Twitter / AfterEight13 : Le plan d'économies de #Valls ... |
«trop flou et trop peu»
Valls déplaît à la droite, à la gauche de la gauche et à certains syndicats.
Les autres? Ils lui laissent faire le sale boulot du MEDEF et des banquiers!
De toutes façons à 50 milliards il n'est déjà plus crédible, vu que dans un an il en faudra 100... quand à son contenu, c'est une nouvelle sorte d'augmentation de la fiscalité...
En 2013 ils ont (quand même!) taxés les français de 60 milliards de plus!
Les syndicats misent sur la rue pour faire fléchir Valls
Les syndicats tablent sur une mobilisation massive des fonctionnaires lors de la journée d'action du 15 mai pour tenter d'infléchir la politique de Manuel Valls, qui a annoncé mercredi le gel du point d'indice pour trois années supplémentaires.
Reçus jeudi par le Premier ministre dans le cadre des consultations sur le "pacte de responsabilité et de solidarité", ils ont trouvé un Manuel Valls "inflexible" sur cette mesure.
"Sans mobilisation sociale on n'arrivera pas à faire infléchir cette politique, ce ne sera pas par une bataille d'arguments", a déclaré Annick Coupé de Solidaires.
Solidaires, comme sept autres syndicats (CFDT, CGT, CFTC, FSU, Solidaires, UNSA et la FAFP), appelle les 5,4 millions de fonctionnaires à manifester et faire grève le 15 mai.
Le Medef n'est pas plus indulgent
Le titre de son communiqué vaut d'ailleurs absence de quitus: «trop flou et trop peu» même si l'organisation patronale voit «des choses intéressantes» dans le plan annoncé par le premier ministre. Sans plus. «L'ensemble manque d'ambition et on finit par se demander comment ils vont faire, explique un proche du patron des patrons, Pierre Gattaz. On s'attendait à quelque chose de plus courageux.
En matière de santé, ils refont le coup des économies sur les médicaments mais épargnent l'hôpital. Il n'y a aucune réforme structurelle au niveau de l'État. Et sur la Sécurité sociale, on se contente de ne pas revaloriser certaines prestations. Il va pourtant bien falloir retoucher un de ces jours la retraite. Le maître mot général est déception.
Les syndicats misent sur la rue pour faire fléchir Valls
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