vendredi 3 mai 2013

François Hollande Et Le Printemps Des Poêtes


POÉSIE SUR " PÉPÈRE "




Cette histoire commence dans la Corrèze profonde,
> > > > Occupé à ruiner sa terre d'élection,
> > > > Hollande rêvait déjà de la France et du Monde,
> > > > D'appauvrir maintenant le reste de la nation.

C'est qu'il aimait les pauvres, cet enfant de notable,
> > > > Il les aimait tellement, qu'il en voulait encore,
> > > > C'est qu'il mesurait bien qu'une voix est changeable,
> > > > Contre l'espoir vain d'une vie de confort.

Voilà notre Pépère, l'absent des ministères,
> > > > Se rêver dans la peau des grands hommes de la France,
> > > > Pensant que cette terre, plusieurs fois millénaire,
> > > > Méritait maintenant une nouvelle espérance.

Alors il entama sa marche triomphale,
> > > > Promit le changement et la justice partout,
> > > > Il mentait tant et tant, qu'à une heure vespérale,
> > > > D'un mois de mai maudit, la France choisit le mou.

La Bastille envahie de drapeaux étrangers,
> > > > Les artistes généreux avec l'argent public,
> > > > Le retour à Paris à bord de jets privés,
> > > > Lançaient le quinquennat du petit boulimique.

Et celui qui voulait rassembler le pays,
> > > > Soignant son premier geste au sommet du perron,
> > > > Méprisa le vaincu et la France avec lui,
> > > > Présenta son séant en tournant les talons.

Les choses était lancées et l'euphorie passée,
> > > > Hollande découvrit les ficelles du métier,
> > > > La crise que jusqu'alors il ne voulait pas voir,
> > > > Nourrissait ses journées jusque dans ses cauchemars.

Le monde a bien bougé depuis 81,
> > > > Mais cette gauche momifiée ne veut pas changer d'ère,
> > > > Il reste une unique chose quelle sait faire très bien,
> > > > C'est détruire les emplois et semer la misère.

En 10 tous petits mois, en moins d'un an seulement,
> > > > Ils auront réussi avec un grand talent,
> > > > A reléguer la France dans le camp des perdants,
> > > > Tout en scandant encore « le changement c'est maintenant ».

Mais sur ce point au moins ils n'auront pas menti,
> > > > Le changement est criant depuis ce jour maudit,
> > > > Où le peuple berné, a porté au pouvoir,
> > > > Le chef le plus mauvais de notre longue histoire.

Lui Président voulait rompre avec le passé,
> > > > Prendre de la hauteur, montrer sa dignité
> > > > Et se vautra très vite dans la médiocrité,
> > > > Montrant qu'il avait feint son souci d'unité.

Lui Président voulait incarner le pouvoir,
> > > > De sa normalité avait fait un devoir,
> > > > La France découvrit que ce très grand flemmard,
> > > > Ne gouvernait même pas dans son propre plumard.

Lui Président voulait rompre avec ces années,
> > > > Où la France était forte, écoutée des alliés,
> > > > Il réussit l'exploit d'un revers de la main,
> > > > De fâcher notre France et son voisin germain.

Lui Président voulait être proche des gens,
> > > > Se faire aimer aussi des petits et des grands,
> > > > Mais sa légèreté aux affaires de l'État,
> > > > Dans l'abîme sondagière pour 
longtemps le plongea.

Lui Président voulait conduire de grands débats,
> > > > Mais le mariage pour tous que la France ne veut pas,
> > > > Devra passer quand même et si le peuple gronde,
> > > > C'est qu'il est vérolé par des idées immondes.

La machine est en panne, l'économie en crise,
> > > > La croissance un souvenir, ils n'ont plus la maîtrise,
> > > > Et si en mai dernier, les Français ont choisi,
> > > > Ceux qui vont nous ruiner, c'est qu'ils avaient menti.

Alors ne laissons pas ces vendeurs de misère,
> > > > Détruire plus encore le pays des Lumières,
Faisons jaillir la flamme, rallumons cette braise,
> > > > Renvoyons au plus vite, Pépère dans sa Corrèze

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