jeudi 13 décembre 2012

Après Arnaud Montebourg Pulvar quitte les inrockuptibles


Tensions avec Matthieu Pigasse

Après avoir viré tous ceux qui travaillaient aux Inrocks lors de son bref passage, il ne restait plus personne à sortir, alors elle a décidé de partir. Cela prouve que cette personne ne s'entend avec personne et que personne ne devrait plus compter sur elle pour quoique ce soit. 

Les relations entre Audrey Pulvar et le propriétaire de l'hebdomadaire Matthieu Pigasse seraient devenues extrêmement tendues
Ils ne communiquent plus que par mail et leur entrevue d'hier a été annulée. Les deux parties doivent se retrouver la semaine prochaine dans un conseil d'administration qui s'annonce houleux. Contactée par puremedias.com, Audrey Pulvar n'a pas souhaité commenter ces informations, indiquant seulement se préparer à passer «quelques journées mouvementées». Malgré une nouvelle formule «newsmagazine» initiée en septembre 2010, la situation économique des Inrockuptibles reste problématique, avec une baisse de 7% de sa diffusion payée sur l'année 2012.


Voilà le revers de la médaille d'une embauche par "piston". 
Quand la relation n'existe plus, le travail suit. 

Qu'est-ce qui dérange chez Pulvar : elle n'est pas sympathique, par le mépris qu'elle témoigne à ses invités du moins ceux qui ne sont pas de son bord, sa façon de leur couper la parole, son regard froid et arrogant, sa suffisance. 

Elle est imbue d'elle-même, caractéristique qu'elle partage avec un certain nombre de présenteurs du genre bobos comme Ruquier et Ardisson. 
Davantage, même, car contrairement à ces derniers, elle n'a aucun humour.


A la cour...


C'est épouvantable. 
Il ne se passe plus une journée sans qu'il ne soit fait étalage publiquement des turpitudes des unes et des autres, toutes compagnes, ex-compagnes, maîtresses d'hommes politiques aux affaires.

Sous la Cour des Rois, les "cocottes" de l'époque étaient davantage brillantes !

Le lecteur d'aujourd'hui en est réduit à compter les points du palmarès de la vulgarité de ces courtisanes new look. 
Quelle pitié !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Dites ce qui vous chante...
Mais dites-le !