Devedjian a-t-il "connu" V. Trierweiler avant Hollande ?
Trierweiler aurait aussi été la maîtresse de Patrick Devedjian
On savait que Denis Trierweiler avait été trompé par sa femme
Les débuts de la relation entre Valérie et François Hollande, au milieu des années 2000, étaient un secret de polichinelle. Ségolène Royal, sa concubine officielle et mère de leurs quatre enfants, se consacrait à sa carrière présidentielle avortée.
En juin 2010, c’est un grand coup de latte que l'époux bafoué balance dans les tibias de Valérie Trierweiler, aka Valérie Massonneau. DenisTrierweiler (photo ci-contre), secrétaire de rédaction à Paris Match et universitaire germaniste, qui n'aurait jamais consenti au divorce, aurait exigé que Valérie Triereweiler ne porte plus son nom. Et c'est l'affaire insensée du tweet de V. Trierweiler en faveur d'Olivier Falorni, le candidat PS légitime de la législative, contre la parachutée Ségolène Royal, battue, qui amène Denis Trierweiler à vouloir protéger son patronyme au nom des 3 fils qu’il a eu avec Valérie Trierweiler, tant ils sont accablés de quolibets.
Ce que l’on ne savait pas forcément, c’est que ce n’était ni la première, ni la dernière fois
Dans l’ouvrage Entre deux feux d’Anna Cabana et Anne Rosencher, les deux femmes évoquent avec réserve – usant du conditionnel – une relation amoureuse entre l’actuelle concubine présidentielle et un homme politique de droite.
En juin dernier, le journaliste Christophe Jakubyszyn révéla"une relation intime qui aurait duré plusieurs années", entre Valérie Trierweiler (1965) et Patrick Devedjian (1944), selon un entretien exclusif à l’hebdomadaire Point de vue.
En clair, de 1999 à 2002, l'actuelle concubine du président François Hollande aurait été la maîtresse de Patrick Devedjian, alors âgé de 58 ans et président du Conseil général des Hauts-de-Seine (92). La journaliste de Paris Match, de 20 ans sa cadette, aurait donc eu une liaison de trois ans avec cet UMP, jusqu'à ce qu'il devienne ministre délégué de Jean-Pierre Raffarin, à l'époque du président Chirac. A 47 ans, elle se contente désormais d'un mou, bien qu'il n'ait que dix ans de plus: grandeur et décadence d'une courtisane.
Les media ont buzzé hier sur ce " scoop"
Le révolutionnaire Edwy Plenel de Mediapart s'est encore infligé une auto-censure qui lui vaudra la reconnaissance du chef de l'Etat, mais Point de vue de ce mercredi a fait le boulot d'information que le site trotskiste refuse au peuple.
"À l’époque, ils sont tous les deux engagés. Ils ont hésité à faire le grand saut, à changer de vie. Patrick Devedjian a tergiversé si bien que Valérie Trierweiler s’est laissée courtiser par un deuxième homme d’un autre bord politique : François Hollande" , détaille le journaliste, auteur d’une biographie autorisée de la maîtresse de l'Elysée, intitulée La Frondeuse qui sort demain jeudi en librairie, pour ceux qui aiment tenir la chandelle.
"Peu à peu, la relation avec Hollande a pris le pas sur l’autre. Notamment après un ultimatum en 2003 auquel Devedjian n’a pas cédé. Mais il a beaucoup souffert de cette rupture. C’était un peu une histoire à la Jules et Jim. Les deux hommes en ont gardé un grand respect l’un pour l’autre", assure-t-il, ému.
Trierweiler serait donc une rapide, à moins que Ségolène n'ait été glaciale depuis son passage au frigidaire !
Pour le peuple cette histoire de femme à plusieurs hommes est authentique puisqu'elle n'a jamais été démentie par les juges qui ont condamné les auteurs de "La frondeuse" seulement pour atteinte à la vie privée. Le livre continue à être vendu sans aucune modification sur la vie amoureuse dela Dame. De ce fait, la réputation de la République française n'est-elle pas ternie sur la scène internationale?
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