias turcs, 5.000 voitures neuves seraient arrivées dans le califat via la Turquie, et je ne mentionne même pas les 2.300 véhicules blindés Humvee que les barbares ont saisi chez l’armée irakienne lors de la prise de Mossoul.

Mais ce n’est pas tout ! Plus récemment encore, Mgr Hindo, archevêque syro-catholique de Hassaké-Nisibi, une ville au nord-est de la Syrie, a affirmé que les Américains concentraient leur action non pas sur Daech mais bien sur l’armée syrienne régulière

 (agence de presse américaine CNS, citée par Valeurs actuelles et La Croix). Cet archevêque a, par contre, témoigné de l’efficacité des frappes russes qui, dans son secteur, « ont fait fuir les terroristes dans l’empressement, avec 20 véhicules, en abandonnant 20 autres ». Il a souligné que la stratégie américaine était « inefficace et ambiguë », ajoutant « qu’elle [était] faite pour la galerie ». 

Mgr Hindo accuse aussi l’aviation américaine d’avoir permis l’enlèvement de centaines de chrétiens dans la nuit du 23 au 24 février dans la vallée du Khabour. « Les avions ont survolé la zone pendant longtemps sans intervenir, laissant le champ libre aux militants. » Cette vallée, forte de 35 villages chrétiens construits par la France en 1920, comptait 35.000 habitants. Ils ne sont plus que 3.000 !

Et de déplorer que les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ne parlent que d’attaquer Daech, sans vraiment le faire, mais pas le Front Al-Nosra et les autres milices liées à Al-Qaïda, à qui ils continuent de livrer des armes.

Le Front Al-Nosra qui vient d’offrir 3 millions d’euros à celui qui leur apportera la tête ensanglantée de Bachar el-Assad, que « la coalition des pervers » veut à tout prix tuer ou exiler pour le remplacer par un homme qui leur ouvrira les champs de pétrole et de gaz, et permettra à l’Arabie saoudite d’exporter son or noir via les pipelines aujourd’hui fermés. Le sort des chrétiens, des chiites et, en général, de ce peuple qui n’en peut plus de mourir sur un territoire dévasté n’est pas leur première préoccupation, n’est-ce pa, Laurent Fabius ?

Elle est belle, cette Amérique et ses vassaux français et britanniques qui veulent répéter leurs dramatiques erreurs d’Afghanistan, d’Irak et de Libye. Nous aurions préféré garder en mémoire l’Amérique du D-Day…


source 
 lien

dimanche 18 octobre 2015

Chef de la police allemande: L'enfer dans les centres d'asile, violences, viols, charia et guerres de religions!




«L'enfer est déchaîné" en Allemagne 


criminalité des sortes les plus graves, y compris le vol, le viol, l'esclavage, et l'imposition de la charia, est écrasante la police, le président fédéral de l'Union police allemande, Rainer Wendt, a mis en garde.

Dans une interview remarquablement franc diffusé sur le N24 service de télévision en Allemagne, Wendt a également averti que les activités criminelles ne sont pas le résultat des envahisseurs nonwhite être à l'étroit dans les petites localités, mais étaient luttes "fanatiques religieux" pour le pouvoir.

«Les choses ont toujours aller dans les flammes avant que les politiciens réagissent", at-il dit. "Dans nos camps d'asile tout l'enfer a déchaîné, à la frontière dans le sud de l'Allemagne et en particulier en Bavière. C'est l'enfer. Nos collègues là-bas ne peuvent même pas prendre leurs bottes plus ", at-il dit, se référant aux travaux non-stop la police en Bavière ont en essayant de faire face à l'invasion non-blanche.

"Depuis des mois, nos policiers ont été fortement accablé, et maintenant les politiciens agissent comme ils sont totalement surpris, mais qui ne peuvent pas l'être.

