vendredi 2 novembre 2012

Hollande taxe la bière : Une répercussion tardive de la Révolution française









François Hollande annonce selon laquelle il a l'intention de lever des impôts sur la bière en France par quelque 160% pourrait bien être encore une autre répercussion de la révolution française. Avait moines trappistes pas fui le nord de la France pour échapper son zèle anticlérical, en prenant leur expertise fabrication de la bière avec eux, les Français auraient développé une tradition de brassage plus proche de la vinification, ce qui rend également difficile à attaquer.
Le bateau qui devait prendre les trappistes dans le Nouveau Monde a fini à Anvers, où les moines installés et mis en place leurs brasseries. Cela explique pourquoi les plus bruyants plaintes au sujet de la taxe sur la bière viennent de Belgique. Les brasseurs allemands sont trop croisée. Tout ce bruit déguise la probabilité que les brasseries françaises seront les plus durement touchés. Bien que la plupart appartiennent à des multinationales fabrication de la bière néerlandaise, belge et danois leurs brasseries sont situés en France, où ils paient des impôts et emploie des milliers de personnes.
Taxation de l'alcool est rarement populaire auprès des buveurs. Mais l'amélioration de la santé en réduisant potable et la collecte de fonds en même temps est une proposition séduisante pour les gouvernements. M. Hollande dit qu'il va passer le 480m € (622 M $), il estime la taxe augmentera sur la santé et les soins pour les personnes âgées.Grande-Bretagne soulève des taxes sur la bière par an et d'autres pays européens ont poussé à la hausse les impôts ces dernières années mais seulement par quelques points de pourcentage. Aucun n'est allé aussi vite que les Français en Russie où save taxes sur la bière ont été soulevées par certains à 200% en 2010 provoquant le marché de la bière en plein essor à diminuer en 2011.
M. Hollande (photo ci-dessus), doit compter que dans son pays les buveurs de vin, la bière la consommation par habitant est le deuxième plus bas dans l'UE et un quart ce que les Allemands passer-elle provoquera seulement murmures légers au bar du coin.Comme d'autres pays riches boire de la bière est tout de même en baisse car les gens s'enrichissent et se tourner vers les vins et spiritueux à la place. Dans les trois dernières années a la consommation diminué d'un tiers. La bière, comme le vin, est peu taxés à l'heure actuelle. France va rapidement sauter dans les sept premiers en Europe en termes de droits d'accise sur la bière qu'elle perçoit. Les vignerons sont sans doute ravis à l'idée que les ivrognes seront plutôt déboucher une de leurs produits.
Pourtant, la mesure, l'organe qui horeca, les brasseurs français estime va faire monter le prix d'une bière de près de 20%, est un coup dur pour brasseurs français, ainsi que les importateurs, qui fournissent un tiers du marché français. Les cafés et les bars qui comptent sur la bière pour une grande partie de leurs revenus seront consternés que les buveurs peuvent choisir de rester à la maison, où ils peuvent télécharger une bière ou deux à moindre coût. Piliers de bar français auront encore plus de raisons de pleurer dans leurs bières.

Notre Dame Des Landes marque un point :Un projet couteux et douteux selon une enquète indépendante


Les conclusions de l'enquête publique viennent d'être rendues. Un avis favorable assorti de réserves et recommandations dont certaines semblent impossible à lever. Or quand des réserves ne peuvent être levées, il est d'usage de rendre un avis défavorable, sauf à céder aux pressions.


Un projet inutile, ruineux et nuisible à l'environnement


Rien dans le projet ne peut le justifier et il semble bien qu'il ne doive sa survie qu'à un très petit groupe d'élus locaux espérant en retirer un bénéfice, comme on pesait pour avoir sa sortie d'autoroute pour irriguer son territoire. Le projet est surdimensionné, tablant sur une augmentation délirante de la fréquentation (surtout s'agissant de vols internationaux à destination de Nantes) pour pouvoir justifier d'un second aéroport alors que celui de Nantes est largement suffisant. La localisation géographique va à l'encontre du bon sens même en dégradant des zones naturelles protégées, en artificialisant à outrance terres agricoles et naturelles pour un service rendu plus que douteux. Au moment où l'on parle de lutte contre l'artificialisation des sols, ce sont 1650 hectares qui vont être consommés. Le fonctionnement même de l'infrastructure sera en outre source de nombreuses pollutions nouvelles liées à son exploitation (kérosène, trafic routier, dégivrant, bruit...). Enfin ce projet est incohérent du point de vue de la lutte contre le changement climatique au regard de nos engagements internationaux. Comment diviser par quatre nos émissions si on continue d'ajouter de nouveaux postes d'émissions les plus générateurs de CO2 ?


