dimanche 2 octobre 2011

UMP Sarkozy pour 2012 ? une avalanche d'accusations de corruption : l'UMP sous le choc

 Le président français Nicolas Sarkozy et son parti, l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP), sont confrontés nouvelles quotidiennes se posent dans le cadre d'enquêtes de corruption menées la poursuite en liaison avec les cadres de financement illégal présumé de l'Asie, l'Afrique et la France.










   Les socialistes tombent après avoir vu ses chances de prendre la présidence en les élections de 2012 en raison de principal candidat au scandale, Dominique Strauss-Kahn, ont pris l'offensive et la demande des explications et les avertissements de l'UMP par la corruption. Sarkozy est actuellement derrière les socialistes dans les sondages.




   La semaine dernière, Sarkozy face à des accusations en disant que répondu à «la calomnie et la manipulation politique» et le porte-parole du gouvernement, Valérie Pécresse, a rappelé l'affaire Strauss-Kahn s'est plaint de doubles standards du Parti socialiste. "C'est scandaleux", a déclaré Pécresse, "tout l'été, les dirigeants de gauche étaient en baisse sur l'autre à dire, et à juste titre, Dominique Strauss-Kahn devrait bénéficier de la présomption d'innocence alors que le système de justice fait son travail ».


   L'émergence continue de nouveaux scandales a approfondi la désillusion de l'électorat français avec la politique conventionnelle pour ce qui est tourner leurs espoirs dans les partis de protestation, notamment dans le Front National, l'extrême droite.


   Un sondage de cette semaine montre que trois Français sur quatre pensent que les politiciens sont corrompus. Pour l'UMP française est la pire vu dans ce domaine. Sept mois après les élections, la couverture médiatique de ces questions s'est intensifiée.


Scandales de corruption


   La vente d'armes et de sous-marins au Pakistan dans les années nonante, le financement présumé illégal de la campagne électorale de 2007 pour l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt, et les accusations que certains dirigeants africains avaient soutenu les conservateurs qui ont mené à Sarkozy sont les grands scandales qui ont ponctué l'UMP.




   Ce vendredi, le juge a comparu devant l'ancien ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux - qui peut être responsable de la gestion de la prochaine campagne électorale de Sarkozy - accusé d'ingérence dans l'enquête sur «l'affaire de Karachi», un cas présumé de neige fondante en liaison avec la vente d'armes et de sous-marins au Pakistan dans les années 1990 pour financer la campagne présidentielle de 1995 (Edouard Balladur). Un ami proche de Sarkozy a été arrêté la semaine dernière pour avoir prétendument impliqués dans la même affaire.


   Ce cas est particulièrement sensible à l'opinion publique et qu'un des représailles présumées pour la fin de commissions provenant de la vente, un attentat a tué 11 Kariachi en 2002 des ingénieurs français.


   Affaire Bettencourt tourne autour du financement de la campagne de 2007 dans lequel Sarkozy aurait reçu de l'argent de l'héritière de L'Oréal, en violation des règles de financement des campagnes politiques. Un procureur lié à Sarkozy face à une enquête pour avoir prétendument abuse de sa position en essayant de trouver ce que la fonction publique divulgué les détails de l'affaire Bettencourt un journal.


   Concernant les allégations financière des conservateurs entre 1995 et 2007 par certains dirigeants africains, aurait livré des millions de dollars aux prédécesseurs de Nicolas Sarkozy, dont Jacques Chirac.

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