"Nous entendons parler de bagarres de masse dans les camps d'asile, et nous entendons parler de vols dans les épiceries. Il ya la criminalité parmi les réfugiés, ce qui signifie des viols de femmes et d'enfants, l'utilisation massive de la violence, des activités criminelles telles que l'exploitation, l'esclavage; nous le voyons tous là.

"Ce ne sont pas juste de petites querelles, parce qu'ils vivent dans des espaces restreints, ce sont les conflits territoriaux, les luttes de dominance. Ce sont des groupes religieux fanatiques qui ne peuvent pas être facilement séparés. Nos agents de sécurité sont complètement dépassés. "

Se référant aux chiffres absolus des envahisseurs non blancs qui ont versé dans l'Allemagne après la chancelière Angela Merkel les a invités dans, Wendt a dit que les nouveaux arrivants apportaient la charia avec eux.

«Ils ne respectent pas notre règle de droit. Ils savent instinctivement que nos lois sont faibles et ils savent que peu importe à quel point ils se comportent, il n'a absolument aucune conséquence pour leur statut d'asile.

"Ils peuvent très bien faire ce qu'ils s'il vous plaît, et l'Etat réagit à peine.

"Le pouvoir judiciaire et la partie politique de l'Etat devraient faire très clairement à ces personnes depuis le début que dans ce pays, la charia ne concerne pas, ou toute autre religion, mais ici la règle allemande du droit applicable, et que nous sont prêts à respecter cela.

«On ne parle pas des querelles de la famille; nous parlons crime grave, les infractions pénales extrêmes, et nous devons montrer que celui qui commet un tel acte, à des changements d'essence d'être persécutés à devenir un persécuteur, alors notre règle de droit se doit de réagir.

"Ces personnes doivent être retirées immédiatement, et pour cette raison nous avons besoin d'ouvrir les installations d'expulsion à nouveau. Cela est où ces personnes appartiennent, et ils ne disposent pas du droit d'attendre de leurs procédures d'asile dans la liberté ", a déclaré Wendt.

A demandé si elle était une bonne idée de séparer les envahisseurs pour tenter de réduire la violence, Wendt a dit que le raisonnement derrière une telle proposition était "un signe d'impuissance. Il est à peine possible, même pour les seules raisons religieuses.

"Qui voulez-vous séparer? Les sunnites des chiites, salafistes modérés des radicaux salafistes? Lorsque à la fin ils sont tous à quelques adeptes du système de croyance musulmane, il est tout simplement pas possible ", at-il dit.

L'interview originale en langue allemande peut être trouvée ici, tout ci-dessous est une version anglaise sous-titrée de l'entrevue.

«L'enfer a cassé Loose": Criminalité Invader en Allemagne - Le Nouvel Observateur

jeudi 15 octobre 2015

La Séquence Air France Laisse Le Pouvoir Socialiste Et Son Soi-disant "Dialogue Social" Sans Chemise

La fin du mensonge hollandiste sur le "dialogue social" une honte nationale pour le Premier ministre et le président


Le gouvernement face à la supercherie du dialogue social



Depuis 2012, le gouvernement est allé de renoncement en reniement. Ces deux dernières semaines, l’État a participé à la mise en scène de la violence des rapports sociaux. Le « moment Air France », c’est l’acmé douloureuse et grotesque d’une politique qui a tourné le dos aux salariés, à sa gauche, à son électorat.


Lundi prochain aura lieu la conférence sociale, grand raout inventé par Hollande pour faire s’asseoir, une fois par an et en dehors de toutes négociations, syndicats et patronat autour d’une même table. Myriam El Khomri y fera ses vrais premiers pas dans son costume de ministre du travail, et prônera, sans surprise, les vertus du dialogue social. Mais de quoi parle-t-on ? Depuis deux semaines, l’État a participé à la mise en scène de la violence des rapports sociaux, dans une France plombée par un chômage affolant. L’affaire Air France, et l’emballement sur les images de ces deux directeurs sauvés par des gros bras de la fureur des salariés, constitue de ce point de vue un marqueur de ce quinquennat, le signe de son aveuglement.