Un aéroport envers et contre tous


Tout dans ce dossier sent la gestion à courte vue. Quand aucun bon argument ne fonctionne, quand même la dette délirante de l'Etat ne fait pas renoncer à un projet à près de 600 millions d'euros h.t1 , on est en droit de se demander pourquoi et comment il peut survivre, sinon par une volonté politique de haut niveau. Et le nom qui revient sans cesse dans ce dossier est bien celui de l'ancien maire de Nantes et actuel Premier ministre, Jean-Marc Ayrault.

La gestion de ce dossier par l'Etat est exécrable. Cela va du dénigrement des positions des opposants au cassage du mouvement en procédant à des évacuations mêlant allégrement les genres entre politique migratoire et déminage de dossier politique et écologique. Les conditions d'évacuation ne peuvent qu'appeler la compassion de FNE pour des populations déjà précarisées. Les interpellations musclées n'ont jamais débloqué aucune situation. Au contraire, elles fixent des crispations et enveniment le débat. Le calme est un préalable indispensable à un débat démocratique apaisé que FNE appelle de ses voeux.

FNE réitère sa demande d'abandon du projet et la remise à plat des engagements du Schéma National des Infrastructures de Transport, le SNIT. Pour Bruno Genty président de FNE : « Il faut oser renoncer aux infrastructures nuisibles à l'environnement et pour lesquels le service rendu est douteux. L'occasion est belle de faire des économies conséquentes tout en protégeant mieux l'environnement, voilà qui constituerait un signal fort de l'engagement de l'Etat pour la transition écologique, au-delà des discours ».
Télécharger ce communiqué en format PDF.

News Press - Communiqué



Notre Dame des Landes : Violence policière contre opposition populaire

...roport Notre Dame des Landes Images terribles ! Heureusement l'armée répressive de l'état français reste modérée en ce sens qu'elle ne tue pas et s'efforce d'être "politically correct". Malgré cela je ne peux m'empêcher de voir une situation de guerre civile et de guerre psychologique. C'est une honte nationale que de voir des citoyens fran...

Vinci Notre Dame des Landes et l' Ayrault port : 2000 hectares de nature en jeu

...Notre Dame des Landes : S’ils perdent, nous perdons tous On les appelle les « aménageurs » : vivant de béton et de pétrole, dont ils recouvrent les rares zones vertes encore existantes, ils « aménagent » les territoires pour que voitures et avions puissent transporter de tout et de rien.La société Vinci par exemple, avec un chiffre ...

Notre-Dame-des-Landes les habitants expulsés reconstruisent leurs habitations détruites

...Notre-Dame-des-Landes : Appel à soutien sur la ZAD 22 octobre 2012 Par Bob 92 Zinn Maison à reconstruire sur la ZAD© Auto-Média de la ZAD Depuis le 16 octobre 2012, le groupe d'intérêt d'Etat, Vinci et le Conseil Général de Loire-Atlantique ont procèdé à la déstruction d'habitats divers et variés sur la ZAD (Vigneux-de-Bretagne, Notre-Dame-...

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...qui nourrira notre monde » «On accède à la Vache Rit comme dans un camp retranché. Perdue au beau milieu de la Zad (Zone à défendre), la grange a été transformée en quartier général par les opposants anti-aéroport.  Depuis le début des opérations d’expulsions, mardi, les militants organisent leur «survie» et assurent les relais sur les barricad...

Notre Dame des Landes : troisième jour de résistance dans la forêt de Rohanne

...des peintres et autres corps de metier ont spontanement refait la vitrine des locaux du parti au pouvoir, avant de proposer, avec audace, un nouvel habit pour la porte de la mairie. Sur le trajet, des vandales ont ose arroser de purin d'ortie la vitrine du poulailler local, allant aussi jusqu'a vider leur outre sur la porte de mairie... On n'ex...

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...e par des manifestants. Mais les opposants gardent espoir, souligne Françoise Verchère, conseillère générale de Loire-Atlantique. Conseillère générale (Parti de gauche) de Loire-Atlantique, Françoise Verchère est aussi co-présidente du Collectif d’élus doutant de la pertinence de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Cedépa). Comment avez-vou...

