L'un a fait couler Libé de 50%, l' autre a fait couler Hollande de 50% |
Panique à "Rothschild-City"
Il n'aime pas les banques, il n'aime pas les mé(r)dias non plus et tire donc sur tout ce qui bouge !
Voilà un scénario cousu de fil blanc qui tombe à point pour redorer le blason d'un gouvernement en chute libre.
Autant l'affaire Merah sentait les barbouzes dès le départ, ici, ça ressemble d'avantage à un pétage de plomb "vengeur" en règle, compte tenu des cibles choisies : BFM, Société Générale, Libération... Le message est assez clair et fait écho à un ressentiment populaire assez généralisé en fait...
Manifestement ce type n'aime pas beaucoup les banques et la presse, tactiquement, on fait comme d'habitude, on renverse la vapeur et ces engeances deviennent les victimes (d'un tireur fou il parait...). La suite, vous la connaissez, associer cette image au dissident honnête et pacifique. Souriez, vous êtes les nouveaux terroristes potentiels !
La presse doit effectuer son droit d'inventaire!
A Libé, ils vont être ravis d’apprendre « que la criminalité est au niveau d’il y a trente ans », et que leur sentiment d’insécurité est un fantasme des classes populaires.
Les journalistes, comme à leur habitude ne reculent devant rien pour se poser en victime.
Ils insultent, vilipendent, critiquent, jugent, mentent (pour certains) et s'étonnent d'une réaction d'une France qu'ils passent leur temps à pointer du doigt.
Alors évidemment, il faut trouver un coupable et même s'il n'est plus là, Sarkozy a le profil idéal, un homme qui a voulu faire bouger les lignes, notamment supprimer un abattement fiscal (conspué par la cour des comptes) qui coûte une fortune chaque année à la France.
Car malheureusement il n'y a plus aujourd'hui de grands journalistes, on ne compte que des éditorialistes, pour les plus modérés d'entre eux, des militants politiques pour le plus grand nombre qui défendent leurs propres opinions drapés dans leurs certitudes que leur conférerait le Saint Graal "La carte de presse"
Ces hommes et ces femmes devraient plutôt se poser la question de leur ligne éditoriale hypocrite ainsi que de leur comportement quand on voit que Valeurs Actuelles est le seul titre de presse avec La Croix à faire progresser ses ventes en kiosque, c'est le synonyme d'une demande d'une nouvelle presse moins corporatiste.
Les journalistes, plutot de s'offusquer, de se plaindre, de crier à tout va à la mort de la démocratie feraient mieux de finir de disparaitre en silence et de laisser la relève 2.0 prendre leur place. Voilà qui faciliterai la révolution !
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