mardi 1 avril 2014

Erdogan Vient-Il De Prouver La Théorie Du Complot (sous fausse bannière)?



C'est Devenu l'affaire "Erdogan Leaks" ou "Erdogate"



Une conversation entre les dirigeants politiques et militaires turcs clés afin de planufier de ce qui semble être une attaque sous fausse bannière en ordonnant une attaque de missiles sur la Turquie ) pour justifier une guerre ouverte contre la Syrie. 

Toute ressemblance avec le 11 septembre ne serait que du complotisme négationniste haineux!


Il a été révélé que l’OTAN a plannifié une attaque fausse-bannière contre la Turquie afin de justifier une invasion turque du nord de la Syrie, a rapporté dans son article l’International Business Times:
Il a publié le transcript complet d’une converstaion fuitée entre le patron des renseignements turcs Hakan Fidan et le ministre turc des affaires étrangères Ahmet Davutoglu. Le Times a quant à lui rapporté que l’interdiction de YouTube par le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan s’est produite après que la conversation entre Fidan et Davutoglu n’ait été fuitée et qu’il voulait qu’elle soit enlevée du site de partage vidéo en ligne.
L’appel fuité détaille les pensées d’Erdogan qu’une attaque sur la Syrie “doit être vue comme une opportunité pour nous (La Turquie)”. Dans la conversation, le chef du renseignement Fidan dit qu’il allait envoyer quatre hommes en Syrie pour attaquer la Turquie “afin d’avoir un casus belli (une cause de guerre)”.
L’adjoint du chef d’État-Major le Lieutenant Général Yasar Güller répond que les actions projetées de Fidan sont “une cause directe de guerre… Ce que vous allez faire est une cause directe de guerre.”
Le ministère turc des AE a dit que l’enregistrement fuité de ces officiels du gouvernement de haut niveau discutant de l’opération en Syrie a été “partiellement manipulé” et est une “pauvre tentative d’attaque” sur notre sécurité nationale. Dans la vidéo fuitée, Fidan discute avec Davutoglu, Güler et autres officiels d’une opération possible en Syrie afin de sécuriser la tombe de Souleiman Shah, le grand-père du fondateur de l’empire Ottoman.
Les médias occidentaux ont été obsédés par myopie volontaire au sujet de la Turquie interdisant Twitter et Facebook et des fuites en ce qui concerne la “corruption”, dans une tentative de faire diversion sur les conversations révélant que la Turquie, un membre de l’OTAN depuis des décennies (NdT: Rappelons toujours que l’OTAN est l’Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord), planifiait une attaque fausse-bannière qui aurait mené à une guerre intentionnellement provoquée avec son voisin syrien.
Ceci survient alors que la Turquie fournit un support aérien, logistique et une couverture d’artillerie pour les membres d’un groupe que le ministère des AE des Etats-Unis désigne lui-même comme terroriste: le Front Al-Nosra, qui a mené une offensive sans relâche depuis le territoire turc, dans la province nord-ouest de la Syrie de Lattaquié.
Depuis que l’opération a commencé il y a plusieurs jours, la Turquie a abattu un avion de guerre syrien qui ciblait des militants d’Al-Nosra  en territoire syrien. Bien que la Turquie affirme que l’avion syrien ait violé l’espace aérien turc, l’appareil s’est écrasé en territoire syrien et le pilote qui s’était éjecté a été récupéré en Syrie. L’incident a été utilisé par la Turquie pour établir une base rhétorique pour pouvoir escalader plus avant les tensions entre Ankara et Damas, certainement pour essayer d’obtenir une raison de guerre au lieu de l’opération fausse-bannière plus risquée de l’OTAN.
La posture guerrière de la Turquie au nord est renforcée par une offensive conjointe américano-saoudienne dans le sud, près de la frontière jordano-syrienne dans la ville de Daraa et ses environs. Appelé le “front sud”, l’offensive apparaît avoir déjà été neutralisée par les forces de sécurité syriennes.
En ce qui concerne la création du “front sud”, le think-tank politique financé par les entreprises américaines, Carnegie Endowment for International Peace a même dit dans sa publication “Does the “Southern Front” Exist?,”que:
Plutôt qu’une initiative des rebelles eux-mêmes, ce furent des officiels étrangers qui ont demandés aux commandants rebelles de signer une déclaration montrant leur opposition à l’extrémisme, disant que cela était une pré-condition pour recevoir plus d’armes et d’argent.  Comme les mendiants peuvent devenir ceux qui choisissent, les commandants ont alors collectivement haussés les épaules et ont signé, mais pas tant pour déclarer une nouvelle alliance que pour aider les officiels américains à cocher toutes les bonnes cases dans leurs rapports envoyés au bercail, espérant que tout cela débloquerait des caisses d’armes supplémentaires.
Avec le “front sud” devenant un champ de bataille mort-né et l’OTAN devant se compromettre dans des attaques fausses-bannières en soutien évident aux organisations terroristes affiliées à Al Qaïda, l’énergie du désespoir occidental dans ce qui apparaît être la “stratégie de la dernière chance” est particulièrement palpable.
Tony Cartalucci
Article original en anglais : NATO’s Plans for False Flag Attack on Turkey?
Traduction : Résistance 71

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