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...des centaines de flics et de militaires, appuyés par des hélicoptères, ont délogé par la force un grand nombre d’habitants deNotre-Dame-des-Landes, près de Nantes, où ce pauvre imbécile de Jean-Marc Ayrault, ancien maire de la ville, aujourd’hui Premier ministre, entend bâtir un second aéroport (voir ici, ici et là). En agissant de la sorte, le...

Aéroport de Notre Dames des Landes : La gauche fait donner la troupe contre les opposants

...Voila pourquoi des bourgeois votent à gauche, "la gauche elle au moins elle peut tout faire, ça passe mieux". Quand la 3eme république fusillait des ouvriers ça passait mieux que sous Napoleon III et Zola n'en faisait pas un bouquin...  Aéroport deNotre-Dame-des-Landes  – Metro Ressortant les promesses qu’il leur avait faites lorsqu’il étai...

Le fonds souverain de la Norvège balance des milliards de dette française sur le marché

Vous en faites pas Ed l'épicier arrangera tout !



OSLO, 2 novembre (Reuters) - Le fonds souverain norvégien, riche de plus de 500 milliards d'euros provenant essentiellement de la manne pétrolière, a décidé de réduire encore son exposition aux économies touchées par la crise de la dette et par leurs conséquences, parmi lesquelles la France et l'Espagne.

Ce fonds, l'un plus gros investisseurs de la planète, a dit qu'il détenait désormais moins de dette française, espagnole et britannique et qu'il continuait de ne conserver qu'une exposition résiduelle aux emprunts grecs, irlandais et finlandais.

Traditionnellement avare de détails sur la composition de son portefeuille, le fonds a toutefois dévoilé avoir réduit de 17%, à 58,9 milliards de couronnes norvégiennes, les actifs qu'il détenait en dette française. Il n'a donné aucune précision sur l'ampleur de la diminution du poids des emprunts espagnols.

Il a expliqué préférer favoriser les actifs des économies émergentes et en développement tout en accentuant son exposition aux dettes japonaise et américaine.

La croissance du fonds devrait lui permettre d'atteindre 3.793 milliards de couronnes (516 milliards d'euros) à fin 2012 et 4.291 milliards d'ici la fin 2013 (584 milliards d'euros). (Victoria Klesty, Nicolas Delame pour le service français, édité par Marc Angrand)

Notre président "normal" va dire que c'est un manque de pédagogie et que la norvégiens n'ont rien compris. En réalité ce sont nos gouvernants qui n'ont rien compris. La défiance contre la France arrive à grand pas avec une hausse des taux d’intérêts et l'aggravation du déficit en 2013. Le projet de budget du gouvernement est déjà caduc.
Nous y sommes et cela commence par la Norvege, le pays a moins en moins confiance en la signature de la France, les taux vont commencer à augmenter.

Jean Marie Le Pen n' est pas Islamophobe contrairement à sa fille qui fait du pied à Israël


Jean Marie Le Pen est le seul à défendre les pays musulmans.
Notre médiacratie Insulte JMLP de raciste à longueur de journée au lieu d'informer (comme les fascistes le faisaient en propagandant et en diffamant).

Il défend TOUTES LES NATIONS. Cet homme dit la France aux français, l' Iran aux iraniens, l 'Algérie aux algériens et pour le bien des PEUPLES et avant le sien!





La présidente du FN a passé vingt minutes, jeudi à New York, avec l'ambassadeur d'Israël à l'ONU. Celui-ci évoque un «malentendu» pour justifier cette rencontre. Marine Le Pen récuse cette affirmation.


«Personne ne peut imaginer une demi-seconde que Monsieur l'ambassadeur se soit trompé de porte». Vendredi, Marine Le Pen a rejeté l'idée selon laquelle sa rencontre avec l'ambassadeur d'Israël à l'ONU était le fruit d'un malentendu. C'est pourtant ce que la mission israélienne à l'ONU a expliqué via sa porte-parole, expliquant que l'ambassadeur «était là-bas en raison d'un malentendu». Le ministère des Affaires étrangères israélien a pour sa part évoqué «une erreur de jugement» et «une bourde».




Soldes impayées des militaires : c'est un défaut de paiement camouflé !


