De fausses barres d’or à Fort Knox ? Ce que les Chinois auraient découvert…
L’or a disparu !
Les Allemands ont ce qu’ils méritent, bien fait pour leur gueule. Le Général De Gaulle avait tout annoncé dans les années 60 :
Qui est le De Gaulle de notre époque ? Quel chef d’Etat peut rassembler 1000 journalistes dans une pièce, les asseoir dans de luxueuses chaises, pour leur expliquer, durant 20 minutes, d’une voix lente, didactique et profonde, le déroulement de la prochaine crise économique ?
Car nous y sommes, avec un dollar dont la valeur vaut moins de 1800 fois celle d’une once d’or. Il est difficile d’imaginer que le président Obama se révèle à la hauteur de la tâche.
Les propos de De Gaulle déclenchèrent un scandale aux Etats-Unis.
"Jamais auparavant", fulminait le Time Magazine,"un chef d’Etat n’avait lancé une telle attaque ouverte contre la puissance monétaire d’une nation amie".
"Jamais auparavant", fulminait le Time Magazine,"un chef d’Etat n’avait lancé une telle attaque ouverte contre la puissance monétaire d’une nation amie".
(New York Sun, 2011)
Pour revenir aux Allemands, ceux-ci ont préféré imposer leur "hégémonie douce", théorisée par Joschka Fischer, sous le regard bienveillant de Washington, et bien voilà le résultat, les Américains les espionnent - encore plus que nous -, les dépouillent tout en les vouant, bien entendu, à la repentance éternelle, quand De Gaulle, chrétien et magnanime, leur avait offert la fraternité sans marchandage mémoriel et la réconciliation des peuples.
C’est amusant, cinquante ans plus tard, de voir les Allemands se raidir devant les "mauvais élèves" de l’Europe, tancer sévèrement les "pays du club Med", s’indigner devant Poutine en défense des FEMEN et des PUSSY RIOTS, tout ça en fin de compte pour avoir gagné le droit de ruminer leur impuissance politique en bon chien soumis au pied des Américains.
Comme quoi toute la réussite économique du monde (obtenue dans les conditions que l’on connaît) ne fait pas une politique étrangère, l’Allemagne restant un nain diplomatique dont "l’hégémonie douce", contrairement à ce qu’ils avaient pu anticiper, ne se convertit pas en capacité à peser sur la politique internationale.
Le Grand Acte de la politique étrangère allemande consiste désormais, environ une fois par an, à serrer la paluche du Président Chinois, tout en se félicitant des excellentes relations économiques entretenue entre les deux pays.
Ils n’ont qu’à se consoler en se disant que l’or spolié par la FED aura été utilisé à bon escient et sagement investi en bourse ou dans la planche à billets.
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