Deux chipies et un couillon |
Intrigues amoureuses au Palais
Lassé des frasques tapageuses de Nicolas Sarkozy et Carla Bruni, les Français ont opté pour François Hollande comme leur prochain président. Mais l'homme qui a fait campagne en tant que «Monsieur Normal».
Il a été finalement pris au piège entre deux femmes dans un psychodrame tordu qui dure depuis 20 ans !
Avec un seul tweet, le scandale a éclaté.
Article complet en français (version Google Traduction)
Article original :
The Intrigue Between François Hollande, Ségolène Royal, and Valérie Trierweiler—France's Most Famous Love Triangle | Vanity Fair
Les petites phrases à retenir
« Hollande, après tout, était supposé être "l’homme normal", celui qui ne serait pas un pervers fou comme Dominique Strauss-Kahn ».
« Les amis du couple [Hollande-Royal] disaient toujours qu’il était beaucoup plus talentueux et intelligent qu’elle », (Ali Baddou, journaliste pour Canal Plus).
« Elle n’était pas très curieuse », Thomas Legrand, éditorialiste pour France Inter, au sujet de Valérie Trierweiler.
« Les Français peuvent accepter qu’un homme soit entre deux femmes à une seule condition : que ce soit clairement lui le maître, qu’il tire les ficelles. »
« Pour le moment, aux vues de son image écornée, Hollande est devenu le bouc émissaire de la France. »
« Ironiquement, tout ce que Valérie Trierweiler a fait c’est avoir donné un beau coup de pouce à son ennemie jurée. »
Un charisme de douanier
François Hollande, au centre de l’un des triangles amoureux les plus politiques depuis de longues années », continue l'article, l'auteur est apparemment atterré de voir que les Français ont confié leur vote à cet homme au look et aux manières « dignes de celles d’un douanier » et dont la promesse électorale était d’être « plus chiant que quiconque ».
Medée is burning France ! (oh la la )
Avant F. Hollande était un père de famille normal, mais ça c'était avant ! |
Dans son édito au vitriol qui accompagne l'article, Graydon Carter compare également Valérie Trierweiler à Médée qui, dans la mythologie grecque, est associée à l’idée de vengeance meurtrière– pour faire court : Médée a multiplié les meurtres après avoir été délaissée par son compagnon, Jason.
Tout en souhaitant "Bonne chance" (en français dans le texte) au nouveau chef de l'Etat, Graydon Carter juge encore, lapidaire :
Ce type de scandale aurait anéanti une carrière aux Etats-Unis.
Voilà pour l’édito, donc.
Only the beginning...
Ce vaudeville n'a pas d'importance sauf que la communication de l' Etat passe une partie de son temps à gérer ce problème...
Le service de communication de l'Elysée a demandé à François Hollande de ne pas serrer la main de Ségolène Royal lors de sa venue à l'ONU, il est parti par une porte dérobée pour ne pas la croiser.
L'Elysée se met tout seul dans des ennuis...ridicules.
Médiacratie qui ne se cache plus
Valérie Trierweiler est journaliste politique et son employeur Paris-Match publie des articles sur des personnalités que la dame a cotoyé intimement sans que le public le sache.
C’est un problème déontologique important que cette collusion poussée entre la presse et la politique. Les dindons de la farce sont les Français qui ont bien le droit de savoir qui dirige dans les coulisses du pouvoir.
Car quand cette "journaleuse" de Paris Match écrit sur son amant alors qu’il se prépare au combat final pour la présidence de la République, là ce n’est pas déontologique...
Vanity Fair et le "triangle amoureux" François Hollande -
Ségolène Royal - Valérie Trierweiler - Lelab Europe1
Le triangle amoureux Hollande-Royal-Trierweiler vu par Vanity Fair
Hollande-Royal-Trierweiler : les Américains moquent ce "triangle amoureux" - Terrafemina
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