mardi 21 août 2012
Barack Obama : et dire qu'il est prix Nobel de la paix !
Dans une nouvelle sortie hasardeuse et surtout qui n’a rien à voir avec la paix, le président américain Barack Obama a lancé un nouvel avertissement en signe d’ultimatum à un pays souverain, la Syrie. Cherchant par tous les moyens la petite bête, la fébrilité et la nervosité du président américain est un signe d’exaspération, suite à leurs échecs consécutifs à la demande de départ du président syrien Bachar al-Assad non accepté. De vrais démocrates ou des dictateurs qui exigent qu’on leur obéissent pas tous les moyens ? Ambiance.
Dans une conférence de presse lundi soir à Washington, le président américain, loin de toutes les règles élémentaires de bienséance et de la diplomatie, a confirmé qu’il n’a pas exclu l’option d’une offensive militaire sur le régime syrien de Bachar al-Assad. Ceci, en violation de la charte des Nations unies dont tous se réclament. Le président américain est tombé bien bas, du côté des faucons. Et dire qu’il est prix Nobel de la paix le bougre ! Mais, ce n’est pas une surprise. Dès son entrée en fonction, à la question de savoir quel était le président américain qui était son symbole, à la surprise générale, ce prix Nobel de la guerre avait donné une réponse incroyable. Alors que tout le monde s’attendait à Abraham Lincoln ou John-Fitzgerald Kennedy (JFK), il avait répondu…Ronald Reagan, l’ancien président acteur républicain, qui avait tenté d’assassiner déjà, le frère Guide Mouammar Kadhafi, le 14 avril 1986. La brute a achevé le travail 25 ans après. Cette réponse était un indicateur de ce que serait sa gouvernance pour les gens avertis…
Prenant donc hier, la parole à la Maison Blanche, le président Obama a déclaré que si la Syrie met ses menaces à exécution sur l’emploi de ses armes chimiques ou biologiques, les États-Unis donnera suite à celle-ci et lanceront une attaque d’envergure. Répondant à une question d’un journaliste qui lui demandait l’attitude que doit avoir l’Amérique face au régime syrien actuel, le président Obama a déclaré que les Etats-Unis ne toléreront et ne permettront pas à la Syrie ou tout autre pays (Iran ndrl) à entrer en possession d’armes de destruction massive :
“Nous avons été très clair face au régime de Bachard al-Assad, mais aussi à d’autres acteurs de la région, de ne pas franchir la ligne rouge parce que, ce que nous constatons, nous commençons à voir tout un tas d’armes chimiques se déplacer ou d’être utilisé”. Poursuivant, “ Cela changerait mon équation. . . . Nous surveillons la situation de très près. Nous avons mis en place une série de plans d’urgence. “
“Nous ne pouvons pas avoir une situation dans laquelle des armes chimiques ou biologiques tombent entre les mains de mauvaises personnes».
” Nous avons mis en place une série de plans d’urgence. Nous avons communiqué en termes clairs avec tous les acteurs dans la région que c’est une ligne rouge à ne pas franchir pour nous. “
Obama a ajouté aux journalistes que sa mise en garde ne signifie pas seulement la Syrie, soit, mais que les Etats-Unis pourraient envisager de manœuvre avec ou contre tout autre pays qui envisage la guerre chimique. Mystère et boule de gomme. Le président américain menace, pérore et se double même d’un menteur. Drôle de découverte a été de l’entendre dire ceci:
“Ceci ne comprend pas seulement la Syrie. Il s’agit aussi de ses alliés dans la région, y compris Israël”
Était-il saoul ? Ce qui est sûr, faisons le pari, aucun média ne relatera son propos sur Israël, à moins que ma traduction ne soit approximative.
Barack Obama semble réagir aux propos du porte-parole du ministère syrien des Affaires étrangères Jihad Makdissi qui avait déclaré que son pays n’utilisera pas d’armes chimiques contre les terroristes syriens et les mercenaires étrangers qui veulent déstabiliser son pays. Mais, il avait préciser que, en cas d’attaque étrangère, son pays n’hésitera pas à utiliser celles-ci en ces termes.
«Tous ces types d’armes sont entreposés en lieu sûr et en sécurité, sous la supervision directe des forces armées syriennes et ne seront jamais utilisée, à moins que la Syrie soit exposée à des agressions extérieures”.
Bien sûr, le président Barack Hussein Obama, le nouvel émir d’Al Qaïda, n’a pas condamné les actes terroristes sur les civils syriens ou des officiels. C’est donc sans surprise. Les Syriens ont intérêt à être soudés face à cette horde de nazis qui veulent sa perte…
Syrie : Barack Obama menace d’attaquer la Syrie, et met en garde Israël « Allain Jules
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Dites ce qui vous chante...
Mais dites-le !