Les banksters tuent leur employés pour récupérer leur assurance vie:Plus orwellien tu meurs!
Wall Street et ses méga banques a planté le système financier américain en 2008 et jeté au chômage des centaines de milliers d'employés.
Puis, à partir la fin de l'année dernière, une éruption de morts suspectes a commencé à se produire chez les employés des banques "too big to fail" et particulièrement à la banque JP Morgan, qui connaît des difficultés de trésorerie.
Une rareté statistique, même au plus fort de la crise financière 2008.
Les enquêteurs de Wall Street On Parade (Pam et Russ Martens) ont voulu en avoir le cœur net. Ils ont notamment demandé aux services fédéraux chargés de ces questions des détails sur une assurance très particulière, dite Bank-Owned Life Insurance, ou BOLI, une "assurance-vie" controversée qui paye la banque quand un de ses employés meurs, mais pas sa famille. Ils se sont entendus dire qu’il s’agissait d’un “trade secret” auquel ils ne pouvaient avoir accès. Ils ont tout de même mené leur enquête, qui fait l’objet de cette publication.
Ainsi ont-ils appris que JP Morgan souscrivait un ensemble d’assurances BOLI pour $10,4 milliards, qui représentent au moins $100 milliards, et peut-être plusieurs centaines de $milliards en primes d’assurance... L’ensemble, fort bien documenté, suggère une explication de ces suicides (plus que jamais “suicides”) qu’on devine aisément, – évidemment extraordinaire, qu’on pourrait même juger, dans son caractère extraordinaire, comme au-delà de toutes les thèses énoncées jusqu’ici.
Ces suicides (“suicides” ?) ont donné lieu à nombre de spéculations, à des thèses diverses, liées bien entendu au climat du secteur financier et de Wall Street depuis 2008.
Dedefensa.org : Les “suicides” de banquiers : pour “sauver” la banque ?
Invité Message: morts suspectes de banquiers sont maintenant classés comme "secrets commerciaux" par le régulateur fédéral
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