Après Anne Mansouret, c’est au tour de sa fille, Tristane Banon, de déplorer l’accueil réservé à DSK, de retour de New York où il était accusé d’agression sexuelle.
Sur sa page Facebook, la jeune romancière qui a porté plainte pour tentative de viol contre l’ancien président du Fond Monétaire International, déplore l’accueil réservé à DSK, «un homme qui n’a pas encore été blanchi par la justice ».
«Je ne peux pas croire que mon pays accueille en héros un homme qui n’a pas été blanchi», écrit-elle, «J’entends les gens me dire leur écœurement, j’avale leur soutien pour tenir debout et pourtant c’est moi qui baisse la tête et longe les murs quand d’autres sourient aux caméras.»
« J’entends les gens qui veulent protester, se faire entendre, crier que le Code Pénal doit être le même pour tous et qu’un jugement doit advenir, qui condamnera ou non mais qui doit être prononcé,» lance-t-elle sur Facebook, annonçant un rassemblement le 24 septembre devant
le palais de Justice de Paris.
«Je ne peux pas croire que mon pays accueille en héros un homme qui n’a pas été blanchi», écrit-elle, «J’entends les gens me dire leur écœurement, j’avale leur soutien pour tenir debout et pourtant c’est moi qui baisse la tête et longe les murs quand d’autres sourient aux caméras.»
« J’entends les gens qui veulent protester, se faire entendre, crier que le Code Pénal doit être le même pour tous et qu’un jugement doit advenir, qui condamnera ou non mais qui doit être prononcé,» lance-t-elle sur Facebook, annonçant un rassemblement le 24 septembre devant
le palais de Justice de Paris.
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