Certificat médical, RSA, prix du gaz… Tout ce qui change au 1er septembre...
Des petites infos utiles sur ce qui change au 1er septembre 2016. J'en profite pour vous faire un petite update sur mes histoires avec Engie, je vous avais expliqué que j'avais des factures de ouf, suite au conseil d'un téléconseiller, je me suis inscrit à « Ma relève » et c'est donc MOI qui donne ma consommation de gaz et d’électricité à Engie ce n'est plus une « estimation » (quelle blague) et bien croyez moi ou pas, mais tout est rentré dans l'ordre...
Bref, dans cette société de merde que ça soit Bouygues télécom qui me réclame des factures alors que je ne suis plus chez eux, Eni, qui me spolie 120€ sur mon compte alors que je ne suis plus chez eux, Finaref (la redoute) qui relance ma femme via mon gsm (on se demande comment ils on eu le n°) pour un dossier vieux de 10 ans ! Cloturé par la banque de France (enfin ils essayent on sait jamais si ça marche....) et Engie qui « estime » ma consommation à la hausse, si vous n'êtes pas sur tous les fronts, vous vous faites rançonner, je ne peux donc que vous conseiller de regarder de très, très près vos comptes (téléchargez vos relevés et faites un tableau excel comme nous, vous verrez c'est super pour suivre et estimer son budget et surtout faire des projections sur l'année)
Comme chaque mois, il y a des changements susceptibles d’impacter votre quotidien et notamment votre portefeuille. 20 Minutes vous explique tout ça.
Des prix du gaz à la hausse
Et de trois. Après les hausses enregistrées en juillet (+0,4 %) et en août (+2 %), les tarifs réglementés du gaz, appliqués par Engie (ex-GDF Suez) à un peu plus de 6 millions de consommateurs, vont augmenter en moyenne de 0,4 % en septembre. Dans le détail, ces tarifs augmenteront de 0,1 % pour les foyers qui utilisent le gaz uniquement pour la cuisson, de 0,4 % pour ceux qui l’utilisent pour le chauffage et de 0,2 % pour ceux qui en ont un double usage cuisson et eau chaude. Depuis le 1er janvier 2015, la Commission de régulation de l’énergie rappelle que les tarifs réglementés du gaz ont baissé en moyenne de 16,8 %.
Revalorisation du RSA
Bonne nouvelle pour les plus modestes. Le Revenu de solidarité active (RSA) est revalorisé de 2 % au mois de septembre. Le Premier ministre l’avait annoncé en avril dernier. « Cette revalorisation exceptionnelle du revenu minimum pour personnes sans ressources correspondra à une augmentation globale de 10 % en 5 ans », avait alors précisé Manuel Valls.
Du nouveau pour le certificat médical pour la pratique sportive
A l’heure de la rentrée, le gouvernement veut lever les freins à la pratique d’une activité physique et sportive. A partir du 1erseptembre, « les activités sportives facultatives proposées dans les collèges et lycées seront désormais dispensées de certificat médical, comme les activités d’EPS obligatoires pour lesquelles l’aptitude des jeunes à la pratique du sport est présumée », indique le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports.
Alors que 15,9 millions de licences sont établies ou renouvelées chaque année, désormais en cas de renouvellement, un certificat médical de non contre-indication sportive ne sera exigé qu’une fois tous les trois ans, au lieu d’une fois par an jusqu’ici. « Les autres années, le licencié remplira un questionnaire de santé lui permettant de déceler d’éventuels facteurs de risques, qui nécessitera, le cas échéant, une visite médicale annuelle. Sinon, il attestera auprès de la fédération que tel n’est pas le cas », précise le ministère.
Au final, le certificat médical vaudra pour la pratique du sport en général et non plus pour une seule discipline. En revanche, « certaines disciplines qui présentent des risques particuliers pour la santé ou supposent une condition physique parfaite, comme la plongée, le parachutisme ou la boxe, le certificat médical restera annuel et l’examen médical sera renforcé en considération des caractéristiques de la discipline », explique le ministère.
