Et dire que l' euro devait leur apporter le progrès !
Les préoccupation au sujet de la viabilité de la dette en Grèce sont soulevées par l'économiste en chef du Fonds monétaire international, Olivier Blansar,qui s'exprimait sur le réseau de télévision CNBC
«nous avons besoin d'une réduction significative afin de permettre à la Grèce de s'en sortir." a souligné M. Blansar précisant que la "remise sur la dette grecque" prévu dans l'accord du sommet de l'UE en Octobre aura besoin de dépasser les 50%.
Ils vont apprécier la nouvelle et leur banques encore plus !
Le magazine allemand Der Spiegel s'appuie également sur un document interne du Fonds monétaire international, en vertu duquel le programme de sauvetage de la Grèce est largement insuffisant. Le magazine estime que le FMI a des doutes sur la capacité de la Grèce à s'attaquer aux problèmes stucturels quiu pèsent sur sa dette et note que cela impliquera de nouvelles mesures pour Athénes afin d'éviter la faillite et atteindre les objectifs fixés par les créanciers de la péninsule hellénique.
Sur la même longueur d'onde est le directeur de cabinet du ministère allemand des Finances , Clemens Fouest. Dans une interview il estime que le "hair cut" (literralement "coupe de cheveux" en français) de 50% sur la dette grecque n'est pas suffisant pour remettre le pays sur une trajectoire viable et exprime sa gratitude aux investisseurs pour leur participation à la restructuration de la dette souveraine d'Athènes.
Ils (les investisseurs) apprécieront et au premier chef les banques françaises "gavées" de dette obligataire grecque.
Leur faillite entrainerait leur sauvetage par Paris ce qui impliquerait une explosion de la dette française.
Mars 2012 à un mois de l'élection présidentielle de 2012 sera apocalyptique !
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