Nos soldats "droit de l'homme au fusil" en Centrafrique pour une opération de vulgaire police
Bien qu'ils soient au côté des forces africaines, ce sont eux qui se retrouvent en première ligne. La France joue donc bien les gendarmes de la françafrique, n'en déplaise à Jean-Marc ZAyrault le futur ex premier sinistre.
Durant sa campagne électorale avec plein de petits bout de mensonges dedans, François Hollande a promis aux gogos gauchistes que la France ne se mêlerait plus des affaires africaines : Caca la colonisation!
Aujourd’hui, il se déjuge en arguant que cet intérêt pour les missionnaires armés est justifié par l'impératif de sauver des innocents, alors qu'il n'est questions que de la défense de nos intérêts statégico-miniers.
Moi Président se retrouve donc fautif d’avoir promis inconsidérément un désengagement de l' Afrique au nom de la liberté des peuples à disposer d'eux-mêmes.
Les voltes faces de françois Hollande depuis la rentrée 2012 reflètent le flou du candidat qui devait ré enchanter le rêve français.
On aurait pu éviter le pire !
Comment juger le silence et l’absence de réaction de Paris en mars 2013 lorsque l’actuelle coalition au pouvoir menée par Michel Djotodia, la Séléka, prend le contrôle du pays.
Des soldats sud-africains tentent de s’interposer (Jacob Zuma soutient Bozizé) au prix de la mort de treize d’entre eux, alors que les 450 militaires tricolores qui contrôlent l’aéroport ne sortent pas de leur cantonnement – des ressortissants français apeurés le leur reprocheront d’ailleurs.
Pour autant, Paris n’a pas bougé. Pour certains, c’est parce que « la France n’a rien vu venir et ne croyait pas en la victoire de la Séléka », selon un conseiller de Djotodia. Pour d’autres, et l’explication n’est pas incompatible, c’est parce que « la France n’a plus de politique africaine », selon Éric Massi, ancien porte-parole de la Séléka devenu directeur de l’aviation civile.
Voilà donc la France obligé de nettoyer le merdier génocidaire qu'elle a contribué à créer par sa passivité volontaire...
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