Extension de la caution locative « Visale » aux jeunes de moins de 30 ans
La caution locative Visale est étendue aux jeunes de moins de 30 ans. Cette caution gratuite pour le locataire et le bailleur, d’une durée de 3 ans, entrée en vigueur en février, « peut bénéficier à 300.000 jeunes par an », soit un tiers de tous les jeunes entrant annuellement dans le parc locatif privé, précise le ministère du Logement.
>> A lire aussi : Visale: La caution locative gratuite, comment ça marche?
Les nouveaux bénéficiaires sont les « jeunes salariés, non-salariés, chômeurs et étudiants, en dehors des étudiants non boursiers rattachés au foyer fiscal de leurs parents ». Il y avait quelque 2,5 millions d’étudiants en France en 2015, dont un quart étaient boursiers.
L’extension « entrera en vigueur au plus tard le 30 septembre 2016 », selon le ministère, et « inclut également les étudiants entrant en résidence universitaire dès lors que les logements ne sont pas conventionnés ». Visale concerne aussi les plus de 30 ans en contrat précaire (CDD ou période d’essai d’un CDI, intérim, contrat d’apprentissage ou contrat aidé, d’une durée d’au moins un mois).
Une aide financière pour certains jeunes diplômés
C’est une disposition prévue par l’article 50 de la loi Travail. L’aide financière à la recherche d’un premier emploi (ARPE), qui est versée pendant quatre mois, peut être demandée pour les personnes diplômées à l’issue de l’année étudiante 2015-2016, sous conditions de ressources et de types de diplôme. Parmi les critères indispensables, il faut avoir moins de 28 ans, effectuer la demande dans les quatre mois après l’obtention du diplôme, ne plus être étudiant et ne pas être bénéficiaire du RSA. Environ 130.000 anciens étudiants boursiers diplômés de l’enseignement supérieur qui entrent sur le marché du travail peuvent faire la démarche sur le site du ministère de l’Enseignement supérieur pour obtenir cette aide, qui variera pour eux entre 150 et 550 euros par mois. Pour les titulaires d’un CAP, d’un bac pro ou technologique, ou d’un brevet professionnel, l’aide sera fixe : 200 euros par mois. Pour les apprentis disposant de faibles moyens financiers elle s’établira à 300 euros pour.
Aides au logement
A partir de jeudi, les allocataires « de bonne foi » pourront continuer à toucher les allocations logement même en cas d’impayés de loyer ou de prêt immobilier.Le dispositif est à retrouver par ici.
Un contrôle technique automobile renforcé
Ce n’est qu’une phase de test. Mais à partir de jeudi, 17 centres de contrôle technique expérimenteront de nouvelles mesures des émissions polluantes des voitures particulières. Ce dispositif, plus précis que le précédent est appelé à être généralisé en 2019.
Si jusqu’ici le contrôle en vigueur pour les moteurs diesel se limite à la seule opacité des fumées rejetées, les gaz polluants seront ici passés au peigne fin : monoxyde de carbone, dioxyde de carbone, oxygène, oxydes d’azote et hydrocarbures imbrûlés seront mesurés par ordinateur. Pour les véhicules essence aussi, le contrôle habituel va être complété par une mesure des émissions d’oxyde d’azote et de particules fines.
Pour les automobilistes qui feront contrôler leurs véhicules durant cette période, il n’en coûtera pas plus cher et aucune contre-visite n’est à redouter pour ces nouveaux critères. A terme, en revanche, « il est possible que ça ait un impact sur le prix » du contrôle technique, estime Nicolas Bouvier, directeur de Dekra Automotive, dont le réseau regroupe un quart des 6.200 centres agréés français, soulignant le coût des nouveaux appareils de mesure - environ 5.000 euros pièce - et la durée de ce test supplémentaire - de l’ordre de 5 minutes par véhicule.
Source : 20Minutes.fr
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