Non, vous n’êtes pas (encore) en Grèce. Si une France en faillite voudrait camoufler son incapacité à financer les salaires de ses militaires, elle n’aurait pas fait mieux dans l’appellation de son système de traitement de soldes… Louvois, comme « louvoyer: fait d’user de moyens détournés pour parvenir à son but ». Voici donc la définition du Petit Robert dont le nom est porté par le sympathique logiciel de gestion de salaires des militaires français. 
source : Gold-up

Je louvoie, tu louvoies, elles louvoient ?

Depuis plusieurs mois, de nombreux militaires sont quasiment à la rue.
Certains sont forcés de vendre leurs biens (voitures, meubles…) pour remplir le frigo ou se font prescrire des congés maladie pour travailler au noir afin d’éviter la faillite personnelle.
D’autres envisagent de ne plus partir en mission en signe de protestation et certaines femmes de militaires envoient des messages éloquents à leurs maris ruinés partis au « front »:
france en faillitefrance en faillite
france en faillite
france en faillite

Et en terme de louvoiement, l’État explique que c’est un problème temporaire qui va être réglé très rapidement depuis Octobre 2011… à lire ici
Le logiciel a bon dos (pas celui sur les photos…), à croire que les développeurs informatiques n’ont pas été payés non plus…

 France en faillite, l’avis d’un analyste économique



Pour soutenir financièrement votre armée – du salut -, faîtes vos dons sur le site « Militaires et Citoyens » (en plus, vous avez droit à 50% de réduction d’impôts)
Un autre François nous avait prévenu que « çà ne pouvait plus durer » : Vidéo France en Faillite

Les témoignages des personnes concernées sont les bienvenus dans les commentaires ci-dessous (clickez sur le lien ci dessous) :

France en faillite : salaires de militaires impayés « Gold-up

La Troïka va demander aux états préteurs de payer à la place de la Grèce


L´heure de la verité arrive ! 

Depuis 2008 nos dirigeants n´arretent pas de nous rabacher que ces fonds de soutien ne couteront rien aux contribualbes. De facon évidente La Grece ne peut pas rembourser - même si elle le voulait . 
La Troika pourra conseiller ce qu elle voudra mais Schäuble et Merkel ne vont pas accepter un nouveau Hair cut aux frais des contribuables cette fois. D' une part il ne le peuvent pas sans la bénédiction du parlement (Bundestag) et ce serait le suicide politique avant les élections ! 
Je vous dis, ça va chauffer !

latribune.fr 
Les représentants du FMI, de l'UE et de la BCE réclament une nouvelle restructuration de la dette hellénique. Et cette fois, BCE, Etats et FMI devront encaisser des pertes. Le tout, en échange de réformes...
L’idée d’une nouvelle restructuration de la dette grecque continue à progresser. Selon l’édition de ce lundi de Der Spiegel, la troïka, composée de représentants de la Commission européenne, de la BCE et du FMI, serait parvenue à la conclusion qu’on ne pourra pas éviter une nouvelle coupe dans les créances helléniques. Et cette fois, la troïka demande, ne pas se contenter, comme en mars dernier, de mettre les créanciers privés à la peine, mais exige une contribution des créanciers publics.
136 milliards d’euros détenus par des créanciers publics
Selon le Spiegel, les représentants de la troïka ont présenté leurs conclusions jeudi dernier aux collaborateurs des ministres des Finances de la zone euro. Ce serait la première fois que la crise grecque coûterait effectivement de l’argent aux contribuables européens. En mai 2010, les pays de la zone euro avaient accordé 53 milliards d’euros à la Grèce sous la forme de crédits bilatéraux. Par la suite, 74 milliards d’euros ont été versés par le FESF (avec la garantie des Etats de la zone euro) à Athènes. Le FMI, lui, a déboursé 22 milliards d’euros pour Athènes. De son côté, selon le Spiegel, la BCE détiendrait par ailleurs 40 milliards d’euros de dette hellénique rachetée sur les marchés. En tout, 136 milliards d’euros de dettes grecques seraient entre des mains publiques.
Réformes obligatoires
La troïka entend ainsi adoucir le fardeau du remboursement de la dette pour le gouvernement grec. Mais il exige en retour de sévères concessions d’Athènes. A commencer par la réalisation des réformes encore en suspens: suppression de la protection de l’emploi pour les salariés, baisse du SMIC et dérégulation des métiers encore protégés. Par ailleurs, la troïka souhaiterait une relation directe entre les réformes et la politique fiscale. Si le gouvernement rechigne à mettre en œuvre les recommandations de la troïka, les impôts augmenteraient alors automatiquement.
Refus allemand
De son côté, Wolfgang Schäuble, le ministre des Finances allemand, a prévenu dans une interview à laDeutschlandfunk que son gouvernement et le Bundestag, refuserait la solution proposée par la troïka. "C'est un peu irréaliste de parler de restructuration aujourd'hui", a indiqué le ministre qui, en revanche, préconise une surveillance plus étroite des finances helléniques.
(source : Der Spiegel)

Ces islamhystériques qui veulent en découdre avec la Russie


Une déclaration de guerre contre la Russie ?



