Le monde se rapproche rapidement d'une autre guerre majeure , qui a le potentiel de dégénérer en troisième guerre mondiale . Les causes de cette guerre sont plus profondes que la lutte pour les ressources pétrolières. Ils se situent sur le plan de la moralité et de la vision du monde postmoderne de la société occidentale. Les théoriciens et les analystes de centres universitaires aux Etats-Unis croient vraiment que le conflit mondial , va à court terme détourner l'attention des problèmes intérieurs du «monde occidental», mais sur le long terme - va renforcer l'influence des États-Unis. Il suffit de mentionner l'idéologue populiste, William Kristol ancien secrétaire adjoint à la Défense de Paul Wolfowitz.
Les craintes légitimes apparues au premier trimestre 2011, malheureusement, sont en train de se concrétiser. Par ailleurs, ont surgi des facteurs destructeurs susceptibles de saper l'ordre international. Dans la zone "Afrique du Nord", l'instabilité durable est créee. La Libye a été réduite au niveau de l'Irak et de l'Afghanistan -soit une guerre civile sanglante. Récemment, agissant depuis l'Irak, l'armée américaine au nombre de 12 000 personnes a débarqué dans le terminal pétrolier de la Libye - la ville de Marsa el-Brega. En un mois, ils ont pris le contrôle de tous les champs pétrolifères libyens. Les objectifs de l'opération militaire ont été respectés. Cependant, la région sera maintenu dans le giron occidental par une guerre civile qui est encore loin d'ètre terminée - mais l'avantage est que c'est moins cher et plus facile à contrôler territorialement.
Au niveau économique, le modèle élaboré en Irak est cher. Le coût minimal de maintien de la paix et de reconstruction en Irak, selon des analystes américains, serait de 100 milliards de dollars par an (en plus des coûts actuels).
La déstabilisation de l'Egypte et de la Tunisie sont également des éléments de la stratégie du «chaos géré». L'Egypte, avec la plus grande des force armée dans la région (environ 500 000 soldats et 500 000 réservistes) peut créer des problèmes majeurs aux alliés occidentaux dans leur volonté de maîtrise du pétrole libyen, pour ne pas mentionner les opérations potentielles en Syrie et en Iran . L'Egypte s'approche rapidement de la guerre civile. L'élection le 23 Janvier du président à la chambre basse du parlement d'un représentant des «Frères musulmans» n'apportera pas la stabilité loin de là. L'Économie égyptienne est en crise profonde et la région de la Haute-Égypte souffre de la faim.
Dans le même temps à côté, le Soudan en 2011, a été divisée en deux parties. La partie la plus pauvre à la frontière avec l'Égypte est celle qui a obtenu moins de 25% des ressources pétrolières, mais qui totalise plus des trois-quarts de la population - environ 31 millions de personnes. Au portes de l'Egypte, cette pression démographique est considérable.
L'effondrement du secteur du tourisme, le ralentissement de l'industrie et de la baisse continue de l'activité économique conduira au défaut et à l'hyperinflation avec toutes ses conséquences explosives.
Cependant, les alliés occidentaux ne devraient pas s'attendre à grand chose de la menace militaire de l'Egypte et du Soudan, même si elles propagent les idées de l'islam radical. Les voisins de la péninsule arabique, l'Arabie saoudite, le Qatar et les Emirats Arabes Unis, surveillent tout ça et sont les alliés des Etats-Unis, ils garantissent le pétro-dollar- qui a remplacé l'étalon Or abandonné par Nixon en 1971.
Dans la région du moyen orient, les Américains ont aussi un fort allié militaire stratégique - Israël. A l'ouest, en Libye, déchiré par la guerre civile, les troupes américaines sont déjà là. Par ailleurs, dès que la situation en Égypte deviendra "hors de contrôle des autorités", la zone du canal de Suez sera mise sous controle de l'OTAN et de l'ONU "pour assurer la sécurité de la navigation." L'occupation de la zone du canal a été mis en place en 1956. En utilisant un scénario semblable, Israël pourrait réoccuper la péninsule du Sinaï, qui ne serait guère en mesure de protester contre l'Occident.
