Lâche et médiocre
François Hollande est un lâche. Cela ne fait plus aucun doute. Il est fort avec les faible et faible avec les forts. Il bombe le torse, fanfaronne, mais s'écrase immédiatement devant l'autorité. Très honnêtement, ce Président nous fait honte. Un vrai malaise trans-courant de gauche à droite s'installe dans l'électorat à l' idée qu'il représente la France.
Hollande, le grand méchant mou
Le président a fermement limogé Delphine Batho mais refusé l'asile à Edward Snowden. Une contradiction qui scandalise Daniel Salvatore Schiffer."Il aura presque réussi à nous faire croire qu'il était un homme fort....
Un hypocrite et un double langage...
C'est dire l'ampleur, mais surtout le déshonneur, de ce double et pathétique langage...
indigne ambiguïté comportementale de la part de l'actuel président de la République ...
Ce vaisseau fantôme qu'est ce hollandais volant (Richard Wagner me pardonnera), qu'un mot : le grand méchant mou. Autant dire qu'il s'agit là d'un vaudeville tragi-comique bien plus que d'un opéra, sinon, comme diraient Bertolt Brecht et Kurt Weill, de quat'sous !"
La raison du plus fort est toujours la meilleure
Soutenir le fort contre le faible est une grande tradition de nos idéologues républicains qui font tout pour faire oublier qui sont les réels inspirateurs et soutiens de leur politique, alors qu'ils sont censés être les représentants de la volonté populaire sortie des urnes. Les récentes querelles autour de LGBT ont servi de révélateur des groupes de pression qui agissent dans l'ombre, tant il est vrai que la réalité du pouvoir se situe derrière le rideau de fumée maintenue par l'illusion de la représentation démocratique.Lorsque la France accorde l'asile politique à une Femen pourchassée en Ukraine pour avoir scié une croix, c'est-à-dire s'être attaquée directement aux valeurs fondatrices de l'unité nationale ukrainienne, alors que la France dénie le même privilège à M. Snowden qui n'a fait que dénoncer des abus de pouvoir caractérisés de la part d'Etats voyous.
Il faut bien reconnaître qu'une ambiguïté fondamentale s'est glissée dans le discours gouvernemental, dont les actes nient les paroles creuses, ôtant toute crédibilité à la générosité affichée par la "patrie des droits de l'homme" qui prend systématiquement parti pour le fort contre le faible au nom d'arguments spécieux qui ne trompent personne. Nos gouvernants parlent donc dans le vide car tout le monde sait que la France s'est rallié à l'Empire américain quel que soit le coût en matière de dégradation de son image comme nation souveraine porteuse d'authentiques valeurs de civilisation qui s'abaisse dans des discours dilatoires.
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