Ils disent que les réservoirs et les véhicules blindés sont entrés dans Rastan mardi tôt dans la journée et des troupes par douzaines se sont déployés sur les rues de la ville.
Rastan se trouve pres de la frontière Turque non loin de la ville de Homs.
La ville est devenue un symbole de la dissidence contre le régime du Président Bashar Assad. Des déserteurs ont affronté là les forces de répression du gouvernement syrien.
Des récits d'attaques ont été rapportés mardi dans Rastan.
pendant ce temps là à BEYROUTH...
Les pirates informatiques en ligne RevoluSec et anonyme ont dit qu'ils étaient derrière les dernières cyber attaques, qui ont visé les sites Web de plusieurs ministères et dans des villes syriennes majeures.
Les activistes ont remplacé les sites Web par des caricatures d'Assad et des messages qui disaient : « déconnectez Bashar El Assad. »
Le gouvernement bloque fréquemment et désactive l'accès au web dans les villes syriennes où les contestataires exigent le départ d'Assad.
Les Nations Unies estime que plus de 2.700 civils ont été tués par la répression exercée par le gouvernement syrien depuis le soulèvement qui a commencé mi-mars.
Des milliers d'opposants sont toujours détenus
Assad qui a succèdé à son père comme président de a Syrie, a été vu dans le passé comme quelqu'un qui pouvait enclencher des réformes démocratiques sérieuses en Syrie. Après ètre devenu président en 2000, il a dirigé la révolution informatique en Syrie et poussé la jeunesse du pays à se connecter.
Maintenant les activistes cherchent à le renverser et emploient la toile comme une arme stratégique, téléchargeant les vidéos des violences sur les manifestants et utilisant les réseaux sociaux pour organiser la révolution 2.0 et envoyer des messages de soutient.
La Syrie a interdit aux reporters d'enquèter sur place, mais des vidéos circulent en ligne montrant la réalité de l'armée écrasant la protestation
Le pouvoir d'Assad controle étroitement les moyens de communication classiques en Syrie, comme la télévision,la radio et la presse. Les médias officiels décrivent une ingérence étrangere appuyée par les islamistes d'Al Quaida.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Dites ce qui vous chante...
Mais dites-le !