vendredi 13 juillet 2012

scandale du Libor : un règlement de compte contre l'Allemagne ?

Une affaire qui pue le  règlement de compte contre le système bancaire allemand...


Pendant que la télévisée française reste totalement silencieuse sur la plus grande affaire criminelle de l'Histoire de la finance internationale , une avalanche de plaintes secoue le syndicat du crime bancaire organisé autour du taux de référence qui sert de base de calcul de votre crédit voiture et de votre prêt immobilier. 




L'affaire est beaucoup trop gigantesque (sauf pour les médias français qui préfèrent parler des vilains nuages qui embêtent les moutons-vacanciers) pour laisser les banksters détrousser des millions de personnes en toute impunité moyennant un chèque financé par le vol et le recel de capitaux à grande échelle. 


Le LIBOR et l'EURIBOR sont des taux déterminés chaque jour qui représentent le prix moyen auquel les grandes banques sont disposées à se prêter entre elles.  


Ce taux moyen sert de base de calcul aux prêts (variables et capés) des particuliers et des entreprises, et à de nombreux produits financiers (futures, options). 


Il suffit de lire votre contrat de prêt 
Au paragraphe "Taux de référence", si le mot LIBOR ou EURIBOR apparait, vous avez subi un préjudice financier lié à cette fraude et vous pouvez juridiquement demander réparation à votre banquier... à lui de se retourner contre les criminels en question s'il n'est pas impliqué dans cette affaire.


Cette affaire éclabousse la Deutsche Bank qui serait impliquée dans cette fraude géante et une dizaine d'investisseurs américains non identifiés (tiens donc !) ont déposé plainte contre l'institution allemande. 


Si les faits sont avérés, les condamnations risquent de se chiffrer en milliards d'euros alors que Merkel se débat contre le diktat de l'UERSS (union européenne des républiques socialistes soviétiques).
Etrange, non ?


Berlin dit "nein" : la BCE est une décharge publique de dettes pourries




Le bilan de la BCE est déjà surchargé d’obligations d’États pourries. Comme ses dirigeants l’ont eux-mêmes avoué au cours de la semaine écoulée, la BCE est au bord de l’implosion.


La BCE ne peut et ne veut donc plus acheter d’obligations d’États pourries, sauf à ce qu’elle risque elle-même la faillite ou l’hyperinflation. Elle demande que ce soit le futur MES qui rachète des obligations d’États sur le marché secondaire.


Comme dans toute organisation mafieuse, celui qui balance la vérité est un homme mort...


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