Pour Lagardère, Trierweiler est une «grenade dégoupillée»

Du charme au vacarme !

Ah ça ira, ça ira, les journalistes on les aura... dans la poche

"Pourtant, quelques mois plus tard, le directeur de la rédaction de "Paris-Match" et François Hollande lui-même auraient convaincu Lagardère que la collaboration de la compagne du président ne poserait plus de problème. "Pour l'heure", précise la biographie."

Je pensais que seul Sarkozy influençait la presse. La différence, comme souvent, Hollande le fait en catimini, pauvre presse aux ordres des oligarques qui nous gouvernent.

"Une grenade dégoupillée"

Voilà comment l'entourage de Lagardère considère en off Valérie Massonneau! C'était aussi l'avis de son confrère Laurent Greisalmer, l'auteur du brûlot La Favorite.

Quel est donc son pouvoir de nuisances pour que Paris-Match continue à supporter ses "chroniques littéraires" dont l'indigence, du niveau d'une fiche de lecture du collège, n'attire que des commentaires moqueurs, irrités ou désobligeants? 
Pauvres auteurs auxquels elle s'attaque ! 
Doubles messages narcissiques qui lui servent à régler ses comptes, (oh, le premier billet sur Eleanor Roosevelt) ou de psychothérapie publique, rien qui ne donne envie de lire les ouvrages concernés. Heureusement, il ne manque pas de sites et blogs spécialisés avec des critiques intelligents, pertinents et amoureux de la littérature pour nous guider dans l'abondante production actuelle.

Journaliste politique (pipolitique?) inconnue, elle ne laissera pas davantage de traces comme critique littéraire et retombera vite dans l'anonymat qu'elle n'aurait jamais du quitter, quand Lou François sera remercié.

Dans n'importe quelle autre entreprise, il y a longtemps qu'elle aurait été licenciée pour insuffisance professionnelle!

Moi/Je a précisé à Lagardère...

"qu'elle n'était pas vraiment la première dame" et que par conséquent il n'y aurait plus, voir pas de conflit d'intérêt !

Après avoir fait des compliments sur son Ex et maintenant ne pas la considérer comme "une vraie première Dame"......Je n'ose imaginer comment elle peut ressentir ces rebuffades venant d' Hollande ?

"On ne fera plus de papier avec le groupe"

"Jusqu'ici, elle ne nous a causé que des ennuis !" s'exclame le fils de Jean-Luc Lagardère. En mars, en pleine campagne pour l'élection présidentielle, Valérie Trierweiler n'avait pas du tout aimé se retrouver en Une du journal pour lequel elle travaille. Elle avait vivement regretté ne pas avoir été prévenue.

Arnaud Lagardère et Denis Olivennes, le patron de Lagardère Active, avaient alors reçu un message ulcéré de la compagne du candidat socialiste. "On ne fera plus de papier avec le groupe", prévenait-elle. "Un on aussi stupéfiant que menaçant", souligne Jacqueline Rémy auteur du livre "Arnaud Lagardère, l'héritier qui voulait vivre sa vie", édité par Flammarion qui sort mercredi. L'hebdomadaire "Marianne" a publié quelques extraits samedi. 

Selon l'auteur, la situation de Valérie Trierweiler, compagne du président Hollande qui demeure journaliste à l'hebdomadaire "Paris-Match", propriété de l'industriel français, semble poser quelques problèmes à son patron. 

Pour Lagardère, Trierweiler est une "grenade dégoupillée" selon la journaliste. D'ailleurs, le 5 juin, il confiait que le contrat de celle qui était devenue première dame s'arrêterait à la fin de l'année. La raison ? "Eviter tout conflit d'intérêts". Pourtant, quelques mois plus tard, le directeur de la rédaction de "Paris-Match" et François Hollande lui-même auraient convaincu Lagardère que la collaboration de la compagne du président ne poserait plus de problème. "Pour l'heure", précise la biographie.

Fallait pas le dire ! (stupid)

Des propos que l’intéressé dément fermement au Point, par la voix de son groupe de presse : « Arnaud Lagardère n'a jamais envisagé de mettre un terme au contrat qui lie madame Valérie Trierweiler à Paris Match. Pas plus aujourd'hui que durant ces quinze dernières années. Au lendemain de la présidentielle, la direction de Paris Match et madame Trierweiler ont naturellement décidé de poursuivre leur longue collaboration professionnelle. »

Lu sur Le Parisien.fr