Sofitel Banon Carlton : La bérézina de la Strauss Kahnie et DSK en cage dorée place des Vosges.

DSK place des vosges tourne comme un ours en cage en attendant sa convocation dans l'affaire du Carlton de Lille ou plusieurs de ses proches ont été mis en examen pour "proxénétisme en bande organisée et abus de biens sociaux".


Un de ses amis révèle : "il ne bouge plus de chez lui, il joue au échecs", Anne Sinclair est allé se reposer loin du tumulte dans le riad du couple à Marrakech. Les défenseurs de DSK qui n'hésitaient pas à dénoncer il y a peu sur tous les médias le "complot" qui frappe leur ami et mentor sont devenus résolument silencieux.
Michel Taubmann le biographe de l'ex patron du FMI, l'auteur du Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn (Editions du Moment) n'apparait plus dans les médias ; Michèle Sabban la groupie inconditionnelle n'ose plus s'exprimer sur le cas DSK .

Si DSK hésite à sortir de chez lui c'est qu'il craint les insultes, chose qui arriverait souvent ces derniers temps. Quand à ceux qui viennent sonner à sa porte de la place des Vosges ils commencent à se faire rares. Jean-Christophe Cambadelis devenu lieutenant de François Hollande et François Pupponi poursuivi lui aussi dans l'affaire du cercle de jeu Wagram, sont les seuls à lui rendre visite.


"Ce mec nous a trahis, nous sommes furieux ne nous parlez plus de lui"
C'est en ces termes que de nombreux soutiens de l'époque "yes we kahn", s'expriment à propos leur ancien poulain pour l'élection présidentielle de 2012.
"l'affaire du Sofitel passe encore, mais quand les frasques du Carlton ont éclaté on s'est régardé et on a pensé tout haut : imagine s'il était passé, quel France aurions nous eu ?"

Les ex Strauss Kahniens passent des moments plutôt difficiles dans les sections du PS : "il a fait fort TON DSK" ou bien encore plus accusateur :  "Vous saviez tout, vous étiez complices, quelle honte ! ".
On l'aura compris les anciens du Club DSK rasent les murs et se font tout petits, celui qui était le moteur de leurs ambitions vient d'exploser avec pertes et fracas.


DSK vivrait  désormais reclus en affirmant qu'une vie ne suffira pas à faire oublier toute cette histoire.
"Du sublime au ridicule il n'y a qu'un pas" lançait Napoleon : c'est toujours d'actualité.