Trierweiler et Hollande unis dans la détestation
Valérie Trierweiler n'aura jamais réussi à faire passer ses émotions après la politique, voire même après la bienséance que réclamait son statut.
De l' "embrasse moi sur la bouche" jusqu'à ses dernières déclarations, en passant par le tweet au candidat Rochelais "anti ségolène Royal" des législatives , tout a contribué à démontrer qu'elle n'était pas faite pour occuper cette position médiatique surexposée, son "normal de compagnon" non plus d'ailleurs...
Cette orgueilleuse, jalouse maladive, harcelant d'anciens confrères pour de simples légendes de clichés qui, par exemple, ne spécifiaient pas fils de "l'ex couple" Hollande/Royal pour désigner leur fils Thomas, elle s'est enfermé dans ses obsessions...
Et toutes ses petites phrases d'aujourd'hui ou de demain n'y changeront rien, trop d'exemples la classent définitivement comme étant ingérable et sans retenue. Sa tentative de victimisation ne convaincra que les anti Hollande de la première heure...
Une "peopolisation" qui parasite la suite du quinquennat
Déjà torpillé ponctuellement par les échecs avoués ou non, les couacs et les manifestations virulentes, l’Élysée, n’offre aucun récit officiel aux français.
Dorénavant la moindre nouvelle révélation sur la vie sentimentale (pour ne pas dire sexuelle) de François Hollande pourra à tout moment de court-circuiter son discours et détourner l’attention médiatique des priorités du gouvernement.
Le "silence pudique" de l’entourage du président et la tentative pathétique de gommer la présence de l’ex-Première dame du portail de l’Élysée (600 clichés effacés) n’y changeront rien.
Une première ? Un précédent à un échelon peopolitique inférieur existe : la séparation du couple Pulvar-Montebourg. On se rappellera en effet le "déscotchage" plus ou moins apparent effectué par Audrey Pulvar suite à sa rupture avec Arnaud Montebourg, n’hésitant pas à ouvertement critiquer l’action du gouvernement.
Reste à observer si Valérie Trierweiler, après l’état de disgrâce, ne connaîtra pas le même "purgatoire" auquel semble faire face la chroniqueuse du "Grand 8", autre "femme libre".
L’affaire Gayet et la confirmation tacite du statut d’ex-Première dame n’auront véritablement fait que confirmer la "tabloïdisation" généralisée de la sphère journalistique française. La presse a pris goût aux confidences de boudoir, restant à l’affût des prochaines "séquences" du vaudeville élyséen.
La nomination cocasse de Julie Gayet dans la catégorie "meilleur second rôle féminin" pour "Quai d'Orsay", le film de Bertrand Tavernier, ne mettant que davantage en lumière la propension de cette "peopolisation" à parasiter la suite du quinquennat.
Hollande héritier d'une longue tradition de politiciens libidineux
L'affaire Hollande gayet Trierweiler aura été aussi juteuse qu'un bon coq au vin.
François Hollande a repris le rôle de fêtard en chef du G8 laissé vacant depuis le départ de Silvio Berlusconi.
Les détails de cette liaison sont savoureux: il n'y a qu'en France où le garde du corps est chargé de ramener les croissants. Seuls les Français peuvent s'indigner sur le mode de transport choisi plutôt que sur cette infidélité.
De Félix Faure à VGE en passant par François Mitterrand, François Hollande n'est que l'héritier d'une ignoble tradition de politiciens libidineux.
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