Des agents américains dans la Ligue des Etats arabes - Qatar, l'Arabie saoudite et les Emirats Arabes Unis - soutiennent activement l'idée d'introduire des troupes sur le territoire syrien. Les émeutes et les affrontements entre les troupes gouvernementales et rebelles s'intensifiant. Le scénario de la guerre civile est encore ici au coeur de la nouvelle géo-statégie de l'occident.
Les rebelles syriens ont des armes et des munitions et sont très bien équipés. Récemment les médias ont rapporté que des "déserteurs" engagent des combats avec les troupes gouvernementales dans la banlieue de Damas. Certaines sources estiment leur nombre à 3-5 mille. La question se pose si ces «déserteurs», comme l'affirment certains observateurs, sont des mercenaires afghans ou pakistanais, qui sont passé en Syrie.
Après tout, la frontière syrienne avec l'Irak est maintenant devenue une passoire, Damas ne contrôle pas le territoire du Kurdistan, et les Kurdes eux-mêmes rèvent de la création d'un Etat indépendant.
La Syrie - la clé du Moyen-Orient et de Irak fait l'objet d'un «Chaos contrôlé» : voici l'avenir prévu pour la région par l'OTAN : La Syrie servira de base pour l'attaque sur l'Iran, avec l'accès ultérieur au contrôle du pétrole de la mer Caspienne et des champs de gaz du nord, l'importance stratégique du Golfe Persique necessite de déstabiliser le Caucase et l'Asie centrale. Le résultat du ce "projet global" sera «un front des combats», qui s'étendra de l'Algérie à la Chine.
Le modèle décrit a une justification économique: contrôle des ressources énergétiques combinée avec l'acquisition de nouveaux marchés pour les multinationales occidentales ayant pour base idéologique le «rêve américain.
Le faible niveau de vie dans les pays de la région et, par conséquent, un niveau élevé de protestation facilite grandement les affaires de cette oligarchie mondialiste
Cependant, la cohésion de la population iranienne et la détermination de ses dirigeants à défendre l'indépendance du pays sont très élevés. Au sein de l'Union européenne en même temps s'implante une solide crise financière et politique. Par conséquent, l'imposition de sanctions contre l'Iran va frapper en premier lieu, la Grèce, l'Espagne et le Portugal.
Cette percée de l'OTAN est capable de déchirer la fragile stabilité ainsi que la paix.
je n'ai jamais lu autant de conneries sur aussi peu d'espace ,à croire que les usa peuvent tout ,alors qu'ils sont en faillite ,que l'irak leur a échappé que l'armée syrienne resiste aux terroristes compradore financé par la doxa occidentale ,
RépondreSupprimerSi c'est quelque chose cet article.
RépondreSupprimerUne belle salade, sans queue ni tête.
En tous cas nous y sommes dedans a pieds joints maintenant
RépondreSupprimerle complot contre l Algérie a été démontré avec ce qui vient de se passer dans le sud de l algerie, reste a savoir comment va se faire le dénouement, et là je crains le pire
retour du Khilafah Assila,que les hommes puissent accomplir le Jihad in cha Allah. et l on verra ce que feront l otan et les sionistes. Wallahi c la fin d temps
RépondreSupprimerA tout ceux qui me traitaient de débile quand j'ai posté cet article, vous en pensez quoi maintenant ? il est pas au sud de l' Algérie le front ?
RépondreSupprimerCleamounette
RépondreSupprimerIl semblerait que les évènements vous donnent raison.
Nous ne sommes qu'au début.
Les politiciens et la haute sphère créent des Guerres ou des conflits, mais ne là font jamais le peuple na qua dire non, et il ni aura pas de Guerre.
RépondreSupprimerC'est possible car c'est ce qui est prophétisé par Nostradamus: un conflit majeur entre l'Orient et l'Occident qui durera 27 ans!
RépondreSupprimerIl avait bien prédit les guerres de Napoléon(1er antéchrist)et les 2 guerres mondiales avec Hitler (2ème antéchrist).Le 3ème venant d'Orient sera bien pire encore!