Récemment un théologien sunnite réputé, le cheikh Youssef  Qardaoui, a tenu des propos assez surprenants et plutôt inattendus, en affirmant tout simplement que "Moscou (la Russie) était devenu récemment un ennemi de l'islam et des musulmans, un ennemi numéro un (…) et que la Russie est responsable de la mort des civils en Syrie".
Pendant son prêche prononcé à Doha (capitale du Qatar), il a dit que les pèlerins musulmans à la Mecque devaient cette année prier Dieu "pour qu’il détruise la Russie, la Chine et l’Iran qui sont selon lui les pires ennemis des musulmans et des Arabes, parce qu’ils soutiennent le régime de Bachar el-Assad par les armes". Ce théologien avait aussi lancé une Fatwa pour l’assassinat de Kadhafi début 2011, une Fatwa qui a paradoxalement vu sa réalisation grâce aux armées occidentales.  
Le cheikh Youssef al Qardaoui, qatari d’origine égyptienne, est bien connu et très populaire dans une partie du monde musulman. Radical et proche de la confrérie des frères musulmans, il considère que la "démocratie n’est simplement pas compatible avec la Charia" ou encore que "le châtiment infligé aux juifs par Hitler était la volonté de dieu et que si Dieu le veut, le prochain châtiment des juifs sera infligé par les musulmans". Il est aussi un fervent défenseur des attentats suicides du Hamas en Israël et affirmeégalement que l’Islam va revenir en Europe mais cette fois en vainqueur. En 2002, le cheïkh, par ailleurs président d’une instance théologique qui porte le nom de conseil européen de la fatwa et de la recherche (CEFR), avait été accueilli en grande pompe en France. En 2004, celui-ci avait même été sollicité par l’état français pour contribuer à la libération d’otages français au Qatar. Puis le vent a tourné, et bien que la très officielle UOIF (Union des organisations islamiques de France) soit affiliée au CEFR, le cheïkh s’est vu cette année interdit de séjour en France par l’ancien président Nicolas Sarkozy en personne.
Ces propos inquiétants qui surviennent en plein conflit syrien illustrent parfaitement non seulement la tension qui entoure la Russie dans les franges les plus radicales du monde musulman, la guerre qui couve au sein du monde musulman, mais aussi les alliances directes, indirectes ou par ricochet qui sont en train de se créer. Les Occidentaux qui se sont longtemps fait des illusions sur les printemps arabes peuvent désormais clairement constater à quel point la situation a basculé non pas vers un été démocratique, mais au contraire un hiver islamiste. Et pourtant, la politique du deux poids deux mesures de l’Occident n’a visiblement jamais été aussi prospère.
L’analyste français Alexandre Del Valle constatait récemment avec beaucoup d’étonnement que les puissances occidentales étaient, par exemple, promptes à appliquer leur vision droit-de-l’hommiste et interventionniste du monde pour protéger les sunnites syriens mais n’avaient visiblement pas jugé nécessaire d’intervenir contre le massacre de deux millions de chrétiens au Sud Soudan entre 1960 et 2007, par la dictature militaro-islamiste de Khartoum. On peut en effet se demander pourquoi la Syrie est mise au ban des nations sous prétexte qu’elle serait une dictature alors que l’Arabie Saoudite ou le Pakistan sont considérés comme des Etats « normaux ». Est-ce simplement parce que les armes atomiques du Pakistan pourraient être dirigées contre l’Inde alliée de la Russie? Est-ce simplement parce que les dictatures wahhabites du Golfe sont des alliées inconditionnels de l’Amérique et ce depuis bien longtemps ? Ce sont pourtant ces monarchies qui sont désormais les centres névralgiques d’un islam radical et totalitaire qui menace tant la Syrie que le Caucase ou de nombreux quartiers dits sensibles des capitales occidentales.
Le nouveau grand jeu oriental est sans doute en train de bruler les doigts de ceux qui pensaient que les Etats arabes étaient de simples pions utilisables pour atteindre des objectifs géostratégiques. La Tunisie tout comme l’Egypte et la Libye sont désormais sous le contrôle politique des frères musulmans, dont est issu le cheikh Youssef al-Qardaoui qui appelle à la guerre sainte contre la Russie. Même le Maroc a  aujourd’hui un premier ministre issu des frères musulmans. Ces pays voient désormais certains de leurs Salafistes et Takfiristes les plus radicaux combattre à l’extérieur, en Syrie ou encore au Mali. Le monde chiite (Iran-Syrie-Hezbollah-Irak) est aujourd’hui soumis à une pression terrible de l’axe sunnite radical, axe qui a pris le pouvoir partout où le printemps arabe est passé et qui bénéficie du soutien des démocraties occidentales. Dernière conséquence de ces éruptions, le Liban est désormais au bord de l’explosion et la Jordanie est sous pression. Il n’y a pourtant là aucune surprise, le ministre russe des Affaires étrangères avait au début de ce mois rappelé que "les Européens ne connaissent rien au Proche-Orient (…) et risquent de déstabiliser la région tout entière, à commencer par le Liban et la Jordanie".
La Russie, bien que menacée par la nébuleuse islamo-takfiriste, ne perd pourtant pas le nord et défend très logiquement les régimes nationalistes et/ou laïques de la région. La Russie vient d'obtenir la juste récompense d’une politique extérieure équilibrée dans le monde musulman via la signature de contrats d’armement pour une valeur de plus de 4 milliards de dollars en Irak. Alors que la guerre en Syrie n’en est peut-être qu’à ses prémices, que l’un des candidats à la Maison Blanche qualifie la Russie d’ennemi principal de l’Amérique (!), qu’Al-Qaïda vient officiellement d’appeler à la guerre contre la Syrie de Bachar el-Assad, les hommes politiques européens devraient se demander si leur "collaboration" avec les ennemis de la liberté et de la démocratie n’est pas de nature à se retourner contre eux et contre leurs peuples, bien plus rapidement qu’ils ne le pensent.
L’opinion exprimee dans cet article ne coïncide pas forcement avec la position de la redaction, l'auteur étant extérieur à RIA Novosti.
Alexandre Latsa est un journaliste français qui vit en Russie et anime le site DISSONANCE, destiné à donner un "autre regard sur la Russie".

