Il est bien certain que l'on ne saurait que trop dénoncer l'israëlisation de la politique étrangère de la France de françois Hollande. De la part de Sarkozy, on était habitué depuis longtemps de sa position pro israélienne, mais Hollande qui se voulait "rassembleur", un tel degré d'hypocrisie et d'infamie, c'est quelque chose de vraiment ignoble.
Le grand déshonneur d'un petit président
François Hollande est décidément un être ambigu. Ambigu en tout. Et cela tout le monde le sait depuis longtemps. Ce que l'on sait le moins, c'est qu'il a un sens de l’honneur ambigu aussi. . J'ajouterais même, de la dignité et la fidélité ou tout autre noble qualité .
En réalité, L'homme de la "synthèse" en est une à lui tout seul. Une synthèse, premièrement, d'un socialisme français au rabais souillé par une équipe de fossoyeurs de la démocratie et de toutes les valeurs humaines dirigée par un Premier ministre indigne de la patrie des droits de l'Homme ou du moins de ce qui en reste : Manuel Valls, l'israélien ; et, deuxièmement, d'une idéologie française colonialiste éternellement hostile aux arabes et aux musulmans et depuis peu soumise à un sionisme français radicalement abjecte et israélisé à outrance.
Comment peut-on expliquer autrement, l’indignité, pour ne pas dire autre chose, dont il s'est montré capable le petit président français?
Comment a-t-il osé s’asseoir lâchement sur toutes les valeurs humaines en général et françaises en particulier au point d'oser se solidariser avec le bourreau de Gaza, Natanyahou?
Ce vengeur juif qui, d'une part, regrette, nous dit-il, la mort d'un jeune palestinien pour, d'autre part, se venger lui sur plus d'un million d'habitants en détruisant leurs maisons sur leurs tètes?
Pis encore, ce sionisme français raciste et belliqueux et intrinsèquement d'extrême droite ethnique et religieuse et devant lequel se couche aujourd’hui lui et son premier ministre, l’israélien, fut le premier à le combattre durant la dernière élection présidentielle tandis que ce sont bien les Musulmans français qui, par un vote massif, ont permis de l’élire président. Certes, un médiocre président, mais président tout de même.
Qu'ont-ils obtenu en signe de reconnaissance? Et bien, c'est, d'abord, la love Story entre le Petit président et son nazillon d'ami Natanyahou à Toulouse puis à Tel Aviv durant laquelle le français est allé jusqu’à danser et chanter son amour pour la patrie de tous les extrémismes, de tous les terrorismes et de tous les crimes.
Vient, en suite, la nomination de l'aile politique de la Ldj et du Betar, Valls l’israélien, en poste de premier ministre. Ici, des millions des Musulmans français ont assisté. incrédules, à un authentique reniement de toutes les valeurs qui ont cru naïvement qu'ils font partie de la Synthèse socialiste chère au petit président.
Cependant, le petit président a incontestablement un bon sens de la dégringolade comme le montre l’évolution de la courbe de sa (non)popularité . Autant dire qu'il a réservé le pire pour la fin.
En effet, au moment ou Israël bombarde une population civile désarmée et cantonnée dans quelques mètres carrés, détruisant par des missiles à tètes chercheuses maisons, écoles et hôpitaux sur les têtes de ses habitants, majoritairement des femmes et des enfants, le petit président ne peut dans une servitude digne des petits gens que de se solidariser avec les bourreaux sionistes encourageant ainsi la continuité de ces crimes abominables souillant ainsi, par la nature des choses, le drapeau français qui se trouve de ce fait entaché du sang des civils innocents, femmes et enfants majoritairement. .
La rupture est donc consommée avec les Musulmans français. Et les conséquences de cet affront de trop seront ressenties dans les urnes et dans la rue le plus tôt possible. Affront qui, en réalité, dit long sur le grand déshonneur de ce petit président.
En fait, au-delà de cette vérité somme toute banale, les Musulmans français devront maintenant se rendre à l’évidence : Il est grand temps pour eux de peser sur le cours des événements en prenant la place qui est la leur.
Et cela commence par un refus total et sans appel de toutes les idéologies sionistes pro-israéliennes en France et ce, d'ou qu'elles viennent. L'avenir des Musulmans de France se décide donc entre une subtile marche sur le fil du rasoir entre ceux qui leur font les yeux doux en France mais aident activement dans les massacres de leurs frères ailleurs et les autres qui, à leur encontre, menacent par les pires persécutions et qui ne sont jamais une solution. Autant dire qu'ils n'ont qu'à être eux mêmes.
Le grand déshonneur d'un petit président.
Israël and Coke
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Qu'est-ce que vous buvez ?