Il était plus facile, bien sûr, de condamner. Qui peut se réjouir de voir deux hommes malmenés, la chemise en charpie ? Mais pourquoi a- t-il fallu attendre plus d’une semaine pour entendre un Hollande parler aussi de la « brutalité d'un certain nombre de décisions qui peuvent être celles des patrons » ? Et encore, c’est un ouvrier CGT qui lui force la main, en refusant de serrer la sienne. La nouvelle ministre du travail, muette elle aussi, a fini par rappeler timidement au micro d’Europe 1 qu’il fallait « entendre la colère des salariés et leur incompréhension », comme si c’était des gros mots. Ce que l’on a retenu de cette séquence, ce sont donc surtout les rodomontades martiales d’un Macron et d’un Valls. « Pas d’excuse » à la violence chez Air France, a dit ce dernier lors de son déplacement en Arabie saoudite, dans un pays où les décapitations en public s’accélèrent à un rythme macabre, selon Amnesty International. Il fallait oser.

Le « moment Air France » n’est pas un point de bascule, c’est l’acmé douloureuse et grotesque d’une politique qui a tourné le dos aux salariés, à sa gauche, à son électorat. Xavier Mathieu, ex-leader des Conti, l’a présenté à sa manière cette semaine, jetant un voile d’ombre sur le plateau du grand journal de Canal +, glaçant ses interlocuteurs par le rappel des cinq suicides qui ont suivi la fermeture de son entreprise : « Je rends hommage à la classe ouvrière car depuis 2008 [le début de la crise financière - ndlr], il n’y a jamais eu un vrai drame. On serait aux États-Unis, où tout le monde a des armes, il y en aurait eu une paire qui se serait fait plomber. »

La violence est bien là, tapie dans l’ombre d’un chômage et d’une déstructuration sociale dont on ne prend même plus la peine de parler et que le pouvoir feint d’ignorer. Elle se nourrit de tous les reniements passés. En début de mandat, François Hollande commence par enterrer la proposition de loi sur l’amnistie syndicale, contrairement à sa promesse faite aux communistes. Son gouvernement n’aura ensuite de cesse de nier les rapports de force, plaidant sans relâche pour la négociation, le consensus. Cette rentrée, pour vendre sa future réforme du code du travail, il n’y en a eu que pour la « responsabilité des acteurs »« la culture du dialogue » et « la confiance dans les entreprises ».

Le gouvernement pousse même la “conversion au réalisme” jusqu’à dénier le moindre rôle de l’État dans les rapports sociaux. Celui-ci ne doit même plus être arbitre ou médiateur. Il est prié de s’effacer de tout pour laisser le dialogue « sain et équilibré » entre patronat et salariés se dérouler sans anicroche. L’existence même de la loi dans le monde de l’entreprise paraît désormais même critiquable à une partie de cette “gauche décomplexée”. Dans le sillage, le gouvernement affaiblit tous les organismes de contrôle, que ce soit la médecine du travail ou l’inspection du travail (voir à ce sujet le cas exemplaire de Tefal) jugés comme des empêcheurs de produire en rond. Même dans ses scénarios les plus optimistes, le patronat n'en attendait pas tant. Le gouvernement aime vraiment l'entreprise, comme l'a affirmé Manuel Valls lors de l'université d'été du Medef en août 2014.