C'est quoi l' Empire ?



Diktacratie - Home
Que ce soit à l’intérieur de l’Empire : Lincoln, Jackson, Kennedy…ou à l’extérieur : De Gaulle, Saddam Hussein et demain, qui sait Ahmadinejad ou Chavez ?…l’Histoire nous apprend que quiconque veut défier la Banque doit s’attendre à le payer cher. Le payer de sa propre vie, s’il est américain et, s’il ne fait pas partie de la coalition, à voir en prime son pays rattaché à l’axe du mal !

En 1942, quand les états-majors US, britanniques et soviétiques décidèrent de se réunir en secret pour coordonner leur guerre contre Hitler, ils le firent dans les locaux de la Federal Reserve Bank de New York, et il n’est pas exagéré de résumer la politique mondiale du XXème siècle à une perpétuelle diabolisation des opposants à la Banque, elle-même garantie en dernière instance par la puissance américaine.

Ainsi, quand Saddam Hussein envisagea, en 2003, de libeller ses ventes de pétrole en euro – ce qui équivalait à remettre en cause le statut du dollar à travers le pétrodollar -l’armée américaine, sous le faux prétexte des « fameuses armes de destruction massive », écrasa son pays sous les bombes, et l’OPEP, comprenant aussitôt le message, retira l’  « europétrole » de son ordre du jour. Quant à Saddam Hussein, il finira pendu comme les dignitaires nazis.

Protéger le statut du dollar et, derrière lui, le privilège de la FED, telle est en dernière instance la mission ultime de l’armée impériale américaine.

La Banque ainsi analysée et définie doit donc se comprendre comme une nouvelle aristocratie tenant son pouvoir du droit de prêt à l’intérêt, lui même garanti par le mensonge et la violence.

Une oligarchie n’ayant même plus à son actif le développement de l’économie, comme durant la Renaissance, mais devenu frein à toute création de richesse sous le règne de la Fed et de Goldman Sachs.

