Aujourd’hui en France on égorge quasiment tous les jours, avec la bénédiction des progressistes, on égorge des Français principalement, pour un mauvais regard, une clope refusée, une avance sexuelle repoussée, une offense, une embrouille quelconque, une contrariété, une broutille… Ces égorgements sont toujours le fait d’immigrés subsahariens, de Maghrébins, d’Afghans ou de Tchétchènes… Jamais le fait de Qataris, d’Émiratis, de Dubaïtes ou de Koweïtiens… On serait donc tenté d’attribuer cette bestialité abominable à la misère de ces immigrés, et de considérer que la misère est le terreau de la violence. Mais il y a en France des miséreux, des très miséreux, des errants sans domicile fixe, sans domicile du tout, pas violents, qui meurent en silence dans l’ignorance de tous… D’autres attribuent cette bestialité épouvantable à la religion de ces égorgeurs, mais ces derniers ne se disent pas tous musulmans… D’autres encore attribuent cette bestialité à l’appartenance raciale de ces meurtriers, mais les tueurs en série aux États-Unis sont souvent des blancs européens… Enfin, les progressistes, eux, expliquent le plus sérieusement du monde ces crimes par l’incompréhension culturelle… ! Mais pourquoi diable n’expliquent-ils pas également par l’incompréhension culturelle la politique hitlérienne à l’égard des Juifs ?…
Je pense pour ma part que la bestialité est une possibilité de la nature humaine chez tous les peuples et tous les hommes, nature composée d’une nature animale et d’une nature spirituelle. Et cette possibilité bestiale peut éclater lorsque certaines conditions particulières sont réunies, ces conditions entre-mêlées variant d’un individu à l’autre… misère économique, misère sociale, misère affective, misère spirituelle (se manifestant par le nihilisme et le dogmatisme ou fanatisme religieux), misère psychologique, misère sexuelle… Certaines âmes sont enlisées dans la nature animale et leur bestialité se manifeste facilement, d’autres âmes tentent de surmonter cette nature animale, et d’autres enfin y parviennent. Mais on n’est jamais esclave de la chair impunément, et tout s’expie finalement, tout se paie selon la fameuse loi du karma. Durant des siècles, voire des millénaires, les Noirs africains ont subi l’esclavage, d’abord entre eux, ensuite avec les Arabo-musulmans, puis avec les Européens ; leur esclavage empirique politique subi ne serait donc finalement que l’expiation de leur esclavage à la chair dans lequel ils étaient et sont encore enlisés.
On parle beaucoup de karma aujourd’hui. Vous savez, c’est cette notion morale de la religion hindouiste qui est comme un compte individuel qui enregistre et comptabilise la valeur morale de nos actes en bien comme en mal, tout comme un compte en banque finalement, débit, crédit… Et comme à la banque, le solde de notre karma peut être négatif, dans le rouge, dans le noir même… un solde qu’il faut expier, qu’il faut payer, d’une manière ou d’une autre, même si le pardon divin peut alléger l’expiation du repenti… Ça c’est pour le karma individuel, mais certains évoquent aussi un karma familial… pourquoi pas. Poussons la logique jusqu’au bout et évoquons encore un karma tribal, un karma ethnique, un karma racial, un karma communautaire… Notons à ce propos que le verset 42 de la sourate des bestiaux laisse entendre fortement ce karma communautaire : « Nous avons, certes, envoyé des guides aux communautés avant toi. Ensuite Nous les avons saisies par l’adversité et la détresse ; peut-être imploreront-ils la miséricorde ». Bien-sûr, à l’origine, les communautés humaines étaient fondées sur une appartenance raciale, ou sur une subdivision raciale, comme les autres animaux finalement, mais aujourd’hui les communautés exclusivement raciales sont rares, le lien communautaire racial ne peut exister que dans une communauté religieuse, politique, linguistique ou culturelle… un tel lien ne peut exister par exemple entre une blonde du peuple kalash, au nord-ouest du Pakistan, et une blonde suédoise, malgré la même blondeur raciale.
Mais revenons au karma ; vous comprenez bien que, tout comme le solde du karma individuel diffère selon les individus, dont les soldes karmiques sont donc inégaux, ceux des karmas familiaux, tribaux et ethniques sont eux aussi, différents, inégaux. Lorsque certains parlent d’inégalité raciale ou ethnique, au fond, ils ne parlent que d’inégalité karmique ethnique. Selon toute apparence, le solde karmique somalien et le solde karmique norvégien sont inégaux, par exemple. Le solde karmique noir africain et le solde karmique asiatique sont eux aussi inégaux. Nier ces inégalités karmiques ethniques en affirmant et imposant idéologiquement qu’elles n’existent pas, comme s’acharnent à le nier les progressistes, en mélangeant gloubi-boulguesquement toutes les ethnies au nom de la tolérance culturelle dans un apocalyptique chaos ethnique mondialiste se heurtant dans le sang à un apocalyptique chaos sexuel promu par ces mêmes progressistes, c’est vouloir anéantir l’humanité, qui a précisément besoin d’une harmonie karmique pour survivre.
