V. Trierweiler prouve qu'en vengeance et en amour, la femme est plus barbare que l’homme! |
Cocue akbar!
Le mépris de François Hollande envers les pauvres, déjà entrevu lors d'une conversation décomplexée avec martin Hirsh a éclaté au grand jour.
Son impopularité inégalée et la contestation de sa politique dans sa majorité étaient déjà le signe d'un Président perdu. À son incompétence crasse s'ajoute désormais une inhumanité désinvolte qui propage la rage au sein des milieux populaires.
François Hollande a perdu le lien avec les classes populaires, «l'engagement de toute une vie» martelé dans des médias complaisants ne trompe personne, l'ex compagne répudiée du chef de l'Etat, Valérie Trierweiler racontant un François Hollande méprisant les pauvres, surnommés les «sans-dents», a fait mouche.
Pire que Tony Blair ou Gerhard Schröder au tournant des années 2000
Le divorce des "sociaux démocrates", libéraux de la dernière heure, est désormais consommé avec les milieux modestes!
Valérie Trierweiler est devenue en l'espace d'une rentrée dantesque le témoin à charge dans le procès des "hollandais" quant à leur rapport aux pauvres. Ni branchés "à la canal+" ni assez beaux, soupçonnés de lorgner du coté de la marine, méprisés à Solférino...les pauvres ça pue ça pollue et ça rend con. François merci de cet aveu!
Après le scandale en mondovision de Dominique Strauss-Kahn violant une femme de chambre au Sofitel de New York, l'ex-ministre du Budget Jérôme Cahuzac luttant contre la fraude fiscale avec son compte en Suisse, en passant par la récente démission de Thomas Thevenoud qui ne déclare pas ses impôts depuis trois ans, le verdict de l'opinion est tout sauf clément.
"Moi-Président" ça vaut 13%!
Apparemment "merci pour ce moment", le brûlot de Valérie Trierweiler n'a fait que confirmer à un certain nombre de Français ce qu'ils avaient intuitivement ressenti. "Moi-je, Président" n'est pas un personnage bien intéressant et on peut le retourner sur toutes les coutures privées ou publiques: il ment , il trompe, il temporise et son premier souci n'est pas de construire - ce dont il est rigoureusement incapable - mais de briser et de détruire.
13% de satisfaits au bout d'un peu plus de deux ans de mandat , c'est un beau résultat qui n'est pas à la portée du premier venu. Mais il est vrai que le Président offre constamment une image si négative et répète jusqu'à l'ennui un discours si trompeur (l'inversion de la courbe du chômage, le retour de la croissance, la réduction des déficits publics etc.), qu'on se demande comment il peut donc rester encore 13% d'électeurs pour ne toujours pas avoir compris.
Les "sans dents" gouvernés par un "sans couilles"
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