Fillon gagnant, les sondages à nouveau sur la sellette...
Le rappel de la participation de François Fillon aux Bilderberg en 2013 a créé l'émoi sur internet, mais n'oubliez pas que Alain Juppé et Manuel Valls y ont aussi participé...
Du reste, on pourrait aussi parler des dîners incestueux du Siècle ? Ou des virus américains de type Young Leaders ?
Tout n'est qu'apparences, il faut prendre du recul.
Amicalement,
f.
D’où sortent les résultats des sondages censés refléter impartialement les humeurs de l’opinion publique ? Le Brexit, l’élection de Donald Trump à la présidentielle américaine et maintenant la première place de François Fillon à la primaire de la droite et du centre… Les sondages politiques sont-ils toujours fiables ?
Les premiers sondages sur la primaire organisée par le parti Les Républicains en 2016 en vue de l'élection présidentielle française de 2017 remontent à juin 2014, bien avant la validation officielle des candidatures.
Les premiers sondages sur la primaire organisée par le parti Les Républicains en 2016 en vue de l'élection présidentielle française de 2017 remontent à juin 2014, bien avant la validation officielle des candidatures.
A l'époque, Alain Juppé était déjà qualifié de vainqueur du premier tour de la primaire de la droite (31 %), suivi par Nicolas Sarkozy (29 %). François Fillon terminait alors à la troisième place avec à peine 10 % des intentions de vote.
Jusqu'au mois de novembre 2016, les plus grandes institutions d'étude d'opinion publique attribuaient inlassablement la victoire à M. Juppé (35 à 40 %). L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy jouissait alors de la confiance d'environ 30 % des Français. François Fillon, mis toujours à l'écart, réunissait seulement 8 à 14 % des voix de l'électorat de l'Hexagone.
Jusqu'au mois de novembre 2016, les plus grandes institutions d'étude d'opinion publique attribuaient inlassablement la victoire à M. Juppé (35 à 40 %). L'ancien président de la République Nicolas Sarkozy jouissait alors de la confiance d'environ 30 % des Français. François Fillon, mis toujours à l'écart, réunissait seulement 8 à 14 % des voix de l'électorat de l'Hexagone.
« L'opinion publique » n'a visiblement pas changé jusqu'à très récemment. Ce n'est qu'à partir de novembre 2016 que François Fillon a commencé à grimper dans les sondages, cependant toujours à la traîne de ses rivaux loués par les sondeurs.
Ainsi, le dernier sondage d'Ipsos publié le 18 novembre 2016, à deux jours du premier tour, annonçait que M. Fillon (30 %) devançait de 1 % Alain Juppé et Nicolas Sarkozy.
Néanmoins, le 20 novembre, les électeurs français ont battu en brèche tous les pronostics des sondeurs : François Fillon en leader (44,2 %), Alain Juppé en deuxième position (28,4 %) et Nicolas Sarkozy troisième (20,7 %).
Néanmoins, le 20 novembre, les électeurs français ont battu en brèche tous les pronostics des sondeurs : François Fillon en leader (44,2 %), Alain Juppé en deuxième position (28,4 %) et Nicolas Sarkozy troisième (20,7 %).
Tout lecteur sachant compter et analyser se posera immédiatement la question : « D'où sort cette majorité écrasante de Français plaçant M. Fillon parmi les perdants de l'élection ? Qui sont-ils ? Ont-ils d'ailleurs jamais existé ? ».
« Les sondeurs orientent les réponses des sondés. Pourquoi, par exemple, ne les interroge-t-on que sur un second tour Juppé-Sarkozy ? Et si j'étais, comme je le crois, en finale ? Ça ne mérite pas un sondage ? », a lancé François Fillon le 27 octobre lors de « L'émission politique » sur France 2.
Le référendum sur la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne et la victoire du candidat républicain Donald Trump à la présidentielle américaine ont auparavant bel et bien démontré que les sondages n'étaient plus en mesure de représenter l'opinion du peuple. Un peuple qui, malgré les médias prédisant le succès de leurs candidats préférés, accomplit son devoir civique et donne sa voix à ceux qui les méritent vraiment.
Source(s) : Sputniknews.com via Contributeur anonyme (que l'ont remercie)
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