Alors que faire ? Rétablir avec toute la fermeté nécessaire un certain ordre karmique parmi la population humaine ? En tout état de cause, chaque peuple, chaque communauté doit solder sont compte karmique. Mais aujourd’hui, l’expiation karmique des peuples s’accélère dans un chaos progressiste inouï, un chaos ethnique qui paradoxalement saborde l’accomplissement des affinités d’âmes par-delà les différences ethniques, en les faussant à coup de culpabilité martelée par cette idéologie progressiste. Ce chaos et cette confusion sont tels que le karma de chaque peuple, de chaque ethnie, que le karma lui-même semble se dissoudre dans une espèce de sordide chaos général où les couteaux égorgeurs de l’Apocalypse prolifèrent. Mais le karma est immuable. En y regardant de près, on distingue bien le karma ethnique, communautaire… Prenons l’exemple des Noirs africains, leur karma ethnique semble avoir toujours été très lourdement négatif, esclavage, traite, ségrégation, famines, tyrannies, sorcellerie, magie noire… Au point qu’on pourrait penser que l’Afrique noire est le lieu principal d’incarnation de ces âmes enlisées dans l’animalité, esclaves de la chair, qui expient donc leur enlisement animal, leur esclavage à la chair, à travers la racialité noire propre à l’Afrique. Tout s’expie, tout se paie, en bien comme en mal. Bien-sûr, il y a le repentir. Et le pardon divin peut réduire le solde karmique… d’un point de vue individuel comme d’un point de vue collectif… Le Christ sacrifia sa vie pour réduire un karma communautaire particulièrement sombre… « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis égarées de la maison d’Israël », disait Jésus (Matthieu 15, 24)… Le terrible et inexorable Grand remplacement des Européens de l’ouest semble être aussi l’effet expiatoire d’un karma ethnique ou communautaire…, la plus terrible expiation karmique car il est question ici purement et simplement de leur Grande extinction, de leur Grande disparition, due à la dénatalité et au métissage de masse par idéologie culpabilisante…, implacable achèvement karmique… qui expie sans doute leur orgueil incommensurable. Cela dit, les ouest-Européens et les Français en particulier, étaient bien moins orgueilleux du temps de Saint-Louis que du temps de Napoléon III… On pourrait au demeurant envisager le karma d’une nation, pourquoi pas. Celui des États-Unis serait incalculable, dans la colonne des débits…
Finalement, tout devient clair avec cette histoire de karma, individuel mais surtout collectif. L’Algérie a subi tant de malheurs tragiques parce qu’elle devait tant expier… l’orgueil, l’avidité… Les Juifs sont autant haïs parce que la postérité du Serpent est présente parmi eux au sein de la maison d’Israël, si profondément opposée à la maison de Juda, dont était issu… Jésus-Christ. Tous ces karmas, individuel, familial, ethnique, communautaire… s’articulent subtilement. D’autant qu’en-deçà des « familles » ethniques, raciales, il y a les familles d’âmes ; une même âme appartenant à une certaine famille d’âme peut se réincarner dans un corps africain, puis asiatique, puis sémite, puis blanc européen, puis eskimo… les hindouistes appellent ça le samsara, pendant logique du karma… sans compter que l’âme revêt aussi des corps subtils… ; dans le long cheminement de ses renaissances successives, l’âme doit donc se libérer de son karma familial, tribal, ethnique, national, communautaire, en plus de son karma individuel !… difficulté extrême… Mais le karma est d’une justesse rigoureuse et d’une justice infaillible. Nul ne peut y déroger. Tout finit par se payer, ici-bas ou outre-mort. Finalement, cette apocalypse ethnique convergeant violemment avec l’apocalypse sexuelle dans une apocalypse économique, c’est peut-être le solde de tout compte du karma collectif… Les plus sages sont ceux qui se retireront du monde. Du monde charnel, du monde empirique. Pour revenir au monde subtil, au monde de l’esprit, pour s’affranchir ultimement de tout enchaînement karmique. Les hindouistes appellent ça le « samadhi », le détachement de tous les liens karmiques, et de tout lien tout court. Le stade suprême du samadhi est le « nirvikalpa samadhi », l’union totale de l’âme avec le divin ; à ce stade, nous sommes à l’écart de notre vie charnelle, terrestre, et nous « demeurons dans l’éveil », comme disait Bouddha. Au-delà du nirvikalpa samadhi, il y a encore le sahaja samadhi, où nous continuons de vivre terrestrement tout en étant dans une totale communion divine. Bref, il ne s’agit pas de détruire le karma, les karmas, en dissolvant toutes les ethnies dans un magma ethnique chaotique apocalyptique sans frontières – territoriales et morales – et un chaos économique et social sanglant ou le bestial l’emporte fatalement sur le spirituel, mais il s’agit plutôt de se détacher progressivement du karma.
Les idéologies progressistes voudraient justement détruire le karma, en exhortant à comprendre les couteaux de l’Apocalypse, à tolérer les empoisonnements de masse et à s’habituer aux crimes sexuels, et à tous les crimes in fine, excepté le crime d’anti-progressisme, seul crime intolérable à leurs yeux ! Ces salauds idéologiques voudraient détruire tous les karmas, détruire toute culpabilité, tout jugement moral, tout châtiment, détruire la justice divine, abolir la mort scientifiquement, en vain…, le karma est indestructible. La violente convergence entre l’apocalypse ethnique et l’apocalypse sexuelle sur fond d’apocalypse économique sonne le glas de ces idéologies progressistes ; cette espèce de « convergence des catastrophes », comme disait Guillaume Faye, est finalement une convergence des apocalypses vers l’Apocalypse finale qui conclura l’accomplissement infaillible de la justice divine vers une harmonie humaine si longtemps différée.
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