Twitter / amandinechlt : "Je suis socialiste de cœur mais j'ai voté FN..." |
"La gauche ne fait plus rêver, on paye d'avoir promis des choses qu'on ne pouvait pas tenir et ce sont nos sympathisants qui se sont abstenus. Comment voulez-vous que ça aille avec des résultats comme ça? C'est une déculottée sans nom !"
( une vieille militante PS qui ne comprend plus ce que fait "là-haut" François Hollande)
M. Quatremer, ce que disait De Gaulle sur les journalistes et la bourgeoisie…cela vous concerne au premier chef!
«...ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole." (GDG)Les journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 1940, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national.
Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d’austérité ni d’effort ! Pétain avait trouvé l’arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre.
Bien sûr, cela représente 5% de la nation, mais 5% qui ont dominé. La Révolution française n’a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu’est la bourgeoisie. Cette classe qui s’est de plus en plus abâtardie, jusqu’à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu, le populo ne partage pas du tout ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l’intérêt du pays. Il ne s’y trompe pas souvent.
En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d’argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s’entendent pour se partager le pouvoir.
journal de bord | mai 2014 | 26
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