Ce n'est pas une rumeur! |
Outrances et mensonges
Najat Vallaud Belkacem et Vincent Peillon sont des menteurs, ils se dérobent devant leur propres initiatives.
Prisonniers (volontaires) de forces "éducatives" et "progressistes" qui les dépassent, ils n'osent même plus assumer leurs outrances.
Hélas, ces initiatives visant à construire "l'homme nouveau" et "l'ordre nouveau" rappellent fâcheusement les efforts de la "science soviétique" et la rééducation des socialismes asiatiques...
Quand certains responsables de la majorité parlent de population magrébine, turque et gitane comme étant des personnes non cultivées, ignorantes... bonjour le racisme!
Quand ces personnes ne se soumettent pas, il faut leur "expliquer", le médicament ne fonctionne plus alors triplons les doses!
Prétendre qu'il faut contrôler et poursuivre ceux qui ont informer la population sur la théorie du genre, cela pose question sur la nature de notre démocratie.
Considérer Farida Belghoul comme étant d'extrême droite, elle qui a tant lutté contre racisme, c'est du n'importe quoi.
Ce qui est inquiétant, c'est ce totalitarisme mou qui s'installe progressivement dans la société à travers des lois qui réduisent en permanence nos libertés ainsi que ce matraquage idéologique qui intimide et rend la capacité de réagir de plus en plus difficile.
Une Journée de retrait de l’école lancée
Farida Belghoul est devenue la figure de proue du mouvement contre la théorie du genre. Pour l'écrivaine et cinéaste, l'influence du lobby LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, Transsexuels) auprès des décideurs n'est plus à démontrer.
Ancienne fondatrice de Convergence 84, le mouvement qui a succédé à la Marche pour l’égalité et contre le racisme de 1983, elle affiche aujourd'hui sa proximité avec Egalité et Réconciliation, fondée par l’essayiste d’extrême droite Alain Soral. Pour autant, de nombreux parents d’élèves, inquiets du sort que peut leur réserver l'Education nationale à leurs enfants, sont séduits par la campagne de Farida Belghoul, marquée par le lancement de la « Journée de retrait de l'école » (JRE).
Par cette initiative, elle invite les parents à retirer leurs enfants de l'école une journée par mois à partir de janvier 2014, en justifiant cette absence par la phrase « journée de retrait de l'école pour l'interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires ». En région lyonnaise, elle est fixée le 24 janvier ; en Ile-de-France, le 27 janvier comme à Nancy et Metz. Des comités se forment ailleurs en France pour fixer des JRE.
Touche pas à nos gosses, un collectif d’une soixantaine de personnes basé à Asnières-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, est impliqué dans la lutte contre la théorie du genre. A la mi-décembre, le collectif avait procédé à une « opération de distribution de tracts » pour sensibiliser le public à une plus grande échelle, nous raconte un de ses membres, Zouhair Ech Chetouani.
« La sexualité des adultes ne concerne pas les enfants », argue-t-il. « On ne veut pas laisser enseigner n’importe quoi à nos enfants », lance-t-il.
l’Education nationale joue un rôle moteur
- Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.
- L’expérimentation, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, de crèches neutres s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
- La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
- La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques : « que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
- La diffusion dans le cadre du programme « Ecole et cinéma » du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçons.
- Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres "non-genrés" comme "Papa porte une robe". Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter.
Résistance
De jour en jour nous découvrons les différentes méthodes de déstructuration de la civilisation et de la famille.
La perversité est est désormais en ordre de marche.
Mobilisons nous..résistons!
Le lavage de cerveau de nos enfants ne doit pas avoir lieu..
Il y a un pére et une mère à la base de toute vie...tout le reste est une fumisterie qui tient lieu de "programme de gauche" quand tout le reste (social) a été abandonné à la finance et au MEDEF!
La Commission des droits de l'homme propose l'introduction de la notion de "genre" dans le droit français
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