Un pur parasitisme et un pur privilège auto-octroyé, non plus au nom de Dieu, mais de la pseudo-rationalité économique et de la magie des chiffres qui font de cette oligarchie financière et mondiale de la rente sur le travail humain généralisé, l’exact équivalent, par l’argent et la possession exclusive du crédit, de ce que furent les nobles vivants sur le travail agricole des serfs par la possession de la terre, au nom du privilège de droit divin.

Pilotés de New York, habités d’une idéologie faite de volonté de puissance, de violence destructrice et de mépris social puisé à l’Ancien testament, c’est cette vision du monde et ce processus que nous appelons : Empire. »

Qu’est-ce que l’Empire ? – Diktacratie

Hollande abandonne le choc réformiste pour le choc fiscal et sociètal


Sur un coin de table

Quand la gauche décide du politiquement correct, les vaudevilles des prochaines années nous mèneront directement en psychanalyse.

Cette « stratégie » politique établie sur un coin de table révèle une présidence d’une rare impéritie. Au-delà des clivages politiques, le degré d’impréparation de ce gouvernement est quotidiennement patent.
La pseudo-épaisseur d’Hollande n’était qu’une baudruche, vendue par les médias, qui ne cesse de se dégonfler.


Hollande ne peut réformer car ce serait aller à l’encontre de son électorat de base constitué de fonctionnaires. Aussi, sur un coin de table, il fait dans le sociétal qui permet de poursuivre sa déconstruction de notre société en attaquant une de nos valeurs essentielles: la famille.
Son choc sociétal a pour objectif d’occulter le bombardement fiscal que nous subissons pour financer son appareil d’Etat inefficace, qui ne saurait subir un choc de compétitivité, par ailleurs. La république des planqués doit perdurer.
Socle de construction de nos vies, bouclier de protection contre les difficultés, la famille est stupidement connotée comme une valeur dite bourgeoise alors que c’est avant tout et en premier lieu des bras qui se tendent pour nous guider, nous soutenir et parfois nous engueuler en tant qu’auto-régulateur social, en général de bon aloi.
La famille ne peut donc convenir aux plus zélés des socialistes. Bien trop conventionnelle, elle s’affranchit de l’Etat par ses solidarités naturelles. Elle ne peut qu’être émancipée de l’Etat-providence qu’elle délégitime dans une certaine mesure, après les premières années de nos progénitures.
La famille s’est construite anciennement à partir du mariage. Ce dernier est donc attaqué en le dénaturant.
Le mariage pour tous mais, avant tout, pour les homosexuels, cherche à décrédibiliser une de nos dernières institutions honnie des soixante huitards, au même titre que le fameux mariage Coluche-Le Luron, initié à l’époque pour faire parler de deux starlettes en perdition.
Mais ce mariage arrangé n’était avant tout qu’un trait d’humour plus ou moins apprécié.
Il en est autrement pour le mariage homosexuel. Nos enfants se construisent à travers l’altérité sexuelle des parents et leur identification bien différente. Avoir à proposer sur un livret de famille à nos enfants, parent 1 et parent 2 ne devrait pas inciter à la baisse d’anti-dépresseur d’une société totalement paumée, en perte de repères.
Cette politique socialiste ébauchée sur un coin de table après un meeting certainement improbable, sans analyse approfondie, si ce n’est de l’association idoine de service, est grave.
Ah oui bien sûr, cette situation de couples homosexuels existe. Mais faut-il que la République la légitime parce que des couples s’en accommodent ?
Ma voisine dort avec son voisin ? Dois- je les sommer de se marier ?
Est-ce que tous les homosexuels aspirent vraiment au mariage ?
Cette revendication est-elle vraiment prégnante dans cette communauté ?
Ne vaut-il mieux pas lutter en priorité contre l’homophobie au lieu de transformer le mariage en gadget homosexuel du moment ?
Cette proposition met plus que jamais en exergue le poids excessif d’associations de gauche au service de quelques minorités relayées par des médias complaisants et certainement plus intéressés que d’autres professions par cette disposition, sans mauvais esprit.
Ce « montage », associations de gauche-médias-parti socialiste légifère avant l’heure en construisant leur vision personnelle et électoraliste de leur société. Ce triptyque détricote nos modes de vie et notre civilisation.
Le pacs en 1999 était déjà fait pour les homosexuels : échec car ils ne représentent que 6 % des pacsés. En Espagne, sous le faiblard Zapatero, seulement 3500 mariages homosexuels sont prononcés pour information.
Quelle mode dangereuse vont-ils encore inventer pour notre société, pour nos enfants ?
Renforcer la théorie du genre où un garçon ou une fille n’est pas lié à son sexe ? Jeanne ne sera pas Jeanne mais s’appellera désormais Gaston car Parent 1 l’a décidé. Mais si Parent 2 n’est pas d’accord, ils peuvent divorcer alors ?
Qui a la garde ?
Celui qui a le moins de moustache ?
Et si Mère 1 apparaît finalement ?
Quand la gauche décide du politiquement correct, les vaudevilles des prochaines années nous mèneront directement en psychanalyse.
Cette « stratégie » politique établie sur un coin de table révèle une présidence d’une rare impéritie. Au-delà des clivages politiques, le degré d’impréparation de ce gouvernement est quotidiennement patent.
La pseudo-épaisseur d’Hollande n’était qu’une baudruche, vendue par les médias, qui ne cesse de se dégonfler.