Dans ce contexte, Air France est un cas d’école. Un corporatisme exacerbé, tendu à l’extrême par une direction trop heureuse d’avoir ainsi des ferments de division dans sa main. Une énième négociation annoncée unilatéralement avant l’été, alors que des accords sur la productivité sont en cours, et qu’ils ont été chèrement discutés l’an dernier. Pour finir, un ultimatum, et la menace de licenciements secs. En bonus, un État, actionnaire à plus de 17 % d’une entreprise en crise, qui joue au mort, et refuse même de revoir des dispositions handicapant la compagnie aérienne qui relèvent pourtant de sa compétence. Et tous de s’étonner ensuite que la corde casse…

  • Michel Sapin n’a pas eu un mot, ou presque, lors de la présentation du budget 2016, pour le chômage,
     comme le rappelle cet article de Mediapart. Le ministre des finances s’en est tenu à sa feuille de route, la « maîtrise de la dépense publique ». Pendant ce temps, les plans sociaux, les faillites continuent inexorablement.

Le corollaire immédiat de cette ligne, c’est la désillusion énorme des salariés, ceux d’Air France et des autres. Les syndicats aussi sont en plein désarroi, incapables de raccrocher les
 wagons quand les lois s’ajoutent les unes aux autres, tellement complexes et protéiformes qu’elles glissent entre leurs doigts. La loi Macron, modèle du genre, qui a notamment voulu plafonner les indemnités prud’homales (l’article a depuis été retoqué par le conseil constitutionnel), et qui ouvre la voie au travail du dimanche, est le marqueur d’une gauche qui capitule.

Depuis, le ministre de l’économie s’est érigé en ministre du travail, multipliant les provocations à l’image d’un Nicolas Sarkozy quand il était ministre de l’intérieur. Ayant un avis sur tout, Emmanuel Macron en appelle un jour à en finir avec le statut des fonctionnaires, le lendemain avec les 35 heures, le surlendemain avec le code du travail. Pour finir par cette déclaration : « Si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout de l’autre, j’essaierais de me battre d’abord. » Tenir de tels propos quand il y a 5 millions de chômeurs en France fait l’effet d’une gifle.

Les syndicats voient aussi les référendums se multiplier dans les entreprises, derniers exemples en date chez Smart ou Sephora, une manière toute particulière de piétiner à bas bruit la représentativité à la française, de mettre en question leur légitimité. Des syndicats, enfin, qui sont de plus en plus souvent dépassés par leur base. Fatigués des coups de menton indolores des centrales parisiennes, incrédules devant l’opacité des jeux financiers, des salariés cassent, sabotent, séquestrent.

En jouant l’indignation à géométrie variable sur Air France, le risque pris par le gouvernement est immense. Il apporte l’illustration que le dialogue social peut n’être, au fond, qu’une énorme supercherie.
Convergence anticapitaliste et écologique: L'ETAT METTEUR EN SCENE DE LA VIOLENCE DES RAPPORTS SOCIAUX / LE GOUVERNEMENT TOURNE "LE DOS AUX SALARIES, A SA GAUCHE, A SON ELECTORAT".

mardi 13 octobre 2015

La Chine Et La Corée Du Nord Je Joignent À La Coalition Russe En Syrie




Des pilotes nord-coréens en Syrie


La situation devient très dangereuse au Moyen-Orient où des avions de combat de l’armée de l’air 
turque (Türk Hava Kuvvetleri) tentant de survoler les zones frontalières avec la Syrie pour assurer le 
passage des convois de combattants rebelles ont failli se faire abattre par des avions de combat russes 
de type Sukhoi Su-30 SM, Sukhoi Su-24, lesquels n’ont pas hésité à les pourchasser jusqu’à 
l’intérieur du territoire turc (5 miles de profondeur selon Ankara; quelques centaines de mètres selon Moscou)


