lundi 27 octobre 2014

Najat Vallaud Belkacem Désespère Déjà Le Corps Enseignant



Le sourire médiatico-politique de najat Vallaud Belkacem 


Difficile de s'attaquer au sourire d'une jouvencelle sans passer pour un opposant aux femmes et à un" malotru"...

Mais un sourire désarmant permet à de nombreuses femmes de ne pas répondre aux questions et d'éviter de se livrer à une analyse sérieuse des choses

Une façon d'user de ses charmes pour prendre les autres pour des imbéciles... 

Notre république est dans un sale état pour en arriver à ce niveau de médiocrité... 

Les serviteurs de l'Etat (dont les ministres) ont une obligation d'honnêteté et de rigueur intellectuel en comparaissant devant les Citoyens. 

Sans doute ont-ils oublié qu'ils doIvent des comptes au Peuple Souverain

Vivement 2017... Si la "Rue" se retient d'ici là !

À la question cruciale du salaire des enseignants, la ministre répond par des boutades. À la question de la laïcité, par une grenade dégoupillée !

 "Enfin, ces gens, ce n'est pas l'argent qui les attire, sinon ils ne feraient pas enseignants." Et elle a ri - tout heureuse de sa boutade...

"Je ne multiplie pas les petits pains", a-t-elle plaisanté lorsqu'on lui a suggéré de dépasser le stade de l'aumône ( 400 euros chaque année." 33,33 euros par mois.)

La ministre a même répondu qu'elle "ignorait" que l'on avait recruté des professeurs des écoles avec 5 de moyenne au concours!


Laïcité : refiler la patate chaude aux enseignants et aux chefs d'établissement


 Ce n'est pas encore la guerre, mais des conflits en nombre sont contenus dans cette décision qui va à l'encontre de  Vincent Peillon, qui s'était exprimé sur la question en décembre 2013. 

Extrait de la championne de France de la langue de bois: 
"...il peut y avoir des situations particulières, liées par exemple à du prosélytisme religieux, qui peuvent conduire les responsables locaux à recommander de s'abstenir de manifester leur appartenance ou leurs croyances religieuses. C'est un équilibre qui doit être trouvé par les responsables de terrain et les cas conflictuels restent heureusement limités."


Longue intervention bâtie comme un mauvais devoir de Sciences Po  


Par quelle aberration un ministre qui n'a absolument rien à dire, et qui de surcroît le dit mal, se croit-il obligé de participer à des émissions télévisées ? 

Qui lui a dit que c'est la condition nécessaire pour continuer à exister ? Il y a en France aujourd'hui 65 millions de "gens" qui persistent à exister, et difficilement, sans passer à la télé. Et qui n'en ont rien à faire que le ministre soit ou non bien ou mal coiffé. Chatel avait la plus belle permanente du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem se fabrique un casque bien peigné - et puis ? 



Brighelli : derrière le sourire de Najat Vallaud-Belkacem... - Le Point

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