Pour François Hollande la prospérité est au coin du cycle économique : il suffit d'attendre


UNE QUESTION DE PATIENCE UNIQUEMENT, MONSIEUR LE PRÉSIDENT ?

2 NOVEMBRE 2012 par PAUL JORION
 Paul Jorion , né le 22 juillet 1946 à Bruxelles, est un chercheur en sciences sociales, de nationalité belge, ayant fait usage des mathématiques dans de nombreux champs disciplinaires : anthropologie, sciences cognitives, et économie. Il est l'un des rares commentateurs économiques à avoir anticipé la crise des subprimes américains de 2007 et le risque de récession mondiale qui en a résulté, dans son ouvrage Vers la crise du capitalisme américain.
Quand j’ai vu François Leclerc citer le président de la république française disant :

« La reprise va arriver, c’est une question de cycle »
j’ai bien sûr tenu à aller vérifier aussitôt. Mais non, c’est vrai : les choses vont finir par s’arranger toutes seules : tout ça n’est qu’une question de cycle.
Il y a presque un an, je participais à une table-ronde réunie par Jean-Pierre Chevènement. À un moment donné, Jean-Hervé Lorenzi a expliqué : « De toute façon, cela finira par s’arranger ! ». La salle a retenu son souffle. Mon voisin de panel était Christian de Boissieu, nous nous sommes tournés l’un vers l’autre, sans doute pour vérifier que nous étions bien éveillés. J’ignore si mon visage reflétait davantage de consternation que le sien ; ç’aurait en tout cas été bien difficile.
Mais voilà, nous vivons donc en France en plein cauchemar, avec un chef de l’État qui déclare que « La reprise va arriver, c’est une question de cycle » et qui, pire encore, le croit peut-être vraiment.
Ou bien ne faites-vous, M. le Président, que répéter ce que des « économistes » disent autour de vous ? Si c’est le cas, je tiens à vous rassurer : il y a quand même d’autres économistes que cela en France, qui pourraient vous expliquer que la crise dans laquelle nous sommes plongés n’est pas une phase de faiblessedans un « cycle » mais que les systèmes financiers et économiques sont depuis cinq ans dans un processus avancé de liquéfaction, que rien jusqu’ici n’a pu endiguer.
Oui, il est possible, M. le Président, en faisant preuve de beaucoup d’imagination de voir dans la crise des années 1930, une crise « cyclique », mais savez-vous en quelle année nous sommes alors sortis de ce cycle ? Aux alentours de 1965. Et il a fallu pendant tout ce temps-là, une bonne guerre pour donner un coup de fouet salutaire à l’économie. La différence avec maintenant ? Avec une planète épuisée entre-temps par nos soins, une complexité qui nous dépasse désormais, le travail en voie de disparition, aujourd’hui, c’est beaucoup plus grave.

Les cours d’Henri Guillemin montre en effet que ça finit par s’arranger . Les nantis , les puissants ont pour cela une recette : une bonne guerre où la caryatide ( les gens du peuple , ceux qui travaillent ) se fait tuer sur le front , ça purge le pays comme une saignée , ça retire une bonne partie des forces vives du peuple du monde des vivants ( sinon , cette force vive pourrait faire une révolution comme en 1789 ou pire 1792 ou la Commune de Paris ) . Chute démographique , donc moins de chômeurs , moins de revendications sociales , plus moyen de lutter contre les chiens de garde armés au service des gens de biens .