La Chine envoie son porte-avion et 1000 fusiliers en Syrie


la Chine a rejoint la Russie dans son offensive en Syrie. Pour la première fois, les deux grandes puissances ont allié leurs forces armées au Proche-Orient pour y neutraliser les USA.
Porte-avion et fusiliers-marins
Alors même que le président chinois est en visite à Washington, le porte-avion Liaoning-CV-16 vient d’arriver dans le port syrien de Tartous où stationne déjà la flotte russe (source). Il est accompagné d’un croiseur doté de missiles guidés. La Chine entre donc formellement dans l’alliance associant déjà l’Iran et la Russie dans la région.
Le porte-avion devrait accueillir ses chasseurs et hélicoptères en novembre, après qu’ils aient transité par l’Iran et l’Irak. A cette fin, une cellule de coordination a été établie en Irak entre l’Iran et la Russie (source). Il s’agit aussi de combattre l’Etat Islamique en Irak.
Des avions J-15 chinois seront ainsi déployés, soit sur le porte-avion, soit sur la base aérienne de Jableh où opèrent déjà les Russes. Des hélicoptères de lutte anti-sous-marine Z-18F les rejoindront ainsi que des Z-18J.
Au moins 1000 fusiliers marins devraient être déployés en Syrie pour combattre les djihadistes et plus particulièrement les islamistes Ouïghours dont Pékin veut se débarrasser sur place. La Chine veut ainsi tuer dans l’oeuf, à l’instar de la Russie avec les djihadistes tchétchènes, toute utilisation de ces derniers par Washington à des fins d’agitation séparatiste et terroriste.


« L’Histoire retiendra peut-être que la troisième guerre mondiale a commencé le mercredi 30 septembre 2015 »

La troisième guerre mondiale a-t-elle commencé ? ». La façon dont évolue le conflit syrien depuis quelques jours avec les premiers bombardements russes en Syrie ressemblent aux prémices d’une déflagration planétaire.
Il est vrai que les ingrédients d’une nouvelle déflagration sont présents : Deux coalitions : l’une dirigée par Washington, l’autre par Moscou, avec des objectifs divergents. Deux puissances régionales, l’Iran et l’Arabie Saoudite, qui se livrent une guerre par procuration. Et des groupes armés qui échappent à tout contrôle.


lundi 12 octobre 2015

Un Maire Allemand Explique Aux Migrants : Ne Salissez pas, Ne Volez Pas Et N'harcelez Pas Les Femmes!



Consternant que ce maire allemand soit contraint d'expliquer aux migrants les règles élémentaires de toute civilisation!

• "En cas de besoin urgent, on utilise les toilettes et non les jardins, les parcs ou les buissons". 

• "Lorsqu'on utilise des toilettes publiques, on les laisse propres."

• "En Allemagne, on respecte les propriétés privées. On n'entre pas dans les jardins ou les bâtiments, on ne mange pas les fruits ou les légumes qui ne nous appartiennent pas."

• "Les jeunes filles sont incommodées qu'on leur demande leur numéro de téléphone ou leur contact et ne veulent se marier avec personne."


• "En Allemagne, vous payez vos articles dans les supermarchés avant de les ouvrir."

Les réfugiés se plaignent que la nourriture n'est pas suffisante et pas bonne, qu'ils sont entassés. Que veulent-ils ? Des chambres dans de bons hôtels qu'ils ne paieront pas et où ils seront servis à la carte?

Ils se plaignent aussi et c'est cela le plus intéressant, qu'ils ne peuvent vivre avec des personnes qui ne sont pas de leurs ethnies et pas de leur culture. Comme c'est curieux : quand des Français osent dire qu'il est impossible de vivre avec des gens de cultures différentes de la leur, ils sont accusés de racisme et de xénophobie, d'islamophobie, de fascisme.


Tout ceci prouve s'il en était besoin, que la gauche se trompe de bout en bout mais qu'elle s'obstine à vouloir imposer à un peuple qui n'en veut pas, la société de leur utopie et que nous allons ainsi tout droit vers de graves affrontements.

L'Allemagne va au devant de gros problèmes dont Mme Merkel pourrait faire les frais tandis que les partis de l'extrême droite gagneront des sièges. C'est ce qui se passe chez nous où Mme Le Pen monte, monte à cause de la gauche qui prétend la combattre.


Interview zum Flüchtlings-Leitfaden: "In Deutschland gibt es Papierkörbe" - n-tv.de 

traduction google trad : Google Traduction