AREVA et VINCI auraient payé "Plusieurs dizaines de millions d'euros"
"La demande la plus forte a été pour les quatre otages restants a été de 70-76 Millions d'Euros""Lors de la précédente libération de trois otages qui avaient moins de valeur, la somme se montait à 13.5 Millions d' Euros"
(Inutile de préciser que ces millions serviront à acheter armes et missiles afin de combattre nos soldats au Mali...).
Pas plus le PS que l' UMP n'ont eu "le coeur" d'abandonner à leur triste sort nos otages, promis à une mort certaine en cas de non- paiement de rançons...
Encore un mensonge stupide qui ne tiens même pas 24 heures dans la presse, alors autant assumer.
(extrait Le Monde : Otages d’Arlit : une rançon a été versée)
Lorsque la partie nigérienne estime que la négociation est ficelée, le président Issoufou appelle son homologue français et lui présente les termes d'un accord. On peut les sortir mais il faut payer, dit-il en substance. François Hollande donne son accord, contredisant ses déclarations devant les familles des otages d'Arlit en janvier auxquelles il assurait que la France ne paierait plus.
Il reviendra au secrétaire général de l'Elysée, Pierre-René Lemas, de prévenir le directeur de la DGSE de la solution retenue. Selon nos informations, l'argent a été prélevé sur les fonds secrets alloués aux services de renseignement. La somme a été acheminée par la DGSE jusqu'à Kidal puis remise à Mohamed Akotey et aux hommes d'Amarante. Les services français apportent la logistique (voitures, armes, hélicoptères, avion). Amarante fournit les contacts locaux.
Selon une source française connaissant les détails de cette opération, des membres de la DGSE ont remis aux membres du convoi, la veille de leur départ de Kidal, la « contrepartie » à la libération des otages, « plus d'une vingtaine de millions d'euros ».
Il a été convenu à l'avance que les ravisseurs devaient d'abord regrouper les quatre otages qui avaient été séparés au mois de juillet. Puis de les laisser, seuls, deux ou trois jours, dans un endroit sécurisé avec de l'eau et de la nourriture. A un autre endroit, les preneurs d'otages devaient ensuite échanger l'argent contre les coordonnées GPS permettant de localiser les quatre Français.
EN DIRECT. Ex-otages : la France aurait versé une rançon d